"Les victimes du machisme ordinaire"Annie, Clémence, Delphine, Suzie et quelques autres.......................... |
L'épiloge provisoire. |
Le président laissa ses amis s'éloigner un peu dépité, il aurait bien continué "la fête" mais seul, il ne pouvait garder les deux femmes. Peu importe pensa-t-il ; il avait encore Annie sous la main. Il tenta de besogner aussitôt la malheureuse, mais son érection demeurait défaillante. Il essaya de la cravacher,. mais celle-ci comme une morte ne réagissait plus qu'en sanglotant et ne sursautait plus que d'une manière réflexe, obéissant comme un automate. Furieux mais se rendant compte qu'il n'obtiendrait guère plus que ce qu'il avait déjà eu il la ligota une fois de plus au pied de l'escalier et alla se verser un bon verre. puis deux, puis trois ou davantage. Il finit par aller se coucher, en titubant. Tout avait commencé comme il le souhaitait mais finalement il n'avait pas obtenu une satisfaction aussi grande qu'il l'espérait. Annie terrorisée avait été relativement facile à faire obéir mais Clémence plus forte psychologiquement, malgré les douleurs et l'humiliation qu'ils lui avaient tous imposéesétait resté impassible et il le sentait, terriblement méprisante. Il se promit de se venger et s'endormit bruyamment plus qu'à moitié ivre . Le lendemain, il retrouva Annie complètement prostrée. Il essaya de la secouer de la menacer et de la frapper même, mais il n'obtint aucun résultat. Il commença à se rendre compte qu'il avait brisé, détruit quelque chose ou plus exactement quelqu'un Il commença à paniquer un peu et lui apporta un petit déjeuner auquel elle ne toucha d'abord pas avant de se mettre à manger comme un automate. Il lui donna l'ordre de prendre un bain, ce qu'elle fit sans rien dire; il voulait qu'elle lui obéisse, elle le ferait comme un pantin. Elle ressortit de la salle de bain toujours dans le même état d'hébétude. Il tenta de hurler puis même de la gifler pour la faire réagir, elle se contenta de sangloter misérablement comme si elle était en prison dans un autre monde. A tout hasard, il alla se servir quelques verres d' alcool puis quitta la maison pour se rendre dans son bar préféré, abandonnant sa victime sans plus de manières. Il espérait y rencontrer des copains pour briser la solitude qui l'envahissait. Il vit effectivement quelques têtes connues mais eu l'impression qu'on le fuyait.. Il commanda du vin blanc jusqu'à midi pour "se remonter le moral". Il rentra ensuite chez lui. Il découvrit son épouse toujours prostrée. Elle s'était habillée mais restait inerte assise sur le canapé. Ne sachant plus quoi faire; le valeureux mâle alla se coucher, pour cuver tout l'alcool qu'il avait absorbe, prenant quand même une bouteille au passage. Elle tiendraot compagnie et l'aiderait à dormir au cas où........ |