L'initiation de Gabriela
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Gabriela avait trouvé, pensait-elle une excellente solution pour masquer son nouveau renvoi du pensionnat pour une semaine minimum, qu'elle avait négocié avec la mère supérieure avait qui elle s'était montrée très aimable et repentante. Elle avait signé elle-même le courrier informant son père de son exclusion temporaire et décidé de passer le temps de sa punition à "la Huerta". Personne n'y verrait rien et elle essaierait de se faire un peu oublier à son retour, sachant que la directrice, sensible aux charmes juvéniles qu'elle venait de lui révéler, en simulant la parfaite ingénuité, se montrerait probablement assez tolérante à l'avenir. (Voir la confession de Gabriela)
Elle descendit du train et décida de faire le restant du chemin à pied, même s'il y en avait pour près d'une heure de route. A son arrivée, elle fut saluée respectueusement par le peloton de garde. Personne, comme elle l'avait espéré, ne parut surpris de la voir, ni n'osa bien sûr la questionner sur sa présence en ces lieux, pendant une période de fonctionnement scolaire . Elle donna cependant des explications sommaires à la gouvernante, ainsi que des ordres pour ses repas et s'installa dans sa chambre. Tout se présentait bien. Les premiers jours passèrent sans incident, le général occupé ne vint pas troubler sa résidence de week-end. Au milieu de la semaine pourtant, en pleine nuit, Gabriela fut réveillée par des bruits violents. Sans se douter de ce qu se passait, elle enfila rapidement un peignoir et descendit quatre à quatre les escaliers.A peine arrivée à la moitié, elle s'arrêta stupéfaite. Des hommes, le visage peint en noir, en treillis et en armes, s'agitaient bruyamment dans l'entrée. Elle compris immédiatement qu'il ne s'agissait pas de soldats de l'armée régulière. Incapable de bouger, figée par la terreur, elle finit immanquablement par être repérée par l'un deux. Ce dernier ayant signalé sa présence à ses camarades, eu tôt fait de la rejoindre et de s'emparer d'elle, suivit aussitôt par deux acolytes. Il la descendirent sans ménagement dans la pièce principale au rez-de-chaussée. Ils la présentèrent à un de ceux qui semblait avoir autorité sur le groupe qui l'interrogea brutalement. Sans réfléchir, elle se présenta comme étant la fille du général, ministre de l'Intérieur, pensant impressionner ses adversaires. Ceux-ci au contraire, nullement décontenancés par une telle révélation, éclatèrent de rires. Le chef supposé s'approcha d'elle, lui prit le menton d'une main et tout en ricanant, félicita ses hommes, pour "le joli poisson" qu'ils venaient d'attraper . Il se mit à la détailler en terme obscènes, tout en palpant ses jeunes appâts, à moitié exposés malgré elle. L'adolescente se débattit et réussit, hélas momentanément à échapper aux mains irrespectueuses de son principal agresseur. Ses gardiens n'eurent cependant aucune difficulté pour l'immobiliser strictement de nouveau et la présenter à leur chef. Celui-ci vexé, commença par gifler la jeune fille, incapable d'éviter les coups puis tout en reprenant ses commentaires assortis de menaces, il arracha le peignoir et mis à nu la jeune poitrine, dont il s'empara en la palpant d'une manière salace. Abasourdi par les claques reçues, Gabriela, impuissante, assistait hébétée, au début de son viol. Incrédule, elle sentit qu'on arrachait complètement son peignoir et sa chemise et se retrouva entièrement nue, en un tour de main. L'homme satisfait lui demanda si elle se sentait toujours aussi fière, tandis que tous les hommes faisait cercle autour d'elle, contemplant goguenards, son anatomie entièrement exposée. Glissant une main entre les cuisses qu'elle serrait convulsivement sans résultat, il la palpa d'une main brutale, tranquillement, tout en lui annonçant qu'elle allait servir d'exutoire à tous ses hommes qui la posséderaient à loisirs, après qu'il leur ait montré la voie. Il donna l'ordre de l'allonger sur la table, afin qu'ils puissent accomplir plus commodément leur forfait. Terrorisée, l'adolescente, ne pouvait que hurler tout sachant bien que ses cris, tout en provoquant l'hilarité générale, ne pouvaient que stimuler ses agresseurs. Alors qu'elle était étendue sur le dos, maintenue cuisses largement écartées par cinq hommes et qu'elle avait perdu tout espoir en voyant l'horrible personnage, déboutonner hilare, son pantalon et exhiber un sexe dressé prêt à l'investir, elle entendit des voix et du bruit. Les hommes se retournèrent vers le groupe qui entrait avec à leur tête une jeune femme, un turban dans les cheveux, l'air décidé. Elle apostropha immédiatement celui qui semblait jusque là diriger les opérations et qui adopta immédiatement une attitude différente, se reculottant à la hâte sous les commentaires peu amènes de la nouvelle arrivée. Les hommes présents mirent immédiatement au courant celle qui dirigeait effectivement, à l'évidence l'opération, de leur prise, en attendant de nouveaux ordres. La jeune femme entra dans une colère impressionnante qui fit baisser la tête à tous ces hommes "forts", qui s'apprêtait à démontrer leur virilité, en violant à une bonne dizaine, une gamine tout juste pubère. Ils plièrent rapidement armes et bagages tandis que sans perdre de temps, la jeune femme faisait ligoter solidement l'adolescente, avant de l'envelopper dans le peignoir récupéré à la hâte. Gabriela reprit un peu espoir, même si sa situation restait des plus précaires On la réveilla avec des tendre caresses qui la firent cependant sursauter, tellement elle était tendue par l'angoisse. Le bandeau enlevé, elle reconnut la jeune femme qui l'avait pris en charge la veille. En souriant, celle-ci lui conseilla de se tenir tranquille pendant qu'elle allait s'occuper d'elle. Josefa qui se présenta ainsi, était la cheftaine d'un petit groupe d'opposants au régime qui avaient pris le maquis, dans une région montagneuse, à une centaine de kilomètres de la capitale. Ces derniers avaient appris que le général et ministre de père de l'adolescente, dissimulait certains dossiers dans sa villa privée, dont même ses services officiels, ignoraient les détails. Le groupe armé avait décidé d'un coup de main sur la résidence dont la garde n'était pas très fournie, en l'absence de ses occupants, pendant la semaine. La toute jeune fille qui s'était trouvée là par hasard, représentait une aubaine pour la petite troupe qui pensait obtenir ainsi une coquette rançon en négociant directement avec le général .Celui-ci ne souhaiterait probablement pas que cette affaire soit ébruitée, même auprès de ses amis politiques. L'adolescente ne comprenait rien à cette histoire mais se rendit compte sans peine , comme on plaçait des fers reliés par une chaîne à ses chevilles, qu'elle ne serait vraisemblablement pas libérée de sitôt. La jeune femme énergique la fit se retourner, à plat ventre, pour lui placer une paire de menottes aux poignets. Cette manœuvre fit tomber les haillons qui cachaient un peu la nudité de la prisonnière. Celle-ci par réflexe, essaya tant bien que mal de dissimuler ses fesses nues, provoquant l'hilarité de sa geôlière. Josefa pour toute réponse arracha les deniers morceaux de tissu et enleva les liens provisoires, en recommandant à la toute jeune fille, de faire moins de cas de sa fierté et de sa pudeur qui allaient être mises à rude épreuve. Elle tailla au couteau un morceau de peignoir, en un vague triangle, pour en faire un minuscule pagne qui ne dissimulait qu'à peine la base des fesses et le petit triangle de toison brune. Elle le ceignit sans plus de manière, autour de la taille juvénile. Elle fit lever Gabriela qui se retrouvait ainsi enchaînée pratiquement nue, contrainte en particulier de montrer sa jeune poitrine qui continuait à se dresser fièrement. Satisfaite du résultat, Josefa tira sur la chaîne et la fit sortir de la pièce, puis de la baraque qui lui servait à la fois de logement et de poste de commandement. Dehors une foule composée de des guerilleros et de leur famille, attendait qu'on leur montre la prise de la veille. Josefa fixa la chaine à une traverse proche du toit, obligeant Gabriela à tendre ses bras le plus possible vers le haut. L'adolescente sans défense se retrouva obligée d'affronter les regards qui détaillaient à loisirs et avec concupiscence son anatomie tout en contemplant, joyeusement, sa honteuse déconfiture. Josefa l'obligea à se retourner plusieurs fois pour que tous puissent profiter du spectacle. Pour accroître son humiliation, sous prétexte d'apporter des preuves à sa demande de rançon, un photographe prit une série de clichés, dans toutes les positions, clichés bien trop nombreux pour qu'il n'en ait pas l'idée d'en faire ensuite, un autre usage. Une cravache à la mainn Josefa désignait l'adolescente enchaînée, se permettant même de soulever ainsi le pagne déjà bien trop court, pour en montrer encore davantage. Après cette exhibition, Gabriela en sanglots fut ramené à l'intérieur de la baraque et fixée dans la même position tandis que "la commandante" donnait des instructions à son état-major, pour réclamer une rançon. Un des hommes s'approcha d'elle pour tenter de profiter de la situation, en palpant de ses mains rudes le corps émouvant de jeunesse, de grâce et de beauté qu'il venait de pouvoir admirer sous toutes les coutures. La réaction de sa supérieure ne se fit pas attendre et la cloua sur place. Il venait de recevoir un violent coup de cravache, assorti d'une bordée d'injures. Personne n'osa plus s'approcher de la protégée de "la commandante" qui entendait visiblement la réserver à son usage strictement personnel. Lorsqu'elle furent seules, Gabriela qui n'y tenait plus, demanda poliment la permission d'être menée aux toilettes. Son interlocutrice hilare, la pria ironiquement de bien vouloir s'adapter à ses conditions de détention. Elle disparu pour revenir aussitôt, avec un récipient qu'elle plaça entre les cuisses juvéniles, après avoir ôté le pagne. Elle commanda à sa prisonnière de s'exécuter sans délai et de faire attention de ne pas éclabousser; Morte de honte l'adolescente protesta qu'elle ne pourrait pas faire ainsi devant quelqu'un. "La commandante" toujours ironiquement, lui demanda si elle avait besoin de davantage de spectateurs, lui proposant de rappeler ses hommes. Gabriela, terrorisée à l'idée de cette nouvelle humiliation et incapable de se retenir plus longtemps, obéit sans plus attendre, sous les encouragements de sa geôlière. Celle-ci la tâche requise ayant été effectuée comme elle l'avait ordonnée, essuya les dernières gouttes, alla vider le récipient et revint pour donner des informations à sa prisonnière.Tout le temps de sa détention, si elle voulait garder la protection, de la cheftaine de la troupe, la toute jeune fille devrait obéir bien sagement, après avoir exprimé clairement et sans fierté mal placée tous ses besoins. Josefa déciderait d'elle-même, souverainement et sans appel de la méthode la plus appropriée au soulagement de sa captive. Déjà à titre d'exemple, elle devrait se soulager de cette façon, manger de la main de sa gardienne, et accepter de se prêter volontiers à la toilette qu'elle lui ferait, si elle le jugeait nécessaire. L'adolescente promis de se plier à toutes ses exigences et ayant récupéré son minuscule pagne, eut la permission de s'asseoir. Jusqu'au soir, il en fut ainsi . Humblement, Gabriela sollicitait toutes les permissions nécessaires, ne faisait plus de difficultés pour se soulager selon les ordres reçus et acceptait enfin tous les attouchements de sa geôlière, que ce soit pour des soins d'hygiène ou tout autre motif. Le soir venu, elle fut informée qu'elle allait être conduite au lit, pour dormir bien sûr, mais aussi pour partager auparavant des jeux érotiques, selon les désirs de "la commandante" qui après une journée harassante, entendait bien prendre du bon temps et se détendre avant de s'abandonner au sommeil. Josefa tout en tenant ce discours, s'était approchée de la jeune captive, l'avait enlacée et s'apprêtait à l'embrasser langoureusement. L'adolescente crispée essayait d'éviter la bouche gourmande qui voulait prendre possession de la sienne. "La commandante" mit de nouveau clairement et pour la dernière fois, précisa-t-elle, le marché en main de Gabriela : ou l'adolescente exécutait strictement ses ordres en partageant en particulier sa couche ou elle la livrait sans défense, aux hommes de son groupe, pour qu'ils en fassent ce que bon leur semblerait. La toute jeune fille, imaginait aisément ce que serait son sort, si elle choisissait la deuxième solution. et malgré sa honte et ses appréhensions s'empressa de confirmer qu'elle serait obéissante en tout point. L'autoritaire cheftaine, la félicita de son choix raisonnable et la prit par la taille, pour la diriger vers sa chambre. Elle l'étendit sur son lit et fixa solidement ses menottes au bois massif de la tête de lit. Elle se déshabilla tranquillement en peu de temps, car elle portait qu'une chemise, un pantalon, de confortables chaussettes et une paire de botte à l'exception de tout sous-vêtement. Malgré une musculature très apparente, elle gardait des formes féminines, avec un poitrine bien développée et visiblement encore ferme, une taille bien marquée, des fesses et des cuisses rondes mais sans une trace de graisse; En bas d'un ventre plat où l'on devinait une ceinture musculaire puissante, s'étendait une toison épaisse de poils noirs, courts et frisés .Elle s'approcha et dépouilla l'adolescente du fragment de peignoir qui lui servait de pagne, depuis le début de sa séquestration. En souriant, elle rassura du geste et de la voix, la jeune fille qui tremblait de peur. Elle s'allongea près d'elle et "proposa" de passer aux choses sérieuses, sachant que sa partenaire n'avait aucun moyen de lui échapper. Elle enlaça avec des gestes possessifs, le corps encore frêle de l'adolescente entre ses bras et ses cuisses et après avoir caressé tendrement les cheveux et le visage, en disant que tout cela lui plaisait beaucoup, elle embrassa les lèvres dont elle força le passage avec douceur et patience. Gabriela sous l'influence de stimulations beaucoup plus intenses et prolongées que celles dont elle l'avait déjà l'habitude, ne pouvait s'empêcher à chaque fois de se cabrer d'autant qu'elle ne disposait d'aucun moyen pour en prendre le contrôle. "La commandante" souriante, bienveillante et attentive prenait le plus grand soin pour réveiller puis dompter les désirs encore sauvages du jeune corps dont elle avais pris l'entière possession. Petit à petit, Gabriela finit par se détendre, à répondre aux sollicitions dont elle faisait l'objet et attendre patiemment le plaisir qui lui était distillé sans hâte excessive. Elle accueillit avec soumission et respect, la main plaquée sur sa vulve, répondant sans plus de façon, à ses interrogations et s'ouvrant docilement à ses entreprises.. L'adolescente jusqu'alors n'avait connu que des baisers furtifs, de brèves étreintes et des plaisirs solitaires intenses mais de courte durée tandis qu'à présent, Josefa était en train de lui apprendre les bonnes manières pour faire l'amour. Gabriela, finalement intéressée par ces leçons, se comportait en bonne élève, pour répondre, anxieuse de bien faire, aux attentes de sa maîtresse. Satisfaite des premiers résultats obtenus, "la commandante" décida d'accorder enfin un orgasme apaisant à l'adolescente dont elle avait obtenue la reddition complète, après avoir réveillé chez elle, tous les désirs jusqu'aux limites de l'intolérable . Elle plaqua sa vulve contre la cuisse qu'elle avait enfourchée, stimulant à son tour ses propres organes pour accompagner la toute jeune fille, dans le plaisir suprême. Elle accéléra et appuya davantage ses caresses jusqu à ce que l'adolescente, submergée par les voluptueuses sensations implacablement imposées, crie sa jouissance en se tordant malgré ses entraves et le corps puissant qui la contraignait. Josefa jouit à son tour, en berçant le corps devenu inerte et fremissant.Avec tendresse, elle continua à calmer la toute jeune fille, par des caresss et des baisers très doux en lui promettant de lui montrer encore beaucoup d'autres choses. Les jours suivants, comme les nuits qui leur succédèrent, Gabriela se fit obéissante et docile au-delà des espérances de la maîtresse qui dirigeait toute sa vie, dans les moindres détails. Dés le deuxième soir, après avoir bénéficié d'une très tendre démonstration du bien que peut faire une langue utilisée habilement, pour réjouir de façon bien supérieure à un membre viril, le réceptacle féminin naturel, elle fut conviée avec précaution et patience à s'initier à cet art. La jeunesse, quand elle est bien motivée apprend vite, après quelques hésitations bien naturelles, l'adolescente n'eut bientôt de cesse de disposer son visage entre les cuisses fermes et musclée de sa maîtresse, pour y accomplir avec fierté et délectation, la réponse identique à la caresse qui la faisait fondre de plaisir. Josefa, de son côté ne put bientôt plus attendre le soir, pour boire le jus acidulé du fruit qu'elle avait fait mûrir,bien à l'abri, dans son juvénile écrin de duvet noir. Il lui arrivait ainsi, plusieurs fois dans la journée, sans prendre le temps de coucher la toute jeune fille, de s'agenouiller devant elle, pour cueillir, rapidement d'un coup de langue, la sève délicieuse qui ne cessait de sourdre à l'orée du nid tiède et parfumé de féminines effluves. Cependant, le soir venu c'est sans précipitation, qu'elle conduisait l'adolescente,toute conquise, déjà ruisselante et prête, dans son lit. Elle la dégustait alors sans hâte, en en savourant la moindre parcelle de muqueuse enfiévrée jusqu'à la faire presque s'évanouir de divine félicité. Complètement libérée de ses peurs et de ses pudiques réserves, Gabriela s'abandonnait en toute confiance, à celle qui prenait possession de tout son corps. Elle ouvrait bouche et sexe aux doigts comme aux lèvres qui voulaient s'en repaître, elle donnait sans réserve, seins , cuisses et fesses aux mains possessives qui désiraient les tenir Inlassablement, elle offrait humbmement son plaisir, quand on voulait bien l'en gratifier. Les jours cependant passaient et bientôt la réponse positive du général, parvint à ses opposants. "La commandante" ne pouvait plus justifier devant personne, la détention de sa captive adorée. Josefa lui annonça au dernier moment, la mort dans l'âme, qu'elle allait devoir la libérer. Gabriela sachant que son retour serait l'occasion de sérieuses représailles, la pria naïvement de la garder près d'elle. En riant pour essayer de donner le change, l"a commandante" lui caressa tendrement la joue, mais lui expliqua que la rançon serait bien plus utile pour la cause qu'elle servait, que la petite bourgeoise, même complètement initiée et soumise qu'elle avait réussit à faire d'elle. Vexée et horriblement déçue, l'adolescente éclata en sanglots, et cette fois, sa geolière adoptant une voix beaucoup plus douce, la consola en disant qu'elle avait dû et devrait encore longtemps, se répéter ce type de raisonnement, pour conforter sa décision , car s'il n'avait tenu qu'à elle, elle aurait gardé toujours près d'elle, celle qu'elle appelait à présent sa "toute petite chérie". Gabriela regarda la fière commandante et vit que dans son regard absolument sincère, brillaient pour la première fois, quelques vraies larmes. La toute jeune fille fut donc remis à son père, contre une forte somme. Elle fut bien sûr sérieusement admonestée, punie et sérieusement surveillée jusqu'à la fin de l'année, aussi bien à l'école qu'à la maison. Seule la Mère Supérieure lui manifesta parfois un peu de tendresse. Malgré tout, Gabriela ne regretta pas cet épisode décisif de sa vie. Elle avait pu montrer fièrement aux médecins chargés de l'examiner et de l'interroger à son retour, la persistance de son hymen demeuré intact, tout en restant très prudemment, muette sur le reste ........ A présent, malgré son jeune âge, elle était à présent, une lesbienne accomplie, complètement épanouie sur le plan sexuel. Elle regardait dédaigneusement de ce fait, les gamines de son âge et cherchait auprès des adultes, des satisfactions plus élaborées. De jeunes et jolies servantes à qui elle imposait sous les pires menaces, la plus grande discrétion, vinrent régulièrement partager sa couche mais c'est elle, qui a présent dirigeait d'une main de maîtresse, les opérations. Sachant comment combler ses besoins, elle devint plus studieuse et en apparence plus raisonnable. Pourtant quelques années plus tard, elle eut bien du mal à résister aux charmes des trois filles du Général-Président dont elle fut, une certaine année, pendant les grandes vacances scolaires, officiellement, la préceptrice et en pratique, l'initiatrice .................... (Voir : La preuve par trois ) |
Elle ne devait revoir Josefa que bien des années plus tard alors qu'elle dirigeait le pénitencier de Puntaroja. La pauvre femme affreusement violée et torturée, fut conduite à la prison par ses tortionnaires. pour y mourir. Gabriela reconnaissante vis à vis de celle qui l'avait si bien initié, s'empressa de lui faire donner les meilleurs soins et contre tout attente, l'ancienne opposante qui avait la vie dure, survécut. La directrice de l'établissement de détention, profitant de ses pouvoirs lui fit aménager une cellule renforcée (pour des raisons de sécurité avait-elle déclaré sans autre précision!) dont elle détenait elle-même les clés. Elle lui rendit visite régulièrement et y fit placer dans sa cellules des prisonnières qu'elle sélectionnait et qui étaient chargées de lui apporter du réconfort. Elle l'exempta des travaux forcés et du service de soulagement sexuel des soldats auxquelles les autres étaient astreintes. Josefa entourées de jeunes et jolies pensionnaires qui avaient mission de la satisfaire en tout point passa une captivité pas trop désagréable, à l'abri en tout cas de ses bourreaux à qui on la prétendit morte. |
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