La confession de Gabriela
Gabriela, malgré son jeune âge, avait déjà une bonne expérience de la psychologie des adultes, en particulier des religieuses qui l'avaient prise en charge, depuis le début de sa scolarité. Feignant la plus grande contrition, elle se précipita au pied de la mère supérieure qui venait de lui anoncer son renvoi, en implorant son pardon et en sollicitant une faveur dans sa punition. Elle expliqua en baissant les yeux, comme si elle était franchement honteuse, qu'elle aurait beaucoup de difficultés à confesser au père aumônier, les fautes qu'elle avait commises. Elle supplia sa directrice d'accepter qu'elle lui avoue à elle-même, sans détours, tous les détails, jura-t-elle, de ses turpitudes, quitte ensuite, avec son aide, à confier au prêtre, ce qui lui paraîtrait utile pour obtenir la saine absolution.

La religieuse, ébranlée par un tel repentir, qu'elle voulait trouver sincère, flattée de l'absolue confiance que semblait lui témoigner l'adolescente et surtout curieuse malgré tout, d'entendre l'aveu de fautes dont les détails ne manqueraient pas de piment, hésita un moment. Accepter sans discussion, serait faire preuve de faiblesse et pourrait donner à penser à la toute jeune fille qu'il y avait de la part de sa directrice, un désir malsain. Elle refusa donc dans un premier temps, disant que Dieu ne lui avait pas donné ce pouvoir mais promis d'y réfléchir avec l'aumônier pour que le Seigneur et la morale y trouve leur compte. En attendant, Gabriela, serait enfermée dans la cellule de pénitence.

La Mère Supérieure avait déjà pris sa décision, elle n'allait pas refuser une telle occasion ! Elle se voyait déjà, interrogeant l'adolescente humiliée et rougissante, extorquant les moindres détails de ses actions et de ses pensées qu'elle devinait odieusement et délicieusement lascives. Craignant que la toute jeune fille ne change d'avis, elle vint la chercher promptement pour la conduire dans son bureau, mentant pieusement en affirmant qu'elle n'avait pu joindre le prêtre. Elle s'assura la confidentialité de son domaine en fermant à clé, toutes les portes y conduisant et en tirant les rideaux pour permettre une pénombre destinée, justifia-t-elle, à favoriser la venue au secours de la pénitente, de l'Esprit Saint soi-même !

La directrice s'installa confortablement dans son fauteuil et pria Gabriela de s'approcher. Celle-ci, toujours aussi perspicace, demanda si elle devait s'agenouiller. La religieuse acquiesça avec empressement, en lui demandant de prendre un coussin en prévision d'une séance qui s'annonçait longue. L'adolescente obtempéra avec célérité et vint se placer à la droite de sa supérieure, pour se mettre dans la position requise. Instinctivement, elle compléta son agenouillement respectueux, en croisant les bras dans son dos et en inclinant humblement la tête. Il faisait chaud en cette fin de matinée et Gabriela portait la tenue réglementaire en cette saison. : un petit chemisier bleu ciel, sans manche, dont elle avait judicieusement dégrafés les derniers boutons et une petite jupe de toile bleu marine. La directrice qui avait fait installer sa pénitente, le plus près possible d'elle, pouvait contempler sans effort dans l'échancrure un peu trop ouverte, la naissance de la poitrine adolescente, déjà bien formée. Elle avait à porté de sa main, la taille fine et bien cambrée, surmontant un adorable petit derrière bien moulé dans une culotte dont les reliefs transparaissaient à travers la toile légère et bien tendue de la jupette. La religieuse, dans ces circonstances, avait déjà, bien du mal à garder toute la sérénité qui aurait dû présider à la fonction qu'elle avait accepté d'occuper. D'une voix qu'elle voulait encourageante, mais qui se manifesta un peu trop rauque, elle demanda à Gabriela de commencer ses aveux..

Parfaitement consciente du trouble qu'elle entraînait chez sa directrice, même si elle n'en imaginait toutes la portée, l'adolescente entama sa confession, d'un ton aussi innocent et soumis qu'elle pouvait le simuler. La religieuse sentait monter en elle une émotion grandissante et bientôt elle ne put s'empêcher d'encourager d'un geste qu'elle s'efforçait de garder chaste et presque maternel, l'exposé, quand il se faisait hésitant. Sa main lissait la longue chevelure brune aussi indisciplinée que sa propriétaire, mais ne pouvait s'empêcher de gagner de temps en temps, la courbe dorée et frissonnantes des épaules nues, et même plus bas, le plus furtivement possible, le galbe ferme de la croupe ferme et nerveuse sous le tissu léger.

Il faut dire que la toute jeune fille n'y allait pas par quatre chemins, même si avec beaucoup d'à-propos, pour convaincre de la vraisemblance de ses paroles, elle ponctuait son discours, parfois à peine audible, de pauses hésitantes. Elle avait ainsi parlé de baisers, échangés en cachette, précisant comme on l'en priait, l'usage dans ces circonstances, de ses lèvres et de sa langue. Elle avait ensuite décrit des caresses, anodines au début, puis plus précises sur des parties que la pudeur naturelle, comme la morale, interdisent de montrer, même entre filles du même âge. Elle avait de cette façon touché et autorisé à explorer, sa poitrine qui prenait du volume, ces derniers mois, mais aussi ses cuisses et ses fesses dont le contact faisait naître d'étranges sensations dans le bas de son ventre. Elle avoua, comme la voix autoritaire et bienveillante la pressait avec une douce insistance, avoir laissé ses mains s'égarer de plus en plus souvent, entre ses cuisses, palpant d'abord prudemment son sexe palpitant à travers sa culotte devenue moite, puis glissant carrément, un et bientôt plusieurs doigt sous l'élastique complaisant, pour déplisser la fente poisseuse et chercher les points les plus sensibles à travers des muqueuses dont la tension devenait intolérable. Les joues rouges, autant de délicieuse honte que d'excitation croisante, elle confia, presque en sanglotant, avoir trouvé cela si agréable qu'elle avait voulu partager ses coupables découvertes avec ses meilleures amies.

La Mère Supérieure avait le cœur qui battait à tout rompre, en entendant les impudiques aveux,qu'elle réussissait sans difficultés excessive, à obtenir de la bouche de la toute jeune fille à qui l'aumônier, la veille encore, avait donné sans aucune arrière-pensée, la communion. Elle n'hésitait plus depuis quelques minutes, à caresser familièrement l'adolescente qui stratégiquement se gardait bien de manifester la moindre réticence, d'autant que ces attouchements de plus en plus prolongés, faisaient naître en elle, des réactions qu'elle connaissait bien et dont elle appréciait les effets. La main directoriale remontait jusqu'à la base de la jeune poitrine qu'elle empaumait un bref instant, avant de descendre sur le ventre plat, jusqu'à contourner la taille élancée puis elle s'attardait enfin sans hâte, à lisser la croupe soumise jusqu'à franchir l'ourlet de la jupe et tutoyer brièvement, l'espace de peau nue des cuisses encore jointes, mais déjà impatientes .

L'adolescente qui contrairement aux apparences, avait pris le contrôle de la situation., décida de pousser son avantage. Elle se tourna vers sa supérieure, les yeux embués de larmes, en avouant d'une voix à moitié étouffée, qu'à l'instant même, elle était tourmentée par les exigences de sa chair .

La religieuse complètement bouleversée par cette confidence, la regarda interdite, soulever sa jupe et la prier dun air parfaitement ingénu, de bien vouloir vérifier ses dires, par elle-même. La directrice, perdant tout bon sens sous l'influence d'un puissant désir, accéda à la demande de la toute jeune fille qui avait docilement écarté les cuisses pour autoriser la vérification qu'elle avait elle-même réclamée. Comme elle ne l'avait jamais espéré, y compris dans ses fantasmes de femme frustrée par la bienséance indispensable à ses fonctions, elle avait à présent dans sa main, la vulve succulente d'une de ses jeunes élèves, qui ruisselait de désir à travers le mince fond de culotte en coton, complètement détrempé et qui se pressait avec une exigeante ferveur contre sa paume.

La directrice dans un effort surhumain à renoncer à ce délicieux contact et retira avec d'infini regrets sa main tremblante d'émotion.

La toute jeune fille nullement décontenancée par ce premier refus, suggéra qu'elle devrait être punie sur le champ, et de préférence par où elle avait péché. Elle déclara que bien qu'elle en ait pas l'habitude et qu'elle en ait peut-être passé l'âge, qu'une bonne fessée lui ferait probablement le plus grand bien. Persuadée que sa proposition emporterai l'adhésion de sa supérieure, qui grâce à l'alibi punitif; pourrait ainsi se soulager de la tension qui l'envahissait, elle se leva aussitôt, baissa sa petite culotte jusqu'aux chevilles, releva sa jupe et s'étendit de tout son long sur les genoux directoriaux qui l'accueillirent bien volontiers. La religieuse un peu revenue à elle, sermonna énergiquement sa jeune élève, tout en commençant à lui administrer de bonnes claques sur ses fesses rebondies. Gabriela, sous la cuisante douleur, se demanda un moment si elle avait bien fait, mais elle se rendit compte que ses premiers cris, mêlés de pleurs, se révélaient très efficaces pour alléger sa punition. La directrice, de nouveau sous le charme de l'attendrissant petit derrière, offert en plein abandon, décida d'une pause plutôt que d'un arrêt, incapable qu'elle était encore de renoncer à cet émouvant spectacle. L'adolescente continuait à pleurer et la directrice s'estima en droit de soulager les souffrances qu'elle venait de provoquer, par des caresses sensées être apaisantes. L'entreprise était risquée et malgré la retenue qu'elle s'imposait, la pauvre Mère Supérieure, complètement dépassée par les événements, finit par aller au-delà de ses objectifs initiaux qui se révélèrent ainsi que très provisoires. Sur ses genoux, la toute jeunes fille qu'elle avait acceptée d'y faire étendre, incapable de maîtriser ses pulsions ouvrait et fermait les cuisses en cadence tout en pressant son pubis pour en soulager l'effercente tension.. En demandant pardon au Seigneur qui lui infligeait cette délicieuse tentation, elle accentua ses caresses pour mettre fin à l'insoutenable tourment qui s'était emparé d'elle, comme de son élève. Tout en continuant à caresser les fesses de plus en plus actives, elle glissa une main dans la vallée ouverte, en invite muette que faisait en en cadence, les cuisses nerveuses, pour y cueillirle fruit palpitant qui s'y pressait.

Docile et reconnaissante, Gabriela se mit à l'entière disposition de la main qui commençait à prendre possession des muqueuses délicates de sa vulve enfièvrée. Sans excessive pudeur, elle montra patiemment la position et le rythme qui lui convenai,t avant de jouir rapidement d'un orgasme intense et mal contrôlé, comme on le fait souvent à cet âge tendre.

La directrice revint à elle, comme dégrisée par ce spectacle bouleversant. Elle reprit l'initiative de la situation, en tentant d'expliquer l'injustifiable, à l'adolescente, satisfaite sur tout les plans, qui se reculottait devant elle, sans la moindre gêne. Elle déclara que dans certaines circonstances spéciales, comme celles du moment présent, il était permis exceptionnellement, dans l'intérêt de la santé des filles de Dieu, de soulager des tensions physiques trop importantes. Gabriela qui avait fait preuve de bonne volonté, en faisant pénitence et en réclamant une punition avant, serait certainement absoute de ce péché qu'elle venait de commettre, quant à elle, elle n'avait fait qu'obéir au Seigneur qui dans son infinie sagesse l'avait placée opportunément sur le chemin de la pécheresse pour éviter le pire et administrer le châtiment salvateur. Elle assura son élève toujours attentive qu'elle ferait tout le nécessaire, auprès du confesseur de l'établissement, auquel elle recommandait à la toute jeune fille, de ne rien dire.

Gabriela toujours contrite, demanda ce qu'il en était de son renvoi. La directrice lui promit de réexaminer les choses avec bienveillance, à condition qu'à l'avenir elle ne détourne plus les autres élèves de leurs devoirs religieux, en pêchant avec elles. Avec tout l'innocence qu'elle était encore capable d'afficher, après ces événement, l'adolescente demanda à sa supérieure, si elle pourrait de nouveau faire appel à son aide, au cas où elle serait de nouveau assaillie par la tentation.. Un peu gênée, la directrice qui commençait à avoir des doutes sur la sincérité de sa jeune interlocutrice, mais ne voulait pas se déjuger, lui conseilla de résister le mieux possible par ses propres moyens mais de ne hésiter à revenir la voir plutôt que de commettre le péché seule, ou avec d'autres. Désireuse à son tour d'assouvir ses besoins persistants, elle fit appeler une surveillante, pour reconduire provisoirement Gabriela en cellule.

Enfin seule elle s'accorda à elle-même ce qu'elle avait si magistralement octroyé à sa jeune élève, aux charmes décidément redoutables. Nul doute qu'à l'avenir, elle se montrerait plus circonspecte, avec les autres élèves surtout, parce qu'avec Gabriela ...........elle avait bien l'intention de continuer à l'aider "à faire son examen de conscience" de temps en temps.

Gabriela ne se doutait pas que peu de temps après un évenement majeur de sa vie allait se produire, renvoyant définitivement dans l'enfance ses premières expériences sexuelles y compris cet épisode avec la Mère Supérieure.
J'ai écrit cet épisode après avoir eu une conversation avec Charlotte à qui "Diane" faisait parfois à des confidences lorsqu'elle l'avais sous sa garde. Je l'ai alimenté aussi de mes expériences des bonnes soeurs qui ne furent jamais aussi intimes, mais qui auraient pu l'être je crois si les circonstances s'y étaient un peu plus prêtées (d'après ce que m'en ont dit ceraines condisicples ..................)
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