"Les victimes du machisme ordinaire"Annie, Clémence, Delphine, Suzie et quelques autres.......................... |
La puniton d'Annie. |
Annie rentra vers dix-neuf heures comme tous les vendredi. René Bernard devait être comme tous les fins de semaine en bordée avec ses amis chasseurs soi-disant pour préparer le week-end de chasse, en pratique pour boire l'apéritif en lutinant les accortes serveuses du "Bar des sports". Il y avait longtemps qu'Annie avait renoncé à lui demander de rentrer plus tôt, et maintenant, depuis qu'elle avait rencontré Clémence, elle n'en avait plus rien à faire, au contraire cela l'arrangeait. Les deux amantes, sitôt les cours finis, allaient profiter d'un moment d'intimité, dans une des chambres libres du foyer des étudiants de l'Ecole Supérieure. Elle fut surprise en trouvant la porte ouverte, craignant d'avoir oublié de fermer ou pire, d'avoir été cambriolée. Elle se précipita à l'intérieur et fut à la fois rassurée et surprise de voir son mari, affalé sur le canapé en train de regarder la télévision. Elle lui demanda par quel hasard il était à la maison et il répondit avec un sourire qu'il avait eu envie de voir sa femme adorée, puis plus sérieusement qu'exceptionnellement il n'avait pas de réunion ce soir-là. Sur un ton badin, il lui demanda la raison de sa rentrée tardive, le lycée libérant, élèves et professeurs à quinze heures le vendredi. Annie n'avait pas d'excuse toute faite, n'ayant pas l'habitude d'avoir à justifier des retards parfaitement ignorés par son mari jusqu'alors. Prise au dépourvu, elle déclara avoir pris tranquillement le temps de faire les magasins, ne pensant pas le trouver à la maison. Il insista un peu pour savoir si Clémmence l'avait accompagnée. Le cœur d'Annie se mit à battre craignant que son mari ne se doute de quelque chose, puis persuadée qu'il ne pouvait rien en être, répondit par l'affirmative en disant même qu'elles étaient aussi passées à la bibliothèque de l'Ecole Supérieure au cas où elles auraient été vues ensemble, à proximité de cet établissement. René Bernard ne releva pas la réponse et laissa Annie s'affairer dans la cuisine avant de l'inviter à venir le rejoindre au salon. Elle prétexta des tâches ménagères, mais comme il insistait, finit par céder à sa demande. Il était rentré plus tôt que d'habitude et elle voulait éviter de le fâcher inutilement. Elle s'assit donc à côté de lui, sur le canapé. A sa grande surprise, il l'enlaça alors qu'il n'en avait pas l'habitude, depuis des années, se contentant de remplir méthodiquement son devoir conjugal, le soir tous les deux ou trois jours, sans préliminaire ni fantaisie inutile. Elle n'eut pas le temps de s'étonner davantage qu'il mettait en route le magnétoscope. Sur l'écran, elle vit deux silhouettes nues, dans une ambiance peu éclairée, en train de se livrer manifestement à des ébats sexuels. Elle crut tout d'abord qu'il s'agissait d'un film pornographique, dont son mari était friand et auxquels il avait tenté quelques années auparavant, sans succès, de l'intéresser. Puis découvrit qu'il s'agissait de deux femmes et avec une horreur grandissante, qu'il s'agissait de Clémence et à coup sûr, d'elle même. Dans la chambre meublée sommairement et sans goût du foyer d'étudiant, sur le lit étroit, on reconnaissait parfaitement la jeune professeur d'anglais, en train de chevaucher sa partenaire. Son visage mince, encadré de cheveux noirs, coupés très courts en mèches soigneusement irrégulières, son buste allongé avec deux petit seins en forme de poires, tout était conforme. Annie se sentit sombrer dans un gouffre, tout en essayant mentalement et à toute vitesse, bien que cela soit complètement inutile, de se demander qui avait pu les surprendre ainsi. René Bernard satisfait de son effet, la regarda blêmir et se décomposer quelques minutes, avant de reprendre la parole tout en l'immobilisant fermement. Incapable de parler comme de réagir, elle s'entendit condamner à une sévère correction. RB ou le Renard comme l'appelait ses copains était un homme fort et n'eut aucune peine à maîtriser sa frêle jeune femme qui de toutes façons, était complètement anéantie. Elle le vit lui passer des bracelets qui se révélèrent être une paire de solides menottes puis la tirer près du pilier central qui soutenait la mezzanine. En peu de temps, elle se retrouva les poignets tirés par dessus la tête, par une solide corde qu'il avait fixée auparavant à la rambarde du petit balcon puis bâillonnée, avec un torchon de cuisine qu'il avait disposé à portée de main. Il alla chercher une chaise et revint s'installer tranquillement auprès de sa victime, après s'être muni également de la cravache qu'elle utilisait habituellement, quand elle montait à cheval.. Annie terrorisée se rendit compte qu'elle était complètement à la merci de son mari qui sous un calme apparent, cachait très probablement une immense fureur et une froide détermination. Celui-ci commença un discours où il lui faisait part bien évidemment de son profond mécontentement, puis de ses projets d'une sévère punition à la hauteur de la faute commise et enfin d'une énergique rééducation sexuelle puisqu'elle semblait être insatisfaite sur ce plan, au point de recourir au service d'une "gouine" Annie essayait de se débattre et de parler tandis qu'il la regardait avec un sourire ironique. Il lui dit enfin qu'elle pouvait essayer de parler et de plaider sa cause, mais que ses décisions était prises et que rien ne pourrait adoucir le sort amplement mérité qu'il lui avait réservé.
Il disparut un moment, et revint avec une grande paire de ciseaux. Affolée, elle craignit sur le moment qu'il ne s'en serve pour la torturer, mais devinant ses pensées, il la rassura en riant : il allait simplement la punir et la "redresser" à la cravache sans l'abîmer. Elle lui appartenait disait-il et il était toujours très soigneux avec "ses affaires". Il commença à la dénuder méthodiquement, n'hésitant pas à recourir à son instrument pour faciliter son travail. Il profitait de la situation pour prendre possession de ses seins, de ses fesses et de son intimité. Elle le laissait faire avec bonne volonté, espérant naïvement qu'il lui en saurait gré et craignant surtout de le fâcher encore plus. Elle ne broncha même pas quand il s'amusa à couper très court, sa blonde toison. Elle se concentra pour essayer de se montrer lascive et réceptive mais là encore, devinant ses intentions, il lui déclara que c'était trop à la fois trop tard pour se racheter et trop tôt pour lui montrer "sa reconnaissance. Elle aurait tout le temps, ajouta-t-il d'un air sadique, d'apprécier ce qu'il lui avait réservé. Il s'assit un moment, pour profiter du spectacle de la malheureuse, complètement nue et entièrement à sa merci. Au bout de quelques minutes, sans se départir de son sourire de satisfaction, il se leva et commença à se servir de son instrument . la cravache cingla l'air et vint s'abattre sur les fesses sans défense, laissant une longue traînée rouge et légèrement boursouflée. La malheureuse captive se cabra sous l'effet de la cuisante douleur mais étroitement entravée ne put que reprendre la position qui la rendait si vulnérable. Le second coup ne se fit pas attendre et atteint l'autre fesse en laissant une trace identique. Annie terrorisée et incapable d'éviter les coups, éclata en sanglots. Méthodiquement RB continua à frapper tranquillement, jusqu'à ce que le corps pantelant soit marqué sur toute sa surface, n'épargnant aucune des zones sensibles seins, ventre, cuisses, fesses et dos furent bientôt striés de rouge. Annie continuellement sous l'effet des douleurs qui s'accumulaient, ne réagissait qu'avec retard, par un vague soubresaut. Le "renard" fit une pause, annonçant qu'ayant probablement bien compris les vertus de la cravache, il espérait qu'a présent sa femme se montrerait coopérante. Il relacha un peu la corde, tendit le dossier de la chaise à la pauvre Annie pour qu'elle y prenne appui et lui ordonna de se mettre en position d'accouplement : cuisses largement écartées, rein cambré au maximum et croupe offerte. Après quelques coups supplémentaires, destinés à parfaire la position exigée, il ordonna à se victime de rester coite. La malheureuse Annie toujours secouée de sanglots se garda bien de désobéir, craignant qu'il ne reprenne la cuisante punition. Le bourreau se prépara à soulager la tension que le violent exercice d'un pouvoir sans limite, avait fait naître dans son caleçon. Il se déboutonna et se mit en devoir d'investir la croupe, mise sans réserve à sa disposition. Seule une vigoureuse intromission postérieure lui paraissait à la hauteur de ses ambitions. Sa pauvre femme dut non seulement subir le viol douloureux de son canal le plus étroi,t mais y participer en s'empalant en cadence selon les ordres de son maître, jusqu'à ce que celui-ci libère enfin sa semence, à grands coups de boutoir. Annie crut enfin pouvoir bénéficier d'une pause mais telles n'étaient pas les intentions de son "tourmenteur". Ce dernier, après s'être brièvement absenté, revint avec une laisse munie d'un collier étrangleur. Après avoir fait mettre sa victime à quatre pattes, puis avoir lié ses mains au pied de la chaise, il mit son nouvel accessoire de torture en place. Il s'assit de nouveau tenant la laisse de la main gauche et la cravache de l'autre et intima l'ordre à sa victime de ranimer sa vigueur, en le prenant dans sa bouche. Terrorisée, la malheureuse se mit en devoir d'obéir docilement, malgré la répulsion qu'elle éprouvait à accueillir ainsi, le membre qui venait de la posséder sauvagement par derrière. Il mit en certain temps à retrouver suffisamment d'énergie, malgré les soins attentifs de sa captive qui oubliant toute dégoût s'efforçait de satisfaire son bourreau, dans l'espoir insensé de retrouver la liberté. Son application finit par être payante et parvint à déclencher la seule chose susceptible de calmer un peu son tortionnaire. Sur ces ordres, elle avala tout, puis profitant de l'accalmie, se risqua timidement, à demander pardon et grâce. Elle ne réussit qu'à ranimer l'hilarité de l'abominable personnage qui la rattacha au pied de l'escalier, sans accéder naturellement à sa demande se soulager, argumentant que le lendemain, il lui ferait faire le ménage. Il la laissa ainsi , nue, prostrée et sanglotante à même le carrelage, en lui souhaitant ironiquement, bonne nuit. Annie passa évidement une mauvaise nuit. Elle avait reçu l'ordre de ne pas faire de bruit et s'y conforma ne voulant pas risquer de provoquer la colère de son tortionnaire. La mort dans lame au milieu de la nuit, elle se soulagea en essayant de garder un coin au sec. Son corps entier la brûlait et ses muqueuses étaient horriblement enflammées. Morte de fatigue, elle somnola cependant par à-coup. |