La punition de Lady Bullstone
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Il s'agit d'une histoire qui se veut édifiante et dont une version, bien sûr soigneusement édulcorée, était paraît-il contée aux jeunes filles de bonne famille au Royaume Uni, afin de leur inculquer les risques encourut lorsque l'on se laisse submerger par ses sens. Je ne sais s'il s'agit d'une histoire vraie. Je la pense plutôt romancée à souhait, pour terroriser les futures représentantes de l'aristocratie britannique |
Margaret Bullstone était une ravissante jeune femme de la bonne société anglaise qui s'était laissé épouser, sur les injonctions de sa famille, par Lord Richard Bullstone, gentilhomme du Sud-Ouest de l'Angleterre. L'homme avait une bonne quinzaine d'années de plus que sa jeune épouse, mais il était de noble lignage et sa fortune était solide. Margaret avait donc quitté les environs de la capitale pour "s'enterrer" , comme elle le confessait à ses amies intimes, dans les verdoyants paysages du Devon. Elle s'ennuyait sans doute beaucoup et c'est sans peine qu'un roturier, membre de l'aile droite du parti conservateur que Richard soutenait activement, réussit à la détourner de la stricte observance de ses devoirs conjugaux. Hélas pour elle, Lord Bullstone qui était au courant de tout et qui avait parié sur la fidélité de sa jeune épouse avec l'infâme personnage, décida alors de se venger cruellement de l'infidélité de la jeune femme. Il était naturellement dépité parce qui n'avait vraisemblablement été, qu'un moment d'égarement d'une jeune épouse un peu trop naïve, vite tombée dans ce piège machiavélique. Surtout, il avait été humilié par la perte de son pari qui le tournait en ridicule devant tous les membres de son parti politique préféré. Il craignait, sans doute à juste titre, de devenir la risée de tous ses membres que l'infâme personnage ne manquerait pas de mettre au courant. Profondément vexé, il se promit de faire payer à l'infidèle ses écarts de conduite, et ça, de belle manière. Le maître des lieux attendit la cérémonie au cours de laquelle, tous ses fidèles serviteurs lui présentaient leurs vœux annuels . Lorsque tout le monde fut installé, Lord Bullstone aborda dans son discours annuel de bienvenue, le sujet de la fidélité. Il demanda abruptement à sa jeune épouse si elle n'avait rien à lui confesser à ce sujet../ La jeune femme ne put s'empêcher de rougir comme elle devenait le point de mire de toute l'assemblée. Elle bégaya tout d'abord quelques dénégations puis comme son époux égrenait d'un ton apparemment calme des précisions révélant progressivement qu'il était au courant, se tut en pâlissant à vue d'œil. Lord Bullstone continua imperturbable à s'adresser à elle l'invitant à confesser publiquement ses fautes. Effarée, recherchant vainement de tout côté un appui mais ne rencontrant que des visages fermés, la pauvrette ne sut bientôt plus quelle contenance adopter et éclata en sanglots nerveux. C'est précisément ce qu'attendait son mari qui lui dicta alors ce qui lui apparaissait comme la seule conduite de circonstance : une humble confession publique. Margaret ne pouvait pas s'échapper, mais elle hésita encore, tellement la demande de son mari lui paraissait exorbitante ! Elle vit alors l'intendant et homme de confiance de son époux, installer un petit coussin au pied du maître des lieux qui d'une voix ferme lui ordonnait de s'agenouiller devant lui, d'avouer humblement ses fautes et d'implorer son pardon. Malgré l'atroce humiliation que cela représentait, il devint de plus en plus évident pour la jeune femme qu'elle devrait en passer par-là ! Elle se jeta donc aux pieds de son époux pour le supplier de lui faire grâce, mais celui-ci inflexible continua à exiger une confession totale. Il l'interrogea d'une voix ferme et attendit les réponses embarrassées que bredouillait sa jeune épouse. Celle-ci, horriblement gênée de devoir exposer ; devant toute la maisonnée, ses incartades, finit par avouer ses forfaits, en s'efforçant de retenir ses larmes, pour garder un peu de dignité Ayant amené la jeune femme où il le souhaitait, l'autoritaire Lord annonça d'une voix tranquille que le moment était venu de passer à la punition. Interdite, Margaret regarda de nouveau autour d'elle en quémandant une aide que tous, les regards continuaient à lui refuser. Elle entendit sans y croire son mari annoncer qu'elle serait fouettée. Elle devait ainsi recevoir sur-le-champ vingt-cinq coups d'une verge de bouleau qui bientôt fit son apparition entre les mains du maudit intendant. La jeune femme protesta aussitôt que, quelle que soit sa faute, elle ne méritait pas un tel traitement. Elle avait espéré que sa confession qui avait finit par être totale et sincère allait suffire calmer son époux mais celui-ci lui intima l'ordre de se mettre en position. Avant qu'elle eut pu ajouter un mot elle sentit deux mains fermes s'emparer de chacun de ses poignets pour la conduire vers la grande table qui trônait au centre de la salle d'armes où avait lieu cette cruelle mise en scène. Sans comprendre vraiment ce qui lui arrivait, elle retrouva courbée en avant et coite autant qu'incrédule assista comme s'il s'agissait d'une autre à sa "préparation" Son époux qu'elle entendait sans le voir s'était installé derrière elle. Il ordonnait à son intendant, comme s'il s'était agit d'une banalité de relever la robe de sa jeune femme ce que son fidèle serviteur exécuta aussitôt. Suffoquée par tant d'audace Margaret allait protester quand elle entendit qu'on allait abaisser ses collants et sa culotte ! Effarée, elle rechercha désespérée de l'aide autour d'elle mais les visages impassibles lui signifièrent sans équivoque qu'elle n'avait rien à attendre d'eux. Elle n'eut pas le temps de se remettre se sa honte profonde, qu'une violente douleur lui arracha un cri strident : son châtiment venait de commencer ! . Elle entendit Lord Richard lui enjoindre de montrer plus de dignité comme le second coup la frappait et elle se mordit les lèvres pour ne pas crier. Hélas pour elle, la cuisante douleur devint rapidement insupportable et elle recommença à hurler, abdiquant tout ce qui lui restait de fierté et suppliant qu'on l'épargne, que l'on mette fin à son supplice et finalement se répandant lamentablement en sanglot. Insensible à l'atroce douleur comme à l'horrible humiliation qu'il infligeait à la jeune femme, Lord Bullstone, encourageait du regard le bourreau sans état d'âme. Les vingt-cinq coups administrés Margaret resta allongée sur la table en sanglotant. Elle touchait, croyait-elle, le fond de la honte mais elle allait se rendre compte rapidement que ses malheurs ne faisaient que commencer. Son époux s'approcha d'elle. Comme il s'emparait de sa robe, elle crut d'abord naïvement qu'il allait la rhabiller. Bientôt aidé par son fidèle serviteur qui lui prêtait une main aussi forte que possible il acheva de dénuder la malheureuse qui ne sut bientôt plus comment protéger son, intimité. Elle se retrouva toute nue, ses vains efforts pour échapper à ses tortionnaires n'entraînant que des rires et des remarques sarcastiques. Les yeux baissés, n'osant pas affronter les regards concupiscents qu'elle devinait autour d'elle, elle sanglotait de plus belle, sans parvenir à adopter une attitude un peu décente. C'est le moment que choisit le maître des lieux pour annoncer qu'il allait apporter la démonstration à tous de la persistance de l'appartenance de sa jeune épouse à son seigneur et maître ! Prise solidement aux hanches, Margaret compris ce que cela signifiait : son mari allait la posséder devant toute sa domesticité sans le moindre égard pour sa pudeur ! L'inimaginable allait bien être en train de se produire ! La verge seigneuriale et conquérante réclamait avec autorité ce qu'elle considérait comme son dû et Margaret n'ayant pas d'autre solution que d'accepter ce viol public et conjugal, s'ouvrit et céda aux exigences de l'autoritaire Lord. Celui-ci se permettait d'odieux commentaire tout en possédant pleinement et longuement sa jeune femme jusqu'à ce que cette dernière montre des signes humides et ostensibles de son acceptation. Margaret pensait être bientôt délivrée, quand son mari qui lui avait imposé "une levrette" , exige qu'elle se mette de nouveau à genoux devant lui et participe plus activement, en le prenant dans sa bouche. Décomposée, la jeune femme resta un bref instant sans réaction mais comme le maître réclamait sa cravache compris qu'elle avait tout intérêt à se montrer docile. La mort dans l'âme et terrassée par la honte, elle s'efforça de satisfaire son autoritaire époux devant toute la domesticité rassemblée. Lord Richard désirait que son épouse fasse preuve de tout le talent et toute la soumission dont elle était capable. En terme précis, il détaillait ce qu'il attendait de la malheureuse, menacée en permanence par terrible cravache. Margaret devait faire preuve d'application et s'abaisser sans limite en attentions de plus avilissantes. Les exigences de son tortionnaire ne semblaient pas connaître de bornes et il prenait un plaisir évident à imposer à la jeune femme, devant tous les spectateurs et spectatrices qu'il avait fait rassembler, de faire la démonstration de l'agilité de sa langue et de ses lèvres. La pauvre victime n'en finissait pas de s'enfoncer dans l'abîme de la honte quand son époux lui signifia qu'une nouvelle épreuve l'attendait. Il la fit retourner et annonça triomphalement qu'il allait posséder son épouse de la façon qu'elle avait toujours préférée. Il exigea aussitôt qu'elle lui laisse investir sa voie postérieure et étroite. Incapable de s'opposer le moins du monde à ce nouveau viol, elle dût une nouvelle fois céder en public à l'exigeant personnage. Elle espérait que son calvaire s'arrêterait là, mais tout en faisant des commentaires sur sa progression, Lord Bullstone lui intima l'ordre de proclamer à voie haute et intelligible les intenses sensations qu'elle éprouvait. D'une voix blanche, elle répondit aux questions impératives qui lui était assénée. Elle reconnut ainsi publiquement le plaisir qu'elle prenait et suprême humiliation se mit bientôt à hurler l'orgasme que son mari réussit à déclencher. En effet, malgré les circonstances, rendue hypersensible par sa correction précédente et contrainte d'abandonner à son époux les parties les plus sensibles de son intimité, elle ne put finalement éviter de jouir, quand son tortionnaire le décida. Complètement anéantie et ne conservant plus la moindre parcelle de dignité, elle sentit son mari se retirer et éclata de nouveau, sans retenue, en lourds sanglots; Comme un automate, elle essaya de rassembler ses vêtements mais bientôt l'ordre lui parvint de tout laisser sur place et de suivre l'intendant vers ce qui allait constituer désormais sa cellule. Un peu soulagée de quitter l'assemblée qui était restée silencieuse mais dont elle percevait le profond mépris, elle suivit l'odieux personnage qui avait été le principal instrument de son châtiment. Celui-ci la conduisit au premier sous-sol et lui désigna un petit réduit fermé par une grille que le maître de lieux avait fait aménager en secret. Margaret découvrit les commodité extrêmement limités dont elle allait visiblement devoir désormais se contenter. Une paillasse occupait pratiquement tout l'espace et seul un seau et un broc rempli d'eau, tous les deux en plastic bon marché venaient compléter le mobilier. L'homme de fiance Lord Richard lui expliqua d'un ton dédaigneux et cassant qu'elle devait désormais lui obéir, se coucher sur la paillasse et faire ses besoins naturels dans le seau. Elle n'avait pas accès à la lumière et devrait profiter de celle-ci quand il le déciderait. Il a fit entrer non sans en profiter pour lui donner avec familiarité et salacité une tape sur ses fesses nues. Il lui ordonna alors de se soulager dans le seau en sa présence. Margaret sous l'incongruité de la ferme proposition refusa d'abord prétexta qu'elle n'en éprouvait pas le besoin. L'intendant, avec un sourire large et moqueur, lui indiqua que si elle refusait, il lui retirerait l'objet et qu'elle serait punie en cas de manquement. Terrorisée et comprenant qu'il lui faudrait accepter ça aussi, Margaret piteusement s'efforça de s'exécuter sous le regard méprisant de celui qui serait selon toute vraisemblance son principal geôlier. Elle se jeta sur la paillasse et sanglota amèrement avant de s'endormir d'un sommeil entrecoupé de cauchemars. Ses fesses et ses cuisses lui faisaient mal au moindre mouvement et elle devait resté couché sur le ventre. Plusieurs fois, elle fut réveillée par le veilleur de nuit qui balayait l'obscurité avec sa torche, non sans s'attarder délibérément sur sa croupe nue et martyrisée. Elle en concevait une humiliation supplémentaire mais ne pouvait absolument rien faire pour s'opposer à cette odieuse manœuvre que le gardien faisait durer loisir. Le lendemain elle fut titrée de son sommeil par l'intendant qui de nouveau exigea de la voir sur le seau. Domptée, Margaret s'exécuta : elle n'avait pas d'autre choix. Il la fit ensuite marcher devant lui et elle gagna ses anciens appartements sous sa conduite en devinant sans peine quelle pensées pouvaient habiter l'odieux personnage qui couvait du regard sa nudité. Parvenu à l'étage, elle retrouva Lord Richard qui lui ordonna dans un premier en temps de se soumette à une séance de prise de mensurations. Elle fut donc pesée et mesurée sous tous les angles par le collaborateur zélé de son époux. Celui-ci prit tout son temps, pour mesurer précisément le tour de poitrine, puis celui de la taille et des hanches, en s'attardant sur les reliefs qu'il se permettait de tutoyer avec une familiarité difficilement supportable par l'intéressée. Magaret à qui le bonhomme fait horreur se garda bien de protester, malgré le dégoût que lui inspirait l'odieux personnage car elle avait tôt fait de comprendre qu'elle ne risquerait alors, que des représailles ;Lord Richard la somma ensuite de prendre place dans le bac à douche. Avant qu'elle ait pu esquisser le moindre geste, il lui ordonna de mettre ses deux mains sur la tête, les jambes écartée et de se soumettre docilement au lavage soigneux que l'intendant de son époux, allait généreusement lui administrer sur le champs. Elle compris immédiatement qu'il lui fallait encore accepter cette humiliation supplémentaire. L'homme de confiance de Lord Richard s'acquitta de la tâche qui venait de lui être confié avec application mais aussi un évident plaisir. Il savonna soigneusement les chairs qu'il avait torturées la veille tandis que sa victime se mordait les lèvres pour ne pas manifester sa douleur. Il s'attarda sur la poitrine puis entre les cuisses et les fesses pour bien manifester les privautés qui lui étaient octroyées alors que Margaret s'efforçait de ne pas réagir à ces attouchements prolongés. Une douche froide vint terminer ses ablutions, la laissant glacée et frissonnante. Lord Richard le fit installer à quatre pattes sur une table basse qui l'avait fait spécialement installer et la fit patienter plusieurs minutes la croupe tendue prête à s'accoupler, tout en devisant avec son homme de confiance. L'autoritaire époux se décida enfin. Margaret redouta le pire mais Lord Richard se contenta de la posséder longuement de la façon la plus classique, sans se préoccuper de la conduire au plaisir suprême, uniquement concentré sur ses propres sensations. Tout le temps l'infortunée jeune femme pouvait percevoir le regard lourd et concupiscent de l'intendant qui assistait aux "exploits" de son maître. Une fois soulagé et satisfait, le maître des lieux ordonna que l'on reconduise "Lady Bullstone" dans sa cellule. Manifestement le rôle de la jeune femme se limiterait dorénavant à répondre aux besoins sexuels de son époux. Elle regagna sa cellule toujours sous l'étroite surveillance de l'odieux personnage. Avec perspicacité et angoisse Margaret se rendait compte que les exigences propres de l'homme de confiance de Lord Bullstone ne cesseraient de croître, sans qu'elle ne puisse rien faire pour s'y opposer. Elle devrait au contraire s'y soumettre graduellement, en sachant que l'odieux personnage feraient durer autant que possible cette lente descente aux enfers . |
Epilogue |
Margaret comprit ce que serait désormais sa misérable vie. Elle passerait l'essentiel de ses journées et de ses nuits dans sa minuscule cellule, Celle-ci, disposant d'une grande et solide grille qui servait à la fois de porte et de "vitrine" serait plongée dans l'obscurité sauf quand le geôlier le souhaiterait. Ce denier ne se priverait encore moins que précédemment de venir contempler la prisonnière à sa merci, incapable d'échapper à son regard y compris pour effectuer les gestes les plus intimes. Lord Bullstone ne l'extrairait de sa cellule que pour lui imposer "les obligations de sa charge" et participer aux réunions que cela supposait. Le reste du temps, elle serait confinée dans cette prison entièrement nue et vulnérable. Tous les matins, elle devrait se soumettre à la toilette que lui imposerait la jeune et jolie favorite de son mari, sous la direction du Lord. Après avoir "préparé" humblement cette dernière de sa langue et de ses lèvres, , elle serait contrainte, toujours nue et à genoux, d'assister à ses ébats avec son mari Ensuite, dans la même tenue et la même position, elle devrait témoigner de la même façon, sa reconnaissance à son geôlier, sous les yeux de tous les trois. Elle suivrait ensuite ce dernier, jusqu'aux quartiers qui lui seraient désormais assignés. Elle devrait accepter toutes les marques d'irrespect que l'odieux personnage lui imposerait, sans broncher le moins du monde, sous peine de voir Lord Bullstone programmer une nouvelle punition exemplaire. |
Les punitions de Margaret : |
Elles se déroulaient selon un rituel immuable. Après la toilette, quand la peeu avait bien été attendrie par les soins précédent. Margaret devait adapter la position qui lui avait été indiquée par Lord Bullstone. Elle empoignait la barre du rideau de douche les bras et le jambes bien écartée, le dos tourné vers les spectateurs en général uniquement le maître des lieux avec sur ses genoux, sa femme de chambre préférée. L'homme de confiance convoqué exprès pour la circonstance arrivait avec l'instrument requi à la main. Au commandement de lord Bullstone, il appliquait le châtiment prévu en apparence sans états d'âme malgré les cris quue la malheureuse n'arrivait pas à réprimer. Après la punition, Lord Bullstone exigeait qe sa jeune épouse remercie de ses lèvres et de sa langue, son bourreau qu'elle devait donc recevoir dans sa bouche; sous son regard amusé et ses commentaires ironiques. C'est seulement ensuite qu'elle était autorisée à regagner sa cellule. Margaret avait vite compris qu'elle avait tout intérêt à se montrer conciliante avec son bourreau, pour éviter que l'homme de confiance de son époux, ne se montre trop cruel avec elle. Aussi ,du fond de sa geôle, elle se montrait obéissante et soumise et acceptait tout du terrible intendant dont l'imagination et les exigence étaient sans limites ! |
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