Séverine au manoir Towerton

Page 8

Séverine arriva en courant mais ne put que constater avec désespoir que La voiture avait disparue.

Elle regarda à droite et à gauche, courut encore mais le village n’était pas grand et le doute n’était pas permis. Il lui fallait se rendre à l’évidence Ladu Towerton l’avait abandonnée. Elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle même ayant plus d’un quart d’heure de retard

Il lui faudrait rentrer au manoir à pied ce qui faisait près de cinq miles. Un rapide coup d’œil à sa montre confirma ce qu’elle redoutait : elle serait en retard pour le service du soir. Elle se mit à courir car elle savait qu’à cet heure là il n’y avait guère de chance que quelqu’un emprunte la route qui ne desservait que le manoir.

Tout en s’efforçant d’aller le plus vote possible elle imaginait déjà les terribles conséquences de sa faute. Lord Towerton la punirait très certainement quant à sa femme elle serait aussi furieuse

Les leçons de Lord Towerton

« Mademoiselle cette fois je vous administrerai moi-même votre punition,car je crains que John ne se soit montré un peu trop indulgent avec vous la dernière fois » déclara Lord Towerton du ton sans réplique que la toute jeune fille ne lui connaissait que trop.

Elle sentit son visage s’empourprer au rappel des événements qui l’avaient vu céder complètement aux entreprises hardies du viril intendant pour éviter un châtiment trop durement appliqué.

Elle ne savait pas trop jusqu’à quel point le maître de maison avait été mis au courant des circonstances précises dans lesquelles sa « punition » lui avait été administrée mais rien que d’imaginer qu’il ait pu savoir quelques détails la plongeait dans la honte la plus absolue

« Je pense que douze coups sont bien mérités et j’espère suffisants ! » continua le détenteur du titre de la famille Towerton qui dépité de n’avoir pu assister à la dernière correction de Séverine ne voulait pas être privé d’un spectacle qu’il affectionnait tout particulièrement. « Je vous les administrerais ce soir après le repas dans mon bureau pour l’instant prenez votre service sans plus de retard. » . Le verdict tombé la malheureuse se dépêcha de rejoindre Mary à l’office. Elle ne songeait pas à se plaindre car cette fois elle était on ne peut plus coupable.

Elle n’avait osé affronter non plus le regard de sa protectrice qui n’avait pas prononcé un mot . Elle avait trahit sa confiance et elle en redoutait aussi le châtiment autant sinon plus que celui de Lord Towerton. Pendant tous les repas la jeune fille garda les yeux baissés en s’appliquant au maximum pour ne pas aggraver encore son cas tout en constatant que personne ne lui adressait la parole.

Le soir venu, elle suivit docilement le maître de maison dans son bureau privé. Cette fois personne ne pouvait venir au secours de la malheureuse adolescente qui depuis l’exposé du sévère verdict n’en menait vraiment pas large. Lady Towerton ne pourrait pas tirer d’affaire sa jeune protégée, même si elle en avait eu l’intention ce qui vu les circonstances, était plus qu’improbable.

Complètement anéantie Séverine se jeta immédiatement aux pieds de son juge respectable et autoritaire pour plaider une cause qu’elle pensait malgré tout désespérée.

«Je vous prie Milord, je ne pourrais jamais le supporter c’est trop douloureux » bredouilla-t-elle en sanglotant humblement à genoux devant son juge et futur bourreau. « Je suis prête à faire tout ce que vous voudrez mais je vous en supplie ne me frappez pas avec ça ! »

Lord Towerton contemplait avec ravissement l’adolescente bouleversée et terrorisée à l’idée de recevoir une correction qu’il estimait au fond de lui même, particulièrement sévère. "Nul doute qu’elle était prête à accepter n’importe quoi pour sauver la tendre peau de ses jolies petites fesses.!" pensait-il en lui-même.

« Vous n’êtes pas encore prête à vous comporter en femme adulte comme notre glorieux pays aime en former dans nos fameuses écoles ! »laissa-t-il tomber avec dédain .

« Pour cela il vous faudrait accepter stoïquement le châtiment que vous avez amplement mérité, comme le ferait certainement une jeune fille de nos familles » poursuivit-il sans grande illusion sur les prétentions de son interlocutrice dans ce domaine.

« Dans ce cas je vais donc être obligé de vous traiter comme une toute petite fille douillette ! » continua –t-il sur le même ton .

« Déshabillez-vous donc et pliez soigneusement toute votre garde robe sur mon bureau » reprit-il enfin cette fois tout à fait impératif

Reprenant un peu d’espoir l’adolescente ne se fit pas prier davantage elle se releva et fit glisser à ses pieds, la petite jupe noire qu’elle devait porter en permanence depuis son arrivée au manoir. Elle de hâta d’ôter le chemisier blanc puis après avoir eu confirmation d’un hochement, de tête, le soutien-gorge et la petite culotte.

« Enlevez aussi vos chaussures et vos bijoux, approchez et remettez moi le tout » furent les consignes suivantes données par le maître la maison.

Séverine du mieux qu’elle put fit un petit paquet de tout ses effets Complètement nue comme au jour de sa naissance, elle s’approcha humblement pour les mettre à disposition de celui qui plus que jamais représentait l’autorité compétente.

Celui ci en pris possession, vérifia le bon agencement du tas de vêtements, déplia comme pour l’inspecter la petite culotte avant de la replier soigneusement. La toute jeune fille était maintenant horriblement honteuse de se retrouver toute nue , immobile devant l’homme qui se permettait de manipuler sans aucun respect le linge qu’elle avait porté toute la journée et qui était imprégné de sa sueur à la suite de la course qu’elle venait d’accomplir. Le pire était encore que le petit sous vêtement chargé d’abriter abriter sa plus sticte intimité portait les traces encore humides de ses récents ébats. Plus que nue, elle était ainsi exposée à la merci de son juge et contrainte de mettre en évidence malgré elle ce qu’elle aurait voulu garder le plus secret.

Lord Towerton posa enfin les vêtements sur son bureau sans avoir l’air de se se rendre compte de la situation. Il détaillait tranquillement, la toute jeune fille rougissante et soumise devant lui expliqua la suite du programme

« Tenez vous correctement, au garde à vous, quand je vous parle » commença-t il alors que l’adolescente tentait maladroitement de dissimuler sa poitrine et son pubis dépouillés de tout voile.

Comme elle obéissait aussitôt, sans plus faire de manière, malgré sa honte , il poursuivit :

« Venez vous installer à plats ventre sur me genoux, je vais vous gratifier d’une fessée à mains nues comme on le fait aux enfant en bas âge puisque vous prétendez ne pas pouvoir supporter ce qui a formé les écoliers de notre pays pendant de nombreuses générations ! »

Séverine fit comme on lui commandait heureuse au moins de ne plus avoir à affronter davantage le regard dominateur et d’être aussi soumise à une punition qu’elle espérait moins insupportablement douloureuse.

Le maître maison qui était aussi dans ces circonstances le maître du jeu la fit donc mettre à genoux puis s’étendre de tout son long sur ses genoux ,cuisses bien écartées. Il la disposait ainsi entièrement à sa guise et sans aucune attention pour sa pudeur. Il allait la traiter exactement comme une toute petite fille dont on ignore toute préoccupation sexuelle et toute prétention à un respect quelconque de son intimité.

Le détenteur du titre des Towerton n’était finalement pas mécontent d’avoir tous les prétextes pour étreindre très intimement ce corps juvénile et souple et palper la peau délicieusement tendre de ses courbes enchanteresses.

Il savait qu’il allait pouvoir en user, sans déclencher la moindre protestation tant la jeune soumise redoutait de le voir opter de nouveau pour une plus sévère correction. Il n’allait pas s’en priver et ferait durer le plaisir autant qu’il en aurait l’envie.

Il entrepris posément de distribuer quelques claques bien sèches sur le petit derrière qui les attendait avec anxiété. L’adolescente se cabrait à chaque coup mais reprenait docilement la position exigée, tout aussitôt, encouragée, si elle tardait par des pressions fermes et précises. La main correctrice méthodiquement distribua ses coups aussi bien sur les fesses fermes et rebondies que sur les cuisses fuselées qui bientôt furent harmonieusement portées au rouge. L’adolescente se mordait les lèvres chaque fois pour éviter de crier, mais bientôt de chaudes larmes inondèrent et abdiquant le peu de dignité qui lui restait se répandit en gros sanglots. Son tortionnaire opta alors pour des frictions puis des caresses de plus en plus tendres qui apaisaient les douleurs mais réveillaient inéluctablement des désirs peu avouables par une toute jeune fille à un homme beaucoup plus agé. Il lui expliqua alors ce qu’il attendait d’elle.

« Je vais vous raconter une histoire qui vous montrera ce qui peut arriver quand on accepte pas la punition que l’on mérite !

Lord Towerton se rappelait dans ces circonstances un épisode bien précis qui l’avait marque pour la vie.

"Wendy" ou la punition de Michaël

Séverine avait écouté sans mots dire cette histoire mais cela ne l’avais pas décidée à demander qu’on lui inflige la punition initiale. Lord Towerton lui confirma que dans ce cas là, elle devrait se montrer docile et obéissante.

Il lui demanda donc, sûr de con consentement de bien vouloir se mettre en demeure de soulager l’énorme tension que sa punition comme l’évocation de ses anciens souvenir avait fait naître. Il guida les mains juvéniles et forcément un peu maladroites pour dégager son noble sceptre puis pour l’honorer comme il convient. Il commanda ensuite à son élève novice mais attentive et pleine de bonne volonté de parfaire son ouvrage son ouvrage en se servant de sa petite langue gourmande et de ses lèvres délicates. Un peu surprise par ces exigences mais sachant qu’elles ne souffriraient aucune tergiversation elle obtempéra. Elle commença tout d ’abord avec réserve et prudence puis comme elle bénéficiait en retour d’encouragements qui flattaient ses fesses toujours à la disposition du maître de maison, elle s’enhardit davantage et avec un instinct féminin déjà très sûr, laissa libre cours à son imagination.

Lord Towerton ne voulait pas cependant donner à cette tout jeune fille, le spectacle de sa jouissance totale et soucieux de garder toute la dignité qu’exigeait son rang mit fin à la leçon avant que l’on parvienne à des extrémités qui pourraient se révéler plus tard regrettables . Il avait simplement l’intention de démontrer à l’adolescente que son refus d’accepter stoïquement une douloureuse punition lui imposait de d’offrir avec humilité et soumission les compensations indispensables à la satisfaction d’ l’offensé.

Il autorisa Séverine à s’habiller, non sans lui avoir indiqué que dorénavant et jusqu’à la fin de son séjour, elle devrait sans protester et sur le champs, venir dans son bureau aussi souvent qu’il l’exigerait et pour commencer tous les mardis soir. Elle devrait alors remplir sans protester, comme aujourd’hui, toutes les obligations qu’il lui imposerait dans le but perfectionner son apprentissage de fille soumise.

Séverine promit qu’elle serait obéissante puis ayant obtenu la permission de se retirer courut dans sa chambre.

La punition exigée par France pour pardonner à Séverine

France Towerton l’y attendait.

Elle rougit violemment en faisant cette découverte comme si la noble dame savait déjà tout ce qui s’était passé depuis qu’elle l’avait quitté. Elle ne savait quelle contenance adopter et finit par se jeter à genoux aux pieds de sa protectrice qui restait muette en pleurant et lui demandant pardon.

Lady Towerton aimait sincèrement et de plus en plus sa jeune protégée et lui montra sans trop attendre qu’elle lui donnerait l’absolution prochainement en lui caressant tendrement ses cheveux.

« Je veux que tu me dises tout et tout de suite. Enfin si tu veux que je t’aime encore un peu ! » dit alors France d’un ton qui était ferme et qui, sans être accompagné de tendres caresses, aurait glacé l’adolescente .

D’une main plus ferme elle souleva ensuite le menton de la jeune fille toujours à genoux et l’obligeant à lui faire face lui demanda « Alors raconte ! ».

Les yeux baissé et les joues en feu Séverine se confessa en sanglotant. Elle avoua sa fugue pour rejoindre le jeune rugbyman, les étreintes trop prolongées qui s’en était suivit, sa course pour revenir du village à pied puis la leçon que lui avait donné le maître de maison. Lady Towerton exigeait de connaître les moindres détails et surtout le plaisir que la jeune fille avait éprouvé. Avec sincérité l’adolescente confia à sa protectrice tout ce que cette dernière voulait savoir. La noble dame était plus émue qu’elle ne souhaitait le montrer de l’abandon confiant et total dont faisait preuve Séverine qui était évidement contrite et terriblement angoissée à la perspective de perdre l’amour qui lui était le plus cher au monde à ce moment là.

France ayant obtenu ce qu’elle attendait expliqua à la jeune fille qu’elle l’avait beaucoup déçue et qu’il lui faudrait désormais faire de sérieux efforts pour mériter de nouveau qu’elle s’intéresse à elle. Une bonne punition et des preuves de bonne volonté serait bien sûr indispensables. Séverine reconnut ses fautes et jura qu’elle ferait tout être à la hauteur de ce que sa maîtresse attendrait d’elle en particulier qu’elle n’aurait jamais plus de relation avec quiconque sans sa permission. France lui dit pour commencer qu’elle ne partagerait plus son lit à partir de cette nuit là. Elle l’envoya ensuite hercher à la salle de bains un paquet de couches pour bébés qui datait de l’époque où les jumelles en avait besoin et l’obligea à en revêtir une, en lui interdisant d’aller désormais aux toilettes sans sa permission . Puisqu’elle voulait se comporter comme une petite fille incapable de gérer ses envies : lle devrait en revêtir l’uniforme !

Le lendemain France appela Séverine qui se présenta piteusement la couche pleine et mal ajustée. La pauvre fille consciente du ridicule de sa situation baissa les yeux rougis de pleurs. France la sermonna de nouveau :

"Je croyais m’être bien occupée de toi. Je t’ai fait baiser régulièrement par John et il n'ya pas plus de quinze jours, par toute son équipe. Je pensais que cela te calmerais, mais je vois qu’au contraire tu ne penses plus qu’à ça. Je croyais aussi que tu m’aimais mes apparemment mes caresses et mes baisers ne te suffisent pas.!"

Séverine tomba à genoux devant sa maîtresse et en sanglotant demanda pardon, jura qu’elle n’aimais qu’elle, que David n’était qu’une envie passagère et qu’elle ferait n’importe quoi pour regagner sa confiance.

France n’était pas méchante Elle ne voulait pas trop faire souffrir la jeune fille qu’elle adorait et qu’elle savait sincère. Elle lui annonça qu’elle voulait bien lui pardonner et la reprendre dans son lit, à condition qu’elle accepte la punition qu’elle devait lui infliger malgré tout. Séverine lui promit qu’elle accepterait tout. La sentence fut alors prononcé : dès l’après midi, Séverine accompagnerait sa maîtresse au garage où travaillait David et devant tous les ouvriers présents déclarerait publiquement que seule Lady Towerton pouvait décider quand et par qui elle devait être baisée et qu’elle lui avait fait offense en cèdant sans sa permission au jeune ouvrier.

Sa maîtresse lui administrerait alors toujours en public une bonne fessée, après l’avoir bien sûr troussée jusqu’à la taille et déculottée jusqu’au genoux. La punition était sévère et humiliante mais parfaitement méritée. De plus, elle serait une bonne leçon pour la jeune fille qui n’oserait plus guère se montrer seule au village.

Séverine malgré tout accepta toutes ces con=ditons sans protester. Lady Towerton la fit relever l’autorisa à enlever sa couche et l’embrassa tendrement. Elle lui annonça aussi qu’elle allait se mettre en rapport avec l’entraineur de l’équipe de rugby dont elle avait visiblement apprécié les prestations de manière à ce que tous les samedi, trois joueurs puissent calmer ses ardeurs mais c’est elle-même qui les choisiraient et le beau David n’aurait pas l’exclusivité ! France ne voulait pas que sa petite protégée ne s’amourache bêtement de ce jeune homme ! Séverine était un peu honteuse de voir la façon dont sa maîtresse considérait ses besoins masculins mais dans le fond elle devait bien avouer que c’était la meilleure solution.