Michelle et Bénédicte

ou " Comment une occasion manquée peut donner naissance à une autre "bonne occasion"

Le samedi soir, Michelle inquiète, se présenta à la résidence où Bénédicte avait une chambre. La jolie brune semblait l'attendre et s'était fait particulièrement belle pour l'accueillir !. Elle portait une ravissante minijupe noire, très courte sur des collants assortis ainsi qu'un de ces nombreux pulls ultra-moulants, noir également. Michelle ne put s'empêcher de la trouver "appétissante" malgré la résolution qu'elle avait pris de garder ses distances pour se mettre définitivement à l'abri, espérait-elle des entreprises de sa lesbienne de condisciple.Celle-ci, profitant de l'effet de surprise, déposa un baise appuyé carrément sur les lèvres de son interlocutrice.Michelle se retira vivement mais avec un peu trop de retard pour que seul sa stupéfaction en soit la cause. Elle avait trouvé ce premier contact loin d'être désagréable, les lèvres étaient douces et habiles et le corps souple de la belle brune dégageait un parfum capiteux subtilement envoûtant. La blonde rebelle, plus troublée qu'elle ne voulait bien l'admettre demanda abruptement à son interlocutrice ce qu'elle avait bien p raconter à son amant, à propos notamment de leur séjour au sport d'hiver. En riant Bénédicte prétendit qu'elle avait su rester discrète et qu'elle avait simplement confié à Marc qu'il avait de la chance d'avoir une petite amie qu pouvait se montrer très jolie. Michelle sentit malgré elle son visage s'empourprer sous ce compliment appuyé que son interlocutrice accompagna d'une tendre caresse de la main dans son abondante chevelure. Michelle se retira vivement, déclenchant une franche hilarité chez Bénédicte qui en profita pour lui faire remarquer qu'elle ne s'était pas toujours montrée aussi réservée. Vexée, l'interpellée, affirma avec ce qu'elle espérait être une forte conviction, qu'elle avait eu un moment d'égarement lié aux circonstances, mais que cela ne signifiait pas qu'elle soir prête à recommencer. Bénédicte un peu ironique, lui assura qu'elle prenait bonne note de ses remarques. Elle lui demanda si elle "voulait bien avoir l'obligeance d'accepter" qu'elle la maquillât et qu'elle la coiffât. En bougonnant Michelle acquiesça, elle ne voulait pas, se dit-elle, fâcher son interlocutrice dont elle dépendait étroitement sur la plan de la confidentialité. En fait elle avait aussi envie, même si elle ne voulait pas encore se l'avouer franchement, de s'abandonner de nouveau, aux mains expertes de Bénédicte. Après tout un maquillage et une coiffure se dit-elle pour se rassurer définitivement cela n'engageait à pas grand chose !. La jolie brune commença par s'emparer d'une main possessive mais douce, de la chevelure luxuriante de sa "cliente". Elle commença par effectuer un shampooing suivi de l'application d'un baume "démêlant et enrichissant". Elle prenait tout son temps pour jouer avec la magnifique crinière aux reflets dorés que sa propriétaire laissait à son entière disposition. Elle aurait tôt fait de réaliser un ravissant catogan comme lors du séjour à la neige mais elle pris de nouveau tout son temps pour faire quelques chose d'un peu plus compliqué mais tout aussi ravissant. Michelle sentait une tendre langueur contre laquelle elle ne pouvait ni dans le fond ne voulait vraiment l'envahir de partout. Bénédicte continua par des soins du visage en appliquant une crème onctueuse et discrètement parfumée en de savants massage. Le fard déposé discrètement en discret cou de pinceau vint composer un tableau plein de nuances parfaitement en harmonie avec la couleur des yeux et des cheveux. Les lèvres à leur tour se laissèrent volontiers re-dessiner et colorier, toujours avec soin et avec le plus grand goût. D'une voix chaude et un peu rauque, Bénédicte demanda ensuite si sa cliente voulait bien revêtir les atours qu'elle lui avait préparé. Michelle sentait qu'elle allait s'aventurer sur un terrain encore plus dangereux mais n'avait plus beaucoup de volonté pour refuser. Elle se contenta de demander si c'était bien nécessaire. Les deux mains expertes lu répondirent silencieusement en commençant à ôter le grand pull gris habituel. Tout naturellement ensuite elles dégrafèrent le soutien-gorge qu'elle se mirent en devoir de remplacer par un modèle beaucoup plus seyant. Ce faisant, elles ne faisaient qu'effleurer avec un apparent détachement, les globes ronds et fermes et surtout les bouts rendus hypersensibles mais cela suffisait à développer jusqu'à l'insupportable le désir de contact plus ferme chez leur propriétaire. Cette dernière comme avec soulagement sentit qu'on déboutonnait le jean. Elle laissa sans aucune résistance le pantalon tomber sur ses chevilles .et pleine d'espoir se laissa débarrasser de ses chaussettes et enfin de sa petite culotte qu'elle avait abondamment détrempée. Bénédicte en apparence imperturbable, mais surtout parfaitement maîtresse d'elle-même, comme de la situation se contentait de passer les pièces d'habillement d'une manière certes douce et caressantes, mais parfaitement neutre, au grand désespoir de la bénéficiaire de ses attentions. Bientôt, elle eut terminé son ouvrage et apparemment satisfaite, prit Michelle par la taille, pour la conduire devant un grand miroir. Elle avait choisi un ensemble qui associait comme la dernière fois un camaïeu de bleus parfaitement assortis. Les collants bleu pastel qui gainait les longues jambes fuselées jusqu'aux cuisses, étaient surmontés d'une minijupe bleu marine en velours uni, puis d'un joli petit pull en angora, bleu pâle le tout coiffé d'un coquin petit béret assortis à la jupe. Bénédicte avait ajouté quelques bijoux discrets qui faisaient ressortir l'ensemble Michelle était absolument méconnaissable mais adorable " à croquer" ainsi vêtue. C'est ce que pensait Bénédicte, fière du résultat obtenu, mais aussi l'intéressée elle-même qui ne cessait de s'admirer dans la glace qui lui renvoyait son reflet. De la même voix sensuelle, chaude et un peu rauque, Bénédicte demanda à "sa modèle", si elle était satisfaite, tout en maintenant une prise possessive mais douce au niveau de la taille de Michelle. Celle-ci qui se sentait aussi prête à s'abandonner qu'un fruit trop mur à tomber, eut d'une seul coup une peur irraisonnée d'être laissée ainsi. Comme étranglée par l'émotion, elle ne parvint pas à répondre de manière audible et en rougissant délicieusement se retourna pour enfouir sont visage contre l'épaule de Bénédicte. Celle-ci, calmement répéta sa question sans se départir de son ton engageant. Michelle avoua dans un souffle qu'elle se trouvait très jolie mais aussi qu'elle se trouvait bien dans ses bras et qu'elle ne voulait plus partir.. Bénédicte commença par déposer de petits baiser dans le cou de celle à qui elle servait de soutien en s'interrompant de temps en temps pour la questionner. Elle lui demanda si c'était bien ce qu'elle souhaitait et lui fit répéter plusieurs fois. De plus en plus rougissante, terrassée par la honte mais aussi le désir, Michelle s'entendit supplier son interlocutrice à voix haute qu'elle la prenne sans plus attendre. La jolie brune ne se fit pas prier davantage e(t la gratifia d'un baiser profond et prolongé, accompagnée d'une ferme étreinte. Michelle soulagée, s'offrait sans réserve .Elle ouvrait docilement la bouche à la langue décidée qui la fouillait minutieusement.. Bénédicte n'ayant plus aucun dot sur le consentement total de sa partenaire à qui elle l'avait fait aussi dûment constaté poursuivit méthodiquement ses entreprises. La jolie blonde faisait à présent fi de tous complexes et pressait frénétiquement son pubis contre celui de sa partenaire pour apaiser les délicieuses tension qui y prenaient naissance. La maîtresse du jeux ne voulait pas d'une simple séance accomplie à la va vite et le fit énergiquement comprendre à sa partenaire. Michelle malgré son intense désir se fit docile et se laissa entièrement déshabiller puis conduire sur le lit. Elle patienta le temps que sa brune initiatrice adopte la même tenue. Elle ne put s'empêcher la plastique parfaite qui s'offrait à son regard et qui automatiquement réveilla son désir. Entièrement nues et donc libres de toutes entraves, les deux filles purent s'enlacer à leur guise. Bénédicte plus expérimentée dans ce domaine guidait les ébats maintenant chez sa partenaire une excitation à la limite du tolérable. Elle connaissait à merveille, et pour cause, toutes les ressources du corps féminin et les désirs secrets que les filles n'osent même pas avouer à leurs amants. Au bout d'un moment, elle profita de l'intense désir de Michelle pour se retourner tête bêche et déguster le fruit trop mur qui laissait sourdre son jus en abondance. Elle déplissa avec précaution l'écrin de duvet blond, puis se mit à laper avec gourmandise, le délice rose et mouillé qui s'offrait à sa langue. Michelle tétait parcouru sans cesse par des ondes de plaisir, elle étreignit avec force la taille souple de se brune maîtresse et enfouit à son tour son délicat museau entre les deux cuisses qu'elle serrait de toutes ses forces au fur et à mesure qu'elle jouissait en soulevant les fesses en cadence. L'orgasme qu'elles éprouvèrent bientôt ne leur suffit pas et elles continuèrent longtemps à se lécher et à se toiletter à qui mieux mieux. Michelle avait finit par admette ses désirs et les plaisirs qu'elle retirait de ses étreintes. Encore un peu intimidée elle le confia dans le creux de l'oreille de la jolie brune qui ne semblait pas se rassasier de ses blondes rondeurs. Bénédicte était dominante et aimait posséder pleinement ses conquêtes; Elle prit possession avec autorité de la vulve ruisselante de sa blonde amante et la pénétra sans difficulté d'un doigt puis d'une autre. Michelle aimait être comblée et s'ouvrit volontiers aux doigts qui la fouillaient délicieusement. La maîtresse du jeu combina alors de tendres mais énergiques pression du pouce resté à l'extérieur pour satisfaire le délicat bouton clitoridien à de puissant va et vient qui distendait délicieusement l'anneau vaginal dont elle avait désormais l'entier contrôle. Elle amena une nouvelle fois Michelle à l'orgasme exactement quand et comme elle le voulait. La blonde que beaucoup trouvaient rebelle lui était entièrement soumise et s'abandonnait docilement tant à ses doigt qu'à sa langue qui avait repris possession de la bouche délicate. Les deux filles restèrent ainsi encore étroitement enlacées encor quelques minutes puis Bénédicte sans se départir de son humour déclara qu'il était temps qu'elle refasse rapidement une beauté à sa "petite chérie". Michelle ne prosta pas et se mit à la disposition de celle qui savait que dorénavant elle pourrait la prendre aussi souvent qu'elle en aurait envie. Michelle proposa de prendre une douche mais la jolie brune, lui assura en riant que son amant n'en serait que plus excité si elle n'en faisait rien. Michelle ne put s'empêcher de rougir en jurant bien que Marc ne serait au courant de rien. Bénédicte en souriant lui dit qu'elle l'espérait bien ainsi avant de déposer un ultime baiser sur les lèvres qui avait encore le goût de son intimité. Elle débarbouilla en un tour de main son amante et la prépara pour celui qu'elle ne considérait même pas comme un rival, après l'éloquente démonstration que Michelle venait de lui faire de son parfait consentement à devenir son amante quand elle en exprimerait la désir. Elle se quittèrent ainsi, la jolie brune se contentant de dire à celle qu'elle venait d'initier, un "A bientôt !" en la pressant de rejoindre son compagnon.
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