"Les victimes du machisme ordinaire"

Annie, Clémence, Delphine, Suzie et quelques autres..........................

L .
LLe soir même devait avoir lieu la réception de Delphine. Celle –ci fut convoquée en début de soirée pour être « présentée » au chef et à ses acolytes, avant de l’être à tout le monde. Deux comparses vinrent la chercher et la conduire à la salle « de jeux » de la résidence. Le chef et toute sa cour était déjà installés confortablement dans leur « trônes ». Le maître informa la nouvelles venue des détails de sa future « intronisation » dans le groupe des protégées. Seule face à tous ces garçons qui la reluquaient moqueurs et concupiscents, la pauvre fille était morte de peur et de honte. Le chef lui recommanda d’être « bien sage » de manière à bénéficier du meilleur traitement. On lui demanda une fois de plus de se mettre « à poil » et à quatre pattes sur la table basse située au centre de la pièce, pour être bien à la vue de tous. Sa maigre garde-robe avait déjà fait les frais de sa désobéissance sans que cela n’empêche en rien son viol, et elle ne voulait pas cette fois prendre le même risque. Delphine malgré la honte profonde qu’elle éprouvait, obtempéra comme un automate. Elle fit de même quand on lui demanda de faire le tour sur elle-même pour ajouter à son humiliation, en l’obligeant à s’exhiber à la vue de tous, sous tous les angles. Les filles, firent leur entrée et après s’être mise « à poil » à leur tour, s’assirent par terre. Une brunette au cheveux courts et frisés, un peu ronde, vint se placer à genoux aux pieds du chef. On commença par interroger Delphine et elle dût répondre à toutes les questions humiliantes et indiscrètes qu’on lui imposait. Elle dût raconter son viol de la veille, en désignant ce qu’elle avait le plus apprécié et le moins aimé. Elle crut bien faire en désignant le chef comme son « meilleur amant » et celui qui l’avait sauvagement sodomisée, comme le pire. Cela eut le don de provoquer l’hilarité du « grand maître » qui la félicita de sa franchise. Il annonça à tout l’aréopage que désormais Delphine serait sa favorite, car il avait beaucoup apprécié, disait-il trivialement « sa chatte blonde, douce, bien trempée et accueillante » Delphine malgré les humiliations précédentes ne put s’empêcher de rougir de nouveau, sous ces remarques qui concernaient précisément son anatomie. Son brutal agresseurs de la veille, fut nommé non sans machiavélisme, son "parrainé. Elle dut sur-le-champ lui prêter allégeance, en lui accordant une humble fellation. Le chef renvoya la petite frisée, dénommée Chloé, après lui avoir demandé le même service, déclarant que c’est Delphine qui serait désormais chargée d'assouvir ses besoins. La brunette voulut protester de son talent hors pair, mais elle fut priée fermement de mettre sa langue au service de la nouvelle favorite. Furieuse et humiliée, elle prit place derrière sa future remplaçante et se mit en devoir de la préparer pour "le grand maître" . Delphine se dit qu’il valait mieux pour elle, satisfaire ce dernier et essayant d’oublier l’odieuse situation. Elle se concentra sur les sensation que Chloé, qui décidément avait beaucoup de talent, lui prodiguait avec rage. Elle eut du mal à réserver son orgasme au chef, mais celui-ci ne tarda pas à l’investir et après l’avoir fait jouir sans difficulté, se répandit copieusement en elle, devant tous les spectateurs. Le chef annonça que Chloé serait désormais la « marraine » de Delphine, à charge pour elle, de l’initier à ses talents.

Cela annonçait le début des festivité pour ses fidèles comparses qui se saisirent des filles disponibles, pour satisfaire leurs besoins. Le chef consacra sa soirée à Chloé et à Delphine, les obligeant réciproquement à faire plus ample connaissance. La blonde dut ainsi remercier sa "marraine" avant de la laisser prendre possession d’elle et de subir encore deux fois, les assauts de celui dont elle était désormais la première favorite. Elle dût jouir sous les pénétrations de la verge du diabolique grand maître, comme sous doigts de Chloé, avant d’être autorisée à regagner le dortoir avec cette dernière. Une fois enfermée, la favorite évincée et « marraine » de la nouvelle, avant de l'enfermer puis de se retirer, promit à cette dernière de lui en faire baver. L’avenir de Delphine paraissait de plus en plus sombre. Heureusement Suzie était là, tendre et câline. Delphine après toutes ces brutalités s’abandonna dans ses bras. Elle n’avait jamais eu d’attirance pour les filles jusqu’à présent mais dans les bras de Suzie, elle se sentait bien et oublia vite ses préjugés quand celle-ci lui proposa un langoureux baiser et de très habiles et délicates caresses.

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