Une si séduisante tante.........
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La fessée et les soins consécutifs | ||||||||||||||||||
Le lendemain ou peut-être le surlendemain Eve-Line qui croyait avoir la parfaite maîtrise des machines de sa mère se lancça dans une longue impression qui devait durer un bon moment. Assez lui sembla-t-il pour avoir le temps de se plonger dans une bande dessinée qu'elle avait emprunté dans la bibliothèque de ses parents; L'ouvrage qu'elle convoitait depuis longtemps, était un récit érotique plutôt explicite dont elle n'avait pu qu'apercevoir des bribes à la hâte en se cachant, mais dont la couverture alléchante laissait deviner un récit qui promettait d'être assez croustillant. Elle avait dissimulé le livre dans les affaires qu'elles emportait chaque jours ppour imprimer la thèse de sa tante.. Elle serait seule dans le bureau maternel de l'entreprise fermée au mois d'aout et ne risquait pas d'être surprise en train de lire un ouvrage pour adultes. Il lui suffisait de lancer une impression assez longue et elle aurait tout le temps de contempler l'ouvrage choisi sans être dérangée et sans avoir aucune explication à donner. Sitôt arrivée ele fit comme elle avait prévu. L'impression couleur des photographies en couleurs avec le maximum de pécision promettait d'être longue et l'adolescente fébrilemen mis tout en route. Elle rua ensuite sur la fameuse bande dessinée, après s'être installée confortablement dans un fauteuil de manière à être parfaitement à l'aise pour se caresser. Elle fut vite pris par l'histoire et surtout par les illustrations. Celles-ci montraient sous toutes les coutures, une pauvre fille, pulpeuse à souhait, en train de subir les derniers outrages de la part de bandits sans scrupule, avant d'être enfin délivrée par le héros brun et musclé entre les bras duquel elle s'abandonnait sans retenue. La jolie blonde (c'était le but de l'histoire !) était le plus souvent entièrement nue, entravée, contrainte à l'impuissance totale et à l'exhibition de ces charmes. Eve-Line qui tenait entre ses mains sa première bande dessinée érotique, était complètement hypnotisée. Elle se masturbait copieusement s'imaginant à la place de la fille et soumise comme elle à la perversité d'affreux bandits. Elle ne réalisa que très tardivement l'heure et alors qu'elle s'apprêtait à mettre en page la précieuse thèse compris la grosse bêtise qu'elle avait faite. L'imprimante avait continué à imprimer, alors que la cartouche "couleurs" n'avait plus de "magenta". Le résultat était bien sûr pitoyable, sans compter le précieux papier gaspillé !. Elle jeta un coup d'œil à sa montre, mais déjà elle entendait sa tante était en train de garer sa voiture.. Elle tenta de dissimuler sa bêtise, mais déjà Laura entrait dans le bureau. Elle prit une copie et se rendit compte immédiatement de l'étendue du problème quelques prélèvement au hasard dans la pile lui confirmèrent l'étendue des dégâts. Elle se retourna vers Eve-Line qui se mit à bafouiller des excuses lamentables. Laura la coupa sèchement en lui disant qu'il "était évident qu'elle n'avait absolument pas surveillé la tâche dont elle était sensée être responsable. Avisant la bande dessinée que l'adolescente dans son trouble avait oublié de cacher, elle la saisit triomphalement en annonçant qu'elle avait parfaitement compris ce qui s'était passé. Eve-Line acheva de se décomposer. Non seulement elle n'avait pas "assuré" mais en plus elle s'était livré à l'évidence pendant ce temps là à des activités coupables en trahissant la confiance de tous ses proches. Et surtout de sa tante qui venait de tout comprendre ! Furieuse Laure lui enjoignit sans ménagement de s'approcher d'elle pour recevoir la magistrale fessée qu'elle avait méritée. L'adolescente protesta qu'elle avait déjà quinze ans, que ses parents ne l'avaient jamais punie de cette façon humiliante et douloureuse etc. La jeune femme médecin balaya tous ces arguments avec un agacement évident, elle conclut en demandant à l'infortunée étourdie, si elle voulait qu'elle téléphone le soir même à ses parents, pour leur raconter en détails tout l'histoire. Aussitôt Eve-Line se jeta à ses pieds, en la suppliant de n'en rien faire. Satisfaite Laura lui renouvela ses directives en précisant à l'adolescente que c'était là, sa dernière chance de se rattraper. La mort dans l'âme Eve-Line, s'exécuta et s'allongea sur les genoux de sa tante. Celle-ci son calme apparemment revenu , se mit en devoir d'appliquer la sentence qu'elle venait de prononcer.. Elle releva le bas de la petite robe d'été que Eve-Line portait puis descendit la petite culotte blanche de l'adolescente, en ne se privant pas de remarquer qu'elle était encore toute humide ! La malheureuse ne savait plus où se mettre . La position humiliante qui lui était imposée, les fesses nues et sa culotte abaissée jusqu'au genoux n'était pourtant rien comparé à ce qui l'attendait. Profitant de la position dominante que lui octroyait sans réserve, sa victime terrorisée, l'autoritaire tante obligea cette dernière à lui demander humblement pardon et à compter chaque coup qu'elle lui assénait. Eve-Line ne put s'empêcher de pousser des hurlement et d'éclater en gros sanglots. Elle endura malgré tout sa punition jusqu'à son terme, reprenant docilement, entre chaque claque la position soumise qui la lassait entièrement vulnérable. Laura en effet voulait qu'entre chaque coup, elle lui présente ses fesses et ses cuisses complètement détendues et relâchées malgré son appréhension. L'adolescente impuissante sentait couler son sexe, déjà ému par les caresses dont elle l'avait elle-même précédemment gratifié et surtout de plus en plus excité par la correction et la position requise . Elle se doutait bien que sa tante s'en rendrait immanquablement compte, mais elle était entièrement à la merci de sa tortionnaire qui l'exigeait ainsi. La punition achevée, Laura, la compléta par une "mise au piquet". Maintenant sa robe, au-dessus de sa taille, la culotte descendue jusqu'au chevilles, les fesses rouges et brûlantes, largement exposées, et enfin cuisses écartées "pour sécher", Eve-Line se mit à ânonner, comme il lui avait été ordonné, les dialogues crus de la bande dessinée qu'elle avait indûment "emprunté". Elle n'osait à peine prononcer certains mots qu'elle avait pourtant découvert avec délice, quelques minutes auparavant. Sa tante pendant ce temps faisait le tri dans les papiers imprimés. En fait cela n'était pas si grave que ça et une bonne partie était utilisable. Au bout d'un quart d'heure, elle autorisa enfin sa nièce à se rhabiller. L'adolescente ne se fit pas prier, malgré la brûlure que la remise de la petite culotte sur les fesses endolories ne manqua pas d'entraîner. Elle accepta même d'arborer à la main la fameuse BD pour sortir. Elle n'était plus à ça près !!! Elle rentrèrent au pavillon. L'adolescente les yeux baissés se trémoussant sur le siège brûlant qui ravivait sa douleur ne pipait mot. La conductrice restait aussi silencieuse, imaginant la suite qu'elle allait donner à ces événement qui laissaient sa nièce entièrement en son pouvoir. La petite était mignonne, elle avait déjà eu largement la possibilité de s'en rendre compte et particulièrement apte à se soumettre. Elle n'allait pas quand même passer à côté d'une telle occasion ! Sitôt parvenues à leur domicile, elle ordonna à Eve-Line de monter dans sa chambre. Elle savait que l'appel téléphonique rituel de ses parents n'allait pas tarder et elle ne voulait surtout pas fâcher sa tante. Couchée sur le ventre en raison de ses fesses encore endolories, elle entendit avec soulagement Laura déclarer à sa sœur que tout allait bien ! Aussi quand sa tante entra dans sa chambre, reconnaissante, elle était toute prête à la satisfaire. L.aura constatant que sa nièce avait encore probablement mal, s'excusa d'avoir frappé si fort et d'un ton conciliant proposa de soulager sa victime. Ce faisant, sans même attendre la réponse de l'adolescente, elle souleva largement la robe et baissa la petite culotte blanche largement jusqu'au genoux. Eve-Line se laissa faire et facilita même la manœuvre. Elle n'avait plus rien à cacher à sa tante, dont elle commençait à accepter le libre accès à ses fesses. Elle se disposa comme il lui fut commandé, bien détendue et cuisses largement ouvertes. Elle frissonna un peu quand elle sentit la pommade fraîche sur ses fesses brûlantes, Les caresses très douces destinées en principe à étaler la crème qui suivirent eurent pour effet d'entraîner une sensation de plus en plus agréable. Laura accompagnait ses attouchements délicats de conseils de détente et d'abandon d'une voix à la fois douce et persuasive. La bénéficiaire de toutes ses attentions sentit très rapidement une chaleur de plus en plus intense l'envahir, pour se concentrer dans son bas-ventre et dans son sexe qui n'en finissait plus de gonfler et de se liquéfier. Elle empoigna son oreiller, qu'elle se mit à serrer de toutes ses forces. Elle ne voulait pas que la maîtresse de ce jeu subtil s'arrête parce qu'elle ne voulait pas contrarier sa tante mais surtout parce que c'était très bon, oui terriblement bon ! La tête enfouie dans l'oreiller, les joues en feu, elle éprouvait une grande honte à tenter de dissimuler de plus en plus difficilement son désir mais pour rien au monde elle n'aurait voulu que ça cesse. Laura toujours aussi calme et douce progressait inexorablement vers le fruit juteux qui s'épanouissait entre les cuisses brunes dont elle caressait avec une lenteur exaspérante l'intérieur délicatement sensible. N'y tenant plus Eve-Line d'une voix plaintive et suppliante, sembla implorer sa tante, mais celle-ci imperturbable, continua sa délicieuse progression, en insistant pour que l'adolescente se détende encore. Eve- Line estimant qu'elle avait fait ce qu'il fallait, se mit à gémir avec de moins en moins de retenue. Enfin, les doigts habile prirent possession de a vulve ruisselante que l'adolescente exposait avec de moins en moins de pudeur. Avec une assurance tranquille la jeune femme blonde fit jouir sa brune cadette qui n'en finissait plus de crier son plaisir. Laura acheva son tendre labeur par de tendres caresse sur les fesses parfaitement soumises et consentantes avant d'annoncer à l'adolescente qu'elle l'attendait à la salle à manger dès qu'elle serait remise de "ses émotions". |