"Les victimes du machisme ordinaire"

Annie, Clémence, Delphine, Suzie et quelques autres..........................

La suite de la punition d'Annie et le viol de Clémence .
LAu petit matin, plus fringant que jamais, son bourreau se présenta à elle. Il exigea immédiatement d'affirmer sa complète possession et la viola longuement par ses trois orifices, très satisfait de sa performance qui pourtant vis a vis d'une victime sans défense était loin d'être un exploit. Il .s'installa ensuite, devant elle, pour déjeuner tranquillement, puis lui présenta un bol de lait puis de jus de fruit, qu'il lui ordonna de laper jusqu'à la dernière goutte. La malheureuse avait soif et ne se fit pas prier pour absorber le liquide, malgré les circonstances atrocement humiliantes que son tortionnaire lui imposait . Il lui commanda ensuite de se soulager devant lui à même le sol, la prévenant qu'elle n'aurait pas l'occasion de le faire ensuite, sous peine d'une sérieuse punition. Il fallait qu'elle comprenne bien qui était le maître et qu'elle prenne l'habitude d'obéir. Tremblante de peur en s'efforçant d'oublier sa désastreuse situation, l'élégante et raffinée professeur de français, écarta donc les cuisses et pissa sans plus de manière qu'une petite chienne, sous l'œil amusé de son bourreau qui exultait. Il lui confia ensuite un seau remplit de liquide nettoyant et une serpillière et toujours à quatre pattes lui enjoignit de faire un nettoyage soigneux, car ils allaient dit-il, recevoir des invités. Interloquée, Annie cessa momentanément sa tâche mais un bon coup de cravache la remit à l'ouvrage. RB voulait également qu'elle téléphone de bonne heure à son amante, pour l'inviter à venir. Malgré sa terreur, Annie protesta qu'elle allait rompre définitivement toute relation avec Clémence, qu'il fallait absolument laisser celle-ci hors de tout cela, qu'à l'avenir elle se comporterait en épouse soumise et obéissante Son seigneur et maître, ou du moins qui s'estimait comme tel, lui confirma qu'il allait faire en sorte qu'elle file doux désormais, mais il exigeait qu'Annie rompe avec Clémence en sa présence. Pensant naïvement que cela précipiterait sa libération, Annie finit par accepter. Elle téléphona comme il lui était ordonné à sa tendre amie, en l'invitant à la rejoindre chez elle, sans lui donner plus d'explication. Confiante, Clémence accepta avec enthousiasme. Elle savait que "Le Renard" était souvent à la chasse le week-end et ne s'en étonna pas de l'invitation imprévue la veille encore. Elle était loin de se douter que le machiavélique personnage et ses amis chasseurs avaient d'autre projets pour ce week-end .

Annie attendait patiemment toujours nue et entravée à quatre pattes, au pied de l'escalier. Elle avait satisfait à toutes les exigences de son mari et espérait que ce dernier allait bientôt la libérer. C'est alors qu'elle entendit sonner à la porte d'entrée. Son cœur se mit à battre à tout rompre, n'imaginant même pas pouvoir être montrée dans l'état où elle l'était. Abasourdie, elle entendit RB très grand seigneur, accueillir des arrivants parmi lesquels elle crut reconnaître, les fidèles compagnons de chasse de son mari. Atterrée, elle vit entrer à la suite de son tortionnaire d'époux, quatre hommes qu'elle connaissait de vue et dont certains avaient des enfants, élèves dans sa classe.

Elle entendit comme dans son cauchemar que sa rééducation allait se poursuivre, avec l'aide des solides et fidèles gaillards ici présent. On lui ôta ses menottes en lui laissant la laisse et le collier de force, étroitement ajusté et on la fit monter sur la table. Vu leur nombre et leur détermination, elle était hors d'etat de leur échapper de toutes façons René Bernard narra à ses compagnons qui semblaient entièrement au courant de la situation, les premiers résultats qu'il avait obtenu. Ces derniers hilares, commençaient sans la moindre vergogne à palper avec gestes obscènes , la malheureuse à quatre pattes sur la table, toujours fermement maintenue en laisse et menacée par la cravache. Annie fut sommée sans plus d'explication, de souhaiter la bienvenue à tous les nouveaux arrivants qui sans la moindre gêne commencèrent à déboutonne la braguette de leur treillis. La pauvre victime solidement maintenue et toujours palpée par les mêmes mains avides et indélicates dut accepter de recevoir dans la bouche tous les participants, tandis que RB rigolard lui annonçait que cela serait son seul repas et qu'il fallait qu'elle avale tout jusqu'à la dernière miette. Un peu soulagés, les valeureux conquérant passèrent à l'apéritif laissant le soin au généreux mari, d'entraver de nouveau son épouse infidèle qui n'était pas au bout de ses peines. Effondrée, la malheureuse hoquetait des sanglots sans fins qui renforçait les violentes nausées qu'elle éprouvait à la suite des odieux services qu'elle avait dû rendre jusqu'au bout à ces horribles soiffards. Ceux-ci, bientôt sortirent pour se mettre en embuscade, Clémence n'allait pas tarder à arriver. Comme un coup de poignard, Annie entendit de nouveau la sonnerie retentir. Elle savait que sa tendre amie, allait être aussi bientôt victime de ces brutes.

Elle entendit la porte s'ouvrir, puis des cris rapidement étouffés et des bruits de lutte. Bientôt les cinq valeureux chasseurs revinrent tenant fermement leur proie. Clémence était plutôt frêle mais sportive, elle se débattait comme un beau diable. La supériorité numérique de ses agresseur était cependant bien trop forte et la pauvre se retrouva bientôt ligotée et bâillonnée sur la table, tout en continuant à protester par des soubresaut aussi inutiles qu'inefficaces. "Le Renard" satisfait, s'installa devant elle, en bombant le torse. Il tenait à la main la laisse au bout de laquelle la pauvre Annie faisait encore plus piètre figure. En un éclair, celle-ci vit dans le regard de son amie, tout le muet reproche et l'incompréhension du monde. Elle baissa aussitôt les yeux, incapable de soutenir l'absolu désespoir de ce regard. Le président de l'amicale des chasseurs, dans un discours qu'il voulait ferme, annonça à la malheureuse dont il venait de se rendre maître avec ses amis, qu'il était parfaitement au courant de l'inconduite injurieuse qu'elle avait eu à son égard et qu'elle allait devoir expier au cours du week-end. Avec une fierté réjouie, il exhiba ce qu'il avait réussi à faire de son infortunée épouse à qui il demanda sur le champ de prouver sa parfaite soumission. Sous les yeux de son amante il imposa à Annie toujours à quatre pattes de s'appliquer à lui offrir docilement une ardente fellation. La pauvre femme n'avait pas le choix et la mort dans l'âme, tout en essayant d'éviter la cravache qui la rappelait cuisamment à l'ordre au moindre écart,. elle donna une fois plus satisfaction à son bourreau. Celui-ci ayant obtenu ce qu'il souhaitait, la repoussa avant d'arriver au terme de l'action. Il l'attacha aux pied de la table pour qu'elle ne perde rien du spectacle et commençant aidé joyeusement par ses fidèle compagnons à découper avec le couteau de chasse tous les vêtements de leur proie afin de la mettre elle aussi intégralement nue. Tous ces hommes d'action faisait preuve d'un entrain sans pareil dans une activité qui n'était pas leur rappeler "l'écorchage" du gibier fraîchement tué. Clémence se retrouva ainsi complètement nue et écartelée par des liens très ajustés, qui pénétrait dans sa chair et lui ôtait presque toute possibilité de mouvement. RB qui exhibait toujours une ferme érection, en tant qu'offensé, réclama le privilège d'être le premier à violer la pauvre Clémence. ce que ses compagnons lui octroyèrent par acclamation. Il se mit à besogner la pauvre fille, aussi bien par devant que par derrière, se réjouissant de forcer inlassablement les chairs crispées et ayant bien du mal à se contenir. Il ne tarda pas d'ailleurs à se répandre avec des cris rauques et en frappant les fesses de la malheureuse qui malgré son étroit garrottage, se tordait de honte et de douleurs sous ses coups de boutoirs. Fraternellement il passa le relais à son lieutenant qui fit en sorte de se montrer à la hauteur de son président. Chacun à leur tour ils vidèrent leur trop plein d'ardeur et de semence, sans le moindre égard pour la fille qu'il prétendait rééduquer et qui continuait à se cabrer et à se débattre avec de moins en moins de force et d'espoir.. Après cette "mise en jambe" les joyeux compagnons décidèrent de se restaurer : grosses miches de pain frais, charcuterie, fromages et vin rouge furent consommés en abondance, dans un gargantuesque buffet campagnard. Iil s'agissait de reprendre des forces après leurs exploits. Les deux femmes toujours ligotées, restaient à l'écart. Annie en observant ses tortionnaires à la dérobée murmura à vois basse de vibrantes excuses, plaidant qu'elle avait été trompée et obligée d'agir ainsi sous la menace. Clémence anéantie et remplie de douleurs de toute sortes ne bougeait plus.

Le festin achevé les cinq "hommes" se mirent en devoir de continuer leur sinistre besogne. L'alcool avait échauffé leurs esprits plus que réveillé leur vigueur. Ils trouvèrent drôle d'attacher les deux filles tête-bêche et obligèrent Annie terrorisée à leur faire une démonstration de ses talents avec son amante. Clémence hurlait sans fin dès qu'on lui ôtait le bâillon et ils jugèrent préférable de lui remettre. Ils disposèrent ensuite les deux femmes côte à côte en "libre service" chacun venant à son tour dès que l'envie lui en prenait se soulager entre les fesses de l'une ou l'autre, maintenues largement écartées. Il firent boire Annie sous la menace et comme Clémence refusais obstinément, malgré une série impressionnante de coups de cravache, ils la forcèrent à ingurgiter une bouteille de vin dont elle vomit plus de la moitié. Les deux femmes immobilisées laissèrent bientôt s'échapper leurs urines sous les rires d'abord gras puis un peu crispés des convives.La fête commençait à devenir glauque, malgré l'entrain que s'efforçait de mettre RB. Ses amis commencèrent à émettre le désir de rentrer chez eux tout en assurant leur hôte généreux de leur soutien .indéfectible Il fut décidé de ramener Clémence chez elle, soigneusement ficelée, tout en lui laissant la possibilité de se défaire de ses liens après un long labeur.

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