La punition de Michael
Alors qu’il avait environ douze ans et qu’il était encore tout jeune élève d’un prestigieux collège privé, Charles Towerton, avait pour la première fois, avec un camarade du même âge, nommé Michael, écopé d’un châtiment corporel assez sévère. Il ne se souvenait plus de la raison qui avait motivé cette punition mais il revoyait la scène comme s’il y participait encore.
Terrifiés par la sentence, les deux jeunes élèves avaient implorés le responsable de la discipline d’y surseoir, en promettant de ne pas recommencer. Le professeur n’avait pas répondu mais les avait tout deux sommés de venir sur l’estrade, puis de faire face à la classe entière. La canne à la main, le maître leur avait ordonné sans plus de discours de baisser leur culotte courte et leur caleçon jusqu’aux chevilles et de rester ainsi les mains sur la tête. Pris au dépourvus et malgré le caractère humiliant de la demande, ils avaient dû obtempérer sur le champ.
A cet époque, certains gestes entre personnes du même sexe n'étaient pas interprétées comme de nos jours et un responsable d'enseignement avait toute l'autorité morale pour faire ce qui lui semblait nécessaire dans l'intérêt de ses élèves. Profitant de la situation, le maître avait donc pris le sexe de chacun des deux élèves, dans une de ses mains Il s’était alors adressé à la classe entière et avait interrogé leur camarades pour savoir si à leur avis, il avait affaire à des filles ou des garçons. Marchant maladroitement, empêtrés dans leurs vêtements et les mains sur la tête, il les avait ensuite obligés à faire le tour de la classe, en demandant à leurs camarades de vérifier comme il venait de le faire lui même, la nature des organes génitaux des deux pauvres malheureux.
Après avoir été palpés ironiquement par tous, il les avait fait placer puis courber en avant près de son bureau. Il avait ensuite demandé à chacun de leurs de leur camarades de venir leur donner un coup de canne pendant qu'assis sur une chaise entre eux deux, il les maintenait fermement par leur verge érigée comme on peut le deviner après un tel traitement !
Son camarade, au bout de quelques coups, éclata en sanglots et supplia que l’on mette fin à son tourment. Le maître lui donna avec beaucoup de perversité, le choix entre la poursuite des coups de canne ou leur remplacement par une tendre caresse. Terrorisé par les premiers coups et sans voir immédiatement les conséquences possiblement désastreuses d’un tel choix, le malheureux opta pour la seconde solution, pensant à tort ( !) qu'un moment de honte est vite passé !

Tandis que Charles continuait à souffrir le plus stoïquement possible sous les coups, son camarade bénéficiait ouvertement des tendres attentions du maître et de ses camarades qui chacun à leur tour venaient caresser son postérieur d’un air moqueur.La séance terminée, Charles fut autorisé à se rhabiller ayant vaillamment supporté sa punition, tandis que son camarade fut invité fermement à attendre toujours dans la même position.

Le maître s’absenta quelques minutes et revint un sac à la main. Il ordonna à Michael d’ôter complètement sa culotte et son caleçon. Il sortit de son sac une petite culotte à fleurs ornée de dentelle et une jupe courte qu’il avait dû emprunter à sa fille et obligea le jeune garçon, au comble de la honte, à les revêtir.

« Je vous propose d’accueillir désormais "Mademoiselle Wendy" dans votre classe, » dit-il enfin en désignant le pauvre garçon à la fois terrorisé et mort de honte.

« Wendy, allez vous asseoir à la place de Michael et soyez attentive nous allons reprendre nos leçons » continua le professeur scellant ainsi le sort qui serait désormais réservé au garçon qui n’avait pas eu le courage d’endurer son châtiment.

Son maître et tortionnaire veilla à ce que sa garde-robe soit suffisante et dès le lendemain lui apporta les éléments d’un trousseau de fille, avec une magnifique collection de petites culottes du même type et quelques jupes courtes d’uniforme bleu marine.

Jusqu’à la fin du trimestre, l’infortuné élève ne fut pas autorisé à porter chaque jours autre chose que des vêtements féminins tandis que tous le surnommaient avec la cruauté des jeunes adolescents de leur âge : Wendy.

La fin de trimestre approchait et Wendy/ Michael allait être autorisé à rentrer chez lui . Il supplia une nouvelle fois le professeur qui s’était montré inflexible jusqu’alors de l’autoriser à s’habiller en garçon comme ses camarades, mortellement angoissé à l’idée que ses parents puissent le découvrir dans la tenue qui lui était imposée depuis plusieurs semaines.
Le maître jugeant que la leçon avait du porter ses fruits, daigna cette fois y consentir. Il exigea cependantr que l'élève accepte de subir de nouveau et depuis le début, la punition qu’il avait refusé initialement. Wendy/ Michael accepta et cette fois, malgré les cuisantes douleurs qui lui était infligées, réussit à supporter son châtiment jusqu'à son terme. Il fut donc autoriser à reprendre sa tenue réglementaire de garçon, quelques jours avant la fin du trimestre. Bien entendu, il ne s’était pas vanté de cette histoire par la suite à quiconque et il réussit l’année suivante à changer d’établissement.

Aucun de ses anciens camarades ne devait jamais le revoir .