La punition de Jenny et de Caroline
Autrefois dans l’enseignement les choses étaient plus simples. Les parents faisaient confiance aux enseignants et l’on ne parlait ni d’homosexualité ni de pédophilie. Les dames s’occupaient des jeunes filles et les messieurs des garçons. La séparation des sexes permettait aux professeurs de s’investir quand cela était nécessaire dans les aspects les plus intimes et les plus personnels de l’éducation de leurs élèves afin de leur permettre de s’épanouir dans tous les domaines. Hélas les temps ont changé et l’on ne fait plus confiance aux personnes expérimentées pour conduire les jeunes âmes dans le bon chemin. Heureusement les méthodes traditionnelles n’ont pas entièrement disparues et au Volonteers and Nurses Royal Institute, le corps enseignant à les coudée franches pour maintenir dans la discipline les jeunes filles parfois un peu rebelles dont il doit faire des infirmières d’élite. Les extraits qui suivent racontent l’histoire édifiante de deux jeunes filles qui ayant cédés à leurs instincts encore mal maîtrisés pour se livrer à des jeux interdits, retrouvent le droit chemin grâce à l’investissement personnel de leur directrice et d’une de leurs enseignantes.
La punition publique de Jenny et de Caroline
Jenny et Caroline étaient inquiètes chacune dans leur cellule. Elles avaient été surprises dans le même lit le soir précédent, lors d’une ronde particulièrement précoce, en train de se livrer à des activités non réglementaires.

Elles avaient été placées en cellule disciplinaire sur-le-champ et seraient déférées dans le bureau de la directrice dès son arrivée.

Pour Jenny cela risquait de se terminer en catastrophe, car issue d’une modeste famille du Pays de Galles, son renvoi signifierait immanquablement la fin de toute possibilité d’être un jour infirmière. Caroline née comme la plupart de ses compagnes dans une famille aristocratique, ferait probablement jouer ses relations et s’en tirerait avec une bonne correction renouvelée peut être en famille mais sans plus de conséquence sur son avenir.

Le signal du réveil retentit. Les deux élèves incarcérées se préparent mais personne ne vint les chercher.

Ce n’est que deux heures plus tard qu’une surveillante apparut leur demandant de la suivre. le ventre vide, Pieds nus et en chemise de nuit elles traversèrent l’école jusqu’au bureau de la directrice. Cette entrée en matière leur fit comprendre qu’elles seraient traitées sévèrement et sans le moindre égard.

Parvenues à la porte elles durent patienter dans le couloir encore quelques minutes avant que la surveillante ne les fassent entrer n’osant ni se parler ni même se regarder. Caroline se sentait la plus coupable car c’est elle qui avait été une fois de plus à l’initiative de cette rencontre nocturne répréhensible. Elle avait pris facilement de l’ascendant sur Jenny. La petite galloise en besoin d’affection et de reconnaissance dans cet établissement fréquenté par des filles d’une origine bien différente de la sienne avait accepté cette relation avec une des filles dominantes du groupe qui lui assurait son intégration. En échange, elle était devenue une de ses favorites car Caroline était loin d’être très fidèle. La nuit Caroline rejoignait l’une ou l’autre de ses partenaires avec qui elle pouvait assouvir des besoins de jouissance déjà très exigeants. Heureuses d’être choisies tout en étant aussi intéressées par la chose, les bénéficiaires de ses assiduités ne s’en plaignaient généralement pas, au contraire. Seulement il y avait un risque, les rondes nocturnes qui débutaient rarement avant onze heures du soir mais dont la première la veille au soir très précoce avait surpris les deux filles.

La directrice prit tout son temps avant de s’adresser aux deux élèves qui lui faisaient face, rougissantes et penaudes de se retrouver dans une telle situation.

Elle leur demanda de prendre immédiatement la position qu’elle affectionnait d’imposer dans son bureau aux élèves qui avaient commis une entorse au règlement. Penchées en avant en direction de la table sur laquelle elles devaient poser leurs bras croisés puis leur tête, après avoir troussé leur jupe jusqu’à la taille et baissé leur culotte jusqu’à leurs genoux tenus écartés au maximum, les pauvres filles étaient de cetyte façon, totalement vulnérables et à sa merci. C’est ainsi qu’elle tenait à les voir, pendant toute la séance ou leur serait administrés, à son entière discrétion, punition ou encouragements. En l’occurrence les deux élèves étant en chemise elle leur fit rabattre la chemise de nuit jusque sur la tête les mettant nues ainsi jusqu’au aisselles leurs jeunes poitrines aussi nues et vulnérable que leurs fesses.

Elle leur annonça qu’elles les confesserait chacune à leur tout en début d’après-midi, en commençant par Jenny pendant la période réservée au sport et continuant par caroline pendant la première heure d’étude. Auparavant elles devraient aller pendant le repas de midi au réfectoire dans la tenue où elles étaient à présent, et adopter pendant toute la durée du repas la position qu’elles venaient de leur montrer devant toutes les élèves et les professeurs de l’établissement qui allaient défiler pendant une heure et demi. Au début de chaque service le motif de leur punition serait expliqué à l’auditoire en détail et à la fin du repas, chaque élève serait conduite derrière elles et priée de leur administrer à chacune un coup de fouet. Pour les rassurer un peu elle leur affirma que le modèle employé ne serait pas trop cruel, le but étant surtout de les humilier en les mettant en situation de dépendance et aussi de montrer clairement à chaque élève à quoi elle s’exposerait si l’idée lui venait de commettre la même faute. Les deux filles n’en menaient pas large imaginant déjà l’atroce humiliation qui serait la leur pendant tout ce temps. Bien sûr elles étaient habituées à se montrer nues devant leurs condisciples de la même année mais là toutes les filles des autres années pourraient les contempler dans une position peu glorieuse avant de les voir se plier de douleurs sous le fouet.

La directrice satisfaite de l’exposé de sa sentence, posa une main sur la croupe tremblante de chacune des deux petites punies. La tête enfouie dans leurs avant-bras et la chemise rabattue par-dessus, ni l’une ni l’autre ne pouvaient voir comment réagissait sa compagne. La directrice caressait doucement les deux jeunes corps pratiquement nus en expliquant qu’elle attendait d’elles, soumission totale et parfaite humilité pendant leur châtiment. Instinctivement, les deux élèves acceptaient docilement ce contact, même lorsque la main explorait leurs parties les plus intimes, avides de prouver leur bonne volonté. Elle leur fit apprendre par cœur un texte par lequel elles reconnaissaient leur culpabilité, demandaient humblement pardon aux responsables de l’établissement et enfin sollicitaient l’administration d’un châtiment exemplaire. Elles devraient réciter ce texte avant chaque séance de fouet et en attendant recevait une bonne claque sur les fesses à chaque hésitation ou erreur et une tendre caresse en cas de succès. Elle réussirent cette épreuve l’une après l’autre et purent ainsi retrouver une pose plus décente. La directrice appela alors une surveillante à laquelle, elle commanda de leur faire exécuter une toilette minutieuse, de leur faire revêtir une culotte et une chemise de nuit propre, de leur donner un copieux petit déjeuner avant l’épreuve qui les attendait et enfin de les ramener dans son bureau juste avant le premier service de midi. La surveillante s’empressa d’exécuter la tâche qui lui était demandée.

A l’heure dite, elles furent ramenées par la surveillante dans le bureau directorial, tremblantes de peur et un peu blanches. Comme prévu, la directrice les conduisit au réfectoire ou les élèves de dernières années étaient déjà attablées. La directrice expliqua à l’assemblée la raison de la présence des filles qui rougissantes durent avouer leurs fautes sous les rires sourires moqueurs de leurs camarades plus âgées. On les fit installer comme il avait été dit au bout du réfectoire et elles durent patienter ainsi jusqu’à la fin du repas. On les avait placées près de la fontaine et de nombreuses élèves subitement prises d’un besoin de remplir leur pot à eau passaient près d’elles en leur murmurant d’un ton railleur des choses du genre « Tu viens me voir cette nuit ma jolie, tu es mignonne comme tout » Les petites punies s’efforçaient de rester stoïques et de ravaler les larmes qui leur montaient aux yeux sachant que les épreuves ne venaient que de commencer. Le signal de la fin du repas retentit et terrorisées Caroline et Jenny se préparèrent à subir le fouet. La directrice n’avait pas mentit et les coups bien que cuisants n’etaient pas très douloureux, malheureusement elles n’arrivaient pas à éviter de sursauter chaque fois, sous les rires de celles qui étaient du bon côté de l’instrument de torture, avant de reprendre rapidement la position réglementaire de peur de voir aggraver la sentence..

Trois fois de suite, elles durent recommencer le scénario mis au point, toujours surveillées de près par l’inflexible directrice. Les larmes aux yeux et les joues rougies par la honte, elles étaient de plus en plus pitoyables et quand enfin leur calvaire fut terminé elles avaient la peau en feu du bas des cuisses au sommet du dos.

Nul doute que toutes les élèves garderaient un souvenir dissuasif de cet épisode.

La directrice demanda alors de conduire Caroline dans sa cellule et de lui faire reprendre la tenue réglementaire. Elle demanda à ce qu’on lui apporte une tenue pour Jenny, qu’elle emmènerait immédiatement dans son bureau.

La prise en Main de Jenny
Jenny complètement anéantie, suivait sa directrice comme un animal qu’on emmène à l’ultime sacrifice. Au point ou elle en était, plus rien ne lui semblait-il pouvoir aggraver sa situation.

La directrice s’assit confortablement dans son fauteuil puis dès que la surveillante chargée de lui apporter les vêtements se fut acquittée de sa tâche s’adressa à Jenny d’un ton qui se voulait doux et rassurant :

« Ma petite Jenny, je suis très déçue par ce que tu as fait. Tu es une très bonne élève qui s’est toujours bien comporté jusqu’à présent. Veux-tu essayer de te rattraper ou dois-je considérer que je me suis trompée à ton égard ? »

Jenny protesta sincèrement de sa bonne volonté

« Je suis prête à faire tout ce que vous voudrez, Madame, je veux absolument me faire pardonner si c’est possible ! »

La directrice satisfaite lui répondit

« Tu as été très courageuse tout à l’heure et je crois que tu es sincère ? Maintenant si tu veux que tout s’arrange, tu vas te mettre gentiment toute nue, puis tu viendras t’agenouiller près de moi et me raconter tout ce qui s’est passé dans les moindres détails. Es-tu d’accord ? »

« Oui Madame ! » répondit aussitôt la courageuse et bonne élève anxieuse de se racheter aux yeux de l’exigeante directrice.

Elle se dépouilla sans plus de manière de sa chemise et de sa culotte et vint s’agenouiller à côté du fauteuil de la directrice les bras croisés dans le dos en attendant les ordres. « Je veux que tu ne me cache rien, c’est pourquoi tu es toute nue, à ma portée » dit encore la directrice en l’approchant d’elle »

Jenny raconta tout ce qui s’était passé la veille et confessa un peu inquiète que ce n’était pas la première fois. La directrice l’encourageait à se livrer en la caressant tendrement lorsqu’elle hésitait. Elle lui fit donner tous les détails sur sa vie intimes et ses expériences sexuelles, solitaires ou partagées ? La petite élève avait un peu de mal parfois mais sollicitée avec fermeté et douceur finit par donner sans omissions tous les renseignements demandés. Elle hésita un moment avant de parler de son aventure avec France mais sachant qu’il lui fallait être exhaustive finit par l’avouer aussi.

La directrice amusée mais non surprise des initiatives d’une de ses professeurs préférés encouragea la jeune fille à ne rien lui cacher en confirmant que Lady Towerton avait bien agit et que Jenny devait se montrer fière et reconnaissante de l’intérêt que lui avait manifesté son enseignante.

Ayant obtenu ce qu’elle souhaitait, elle proposa à sa jeune pénitente d’appeler Lady Towerton qui devait être arrivée dans l’établissement. La directrice avait été émue par la sincère confession de Jenny mais souhaitait à présent réserver son énergie pour l’autre élève qui serait sûrement plus difficile et donc plus agréable de soumettre.

Sans attendre bien entendu de réponse elle fit appeler France qui se présenta au bureau peu de temps après. Découvrant la jeune fille dans le plus simple appareil, elle fut un peu surprise mais la directrice l’informa minutieusement des récents événements.

« Jenny m’a confié que vous vous étiez intéressée un peu à elle et que pour la récompenser vous l’aviez emmenée dîner un soir dans cet hôtel que vous apprécier particulièrement ! » conclut-elle enfin.. France toujours à son aise répondit :

« C’est tout à fait exact et je me serais volontiers occupée d’elle davantage, mais notre petite Jenny est très exclusive et jalouse ses condisciples à qui j’accorde parfois des faveurs identiques »

Les deux femmes regardèrent la jeune fille qui baissait les yeux en rougissant de nouveau. Elle s’excusa une fois de plus

« C’est vrai je vous demande pardon Lady Towerton ! » et n’en pouvant plus éclata en sanglots se rendant compte qu’elle aurait mieux fait de partager l’affection de son enseignante plutôt que de céder aux caprices de Caroline.

France qui avait très bon cœur se leva spontanément pour embrasser et consoler la pauvre élève en larmes.

« Ces deux jeunes filles ont besoin d’être fermement reprises en mains pour éviter de recommencer » dit la directrice soucieuse d’organiser rationnellement l’avenir de son établissement.Comme vous avez de la sympathie pour notre petite Jenny je vous propose de la prendre plus spécifiquement en charge pendant que je m’occuperais de Caroline. Qu’en pensez-vous Lady Towerton ? »

« C’est une excellente idée ! » répondit France qui ajouta à l’intention de l’intéressée « Et toi Jenny qu’en penses-tu ? »

La jeune fille spontanément s’exclama « Oh merci ! Lady Towerton, je ferais tout ce que vous voulez ! »

Les choses prenaient visiblement une excellente tournure à la satisfaction générale. France conclut l’entretien en disant « Je te prendrais une fois par semaine en leçon particulière. Maintenant tu peux te rhabiller et rejoindre les autres mais auparavant je veux que tu me donne une preuve de ton engagement et de ta confiance »

Elle poursuivit devant le regard interrogateur de la jeune fille « Tu sais que j’aime que les filles dont je m’occupe soit bien nettes. Aussi tu vas venir avec moi au bloc sanitaire, et je vais te raser entièrement. Il en sera ainsi toutes les semaines tant que je te prendrais en charge »

Jenny se rendit compte qu’elle serait un peu gênée d’expliquer à ses camarades la raison de son pubis dorénavant entièrement glabre mais devinant ses pensées France lui conseilla : ‘Tu diras qu’on te l’a imposé pour avoir le droit de rester à l’école ! »

La jeune fille se rhabilla rapidement avec la tenue qu’on avait apportée à son arrivée et suivit celle à qui désormais elle devrait non seulement la plus stricte obéissante mais aussi accorder tous les droits sur sa personne. Elle était un peu soulagée et finalement heureuse, car malgré tout, elle était restée très amoureuse de l’enseignante qui lui avait révélé le plaisir partagé pour la première fois. Lady Towerton, elle le savait était une femme très douce et très compréhensive en même temps que merveilleusement belle et habile en amour. Finalement l’avenir lui apparaissait moins sombre que ce matin. Il lui suffirait à l’avenir de se confier à sa maîtresse et de suivre ses conseils pour parvenir au but qu’elle s’était fixé.

La directrice sourit en regardant partir ses deux interlocutrices. La petite élève méritante avait eu une bonne leçon aujourd’hui et serait à l’avenir parfaitement obéissante. Entre les mains délicates et habiles de France Towerton, elle serait on ne peut mieux placée, pour s’épanouir dans tous les sens du terme.

La mise au pas de Caroline
Le temps était venu de passer à la deuxième élève La surveillante ramenait Caroline et la directrice la fit entrer e dans son bureau. Seule face à sa directrice, l’élève fautive n’en menait pas large d’autant qu’elle était dans l’ignorance totale, à la fois de ce que sa complice avait dû être obligée de confesser et de ce qu’à la suite de ça, sa supérieure allait lui réserver. La directrice pour la mettre tout de suite dans l’ambiance lui commanda de bien vouloir adopter la position requise, qu’elle lui avait déjà décrite en détails, le matin même.

Caroline affreusement humiliée de devoir se plier à une exigence qu’a l’évidence il ne fallait pas discuter, s’exécuta immédiatement sous l’œil apparemment impassible de la directrice.

Celle-ci vint se placer derrière elle à la fois pour profiter du ravissant spectacle dont elle ne se lassait pas et pour pouvoir sans difficulté, s’occuper comme elle l’entendait, du petit derrière déjà martyrisé et à présent sans défense que la pauvre élève était contrainte de lui offrir.

« Explique-moi donc ce qui s’est passé la nuit dernière, ma petite Caroline, pour que tu te retrouves ici à présent » dit d’un ton très calme celle qui allait animer la séance.

Caroline hésita un peu à confesser ses turpitudes de la veille craignant d’en dire trop et d’être sévèrement punie pour avoir désobéit au règlement ou au contraire pas assez, et de voir sa sanction encore aggravée par les omissions.

« Je t’écoute ! » retentit en même temps qu’une cuisante douleur sur la fesse droite la faisait se cabrer.

« Je suis allée dans le lit de Jenny » s’empressa d’avouer la jeune élève qui tremblait de peur de nouveau après avoir cependant instinctivement repris la position obligatoire.

« Très bien ! » dit la directrice avant d’ajouter d’un ton très calme presque rassurant « Cela je le sais déjà, mais je veux que tu me confesses en détails tout ce que vous avez fait à ce moment là ! »

Dans le même temps, d’une main ferme mais douce elle se mit à caresser la fesse qu’elle venait de châtier comme pour encourager sa victime à se laisser aller à toutes les confidences.

Caroline était au comble de la honte mais n’avait pas d’autre alternative, elle le comprenait parfaitement que de dire l’entière vérité. Elle commença par bredouiller lamentablement des banalités, mais la voix impérieuse exigeait plus et elle dit absolument tout. Elle répondit d’une voix mal assurée, aux questions de plus en plus précises qui la cernaient. Toute hésitation même brève faisait l’objet d’un sec coup de cravache pour la rappeler à l’ordre et tout aveu surtout s’il était difficile, était récompensé par une tendre caresse.

Sous l’influence de ces différents traitements, la pauvre fille rendu hypersensible par les corrections précédentes, sentait à son grand désarroi qu’elle réagissait, comme on pouvait s’y attendre. Son sexe devenait à la fois brûlant et hypersensible, mais aussi complètement mouillé.

A près avoir tout raconté, elle se crut tirée d’affaire, mais les questions se poursuivirent sur son comportement sexuel en général et ses antécédents dans le domaine. La tête enfouie dans ses avant-bras, elle pouvait au moins masquer un peu la honte qui lui brûlait les joues et les larmes qui ne cessaient de perler à ses yeux, mais elle avait de plus en plus de mal à dissimuler ses réactions.

« Je crois que tu es surtout une fille très sensible et très gourmande n’est-ce pas ? » fut la conclusion annoncée sentencieusement par la directrice qui à présent vérifiait « à la source » son jugement.

« Oui Madame ! » confessa piteusement encore la pauvre Caroline, dont l’intimité tout entière était à l’entière disposition de sa correctrice qui en appréciait l’état. avec calme et méthode.

« Je crains beaucoup que tu ne récidive ma chérie, si je te laisse dans cet état. Je crois qu’il faut absolument que je m’occupe sérieusement de toi et l’on va commencer tout de suite ! Surtout ne bouge pas. ! »

La directrice disparut brièvement pendant que la jeune élève anéantie par la séance précédente qui l’avait vue se décomposer et perdre toute dignité, attendait anxieusement la suite des opérations.

Elle sentit les deux mains de la directrice reprendre possession de ses hanches pendant qu’elle lui ordonnait

«Laisse toi faire gentiment à présent, je vais te donner du plaisir et comme ça tu seras beaucoup plus calme et détendue ! »

Elle sentit avec inquiétude que l’on introduisait quelque chose en elle qui la distendait. Au bout de quelques minutes l’objet avait trouvé sa place et profitant de son abondante lubrification. jouait merveilleusement son rôle de stimulation. Les mains non plus ne restaient inactives. L’une d’entre elle avait glissé vers son pubis et pris le contrôle de fente exquisément sensible tandis que l’autre conservait un maintien ferme. Très rapidement la jeune fille déjà passablement excitée, jouit sans plus de manière.

La directrice, la laissa reprendre un peu ses esprits puis retira l’engin avec des gestes très doux et enfin reculotta tendrement son élève. Elle lui d’un ton très complice en lui donnant une petite tape amicale sur les fesses

« La prochaine fois je t’apprendrais à mieux de contrôler, petite coquine, mais pour cette fois ça ira.

Tu peux te rhabiller à présent Tu reviendras dans mon bureau la semaine prochaine puis régulièrement une fois par semaine pour que je t’aide à mieux te maîtriser. D’ici là je veux que tu restes bien sage tu m’as bien compris ! »

Elle acheva ses commentaires en pinçant gentiment la joue cramoisie de la pauvre Caroline qui lui faisait face les yeux baissés ne sachant plus ou se mettre après avoir été complètement dominée pendant près d’une heure jusqu’à cette prise de possession totale

Elle trouva encore la force de murmurer « C’est promis Madame ! est-ce que je peux y aller à présent s’il vous plait ! »

« C’est parfait tu peux t ‘en aller ! » lui dit la directrice en lui ouvrant la porte.

Caroline un fois dehors, se dépêcha de rejoindre son groupe. Elle pris le temps d’aller aux toilettes pour se rafraîchir un peu, mais elle était encore toute rouge en arrivant près de ses camarades. Elle avait peur que les autres ne soient au courant de ce qui lui était arrivé ou simplement le devinent. Elle jeta un coup d’œil à Jenny qui la regarda aussi misérablement qu’elle pouvait le faire elle-même. Les deux filles évitèrent de se parler en espérant réciproquement qu’elles resteraient discrètes sur leur entrevue particulière avec la directrice. A celles qui lui demandaient de ses nouvelles, elle se contenta de dire qu’elle avait été sermonnée et punie de quelques coups de cravaches pour faire plus vraisemblable. Cependant elle avait perdu toute sa superbe à la suite de son humiliation publique. Elle ne se conduisait plus du tout comme avant ces événements, quand toutes les filles la considéraient respectueusement comme une des dirigeantes du groupe. A peine installée en classe, elle se mit à repenser à ce qui s’était passé dans le bureau directorial peu de temps auparavant. Ces moments avaient été très forts. Elle n’avait jamais été aussi humiliée de sa vie, personne n’était parvenu à la mettre dans une telle situation de dépendance, ni à lui donner non plus autant de plaisir ! C’était surtout ça qui lui d’ailleurs à l’esprit et tout à fait étonnée, elle se rendait compte que dans le fond, elle avait aimé tout ça au plus point. Elle constatait à sa grande surprise qu’à cette simple évocation, elle recommence à fondre dans sa culotte et que déjà le temps lui durait d’être la semaine suivante. Cette expérience avait complètement transformé sa façon d’envisager le plaisir et elle ne rêvait plus de présent que d’être soumise même si cela lui donnait un peu le vertige.

La directrice de son côté après avoir congédié Caroline s’occupa un peu d’elle-même. Elle avait éprouvé une telle excitation à soumettre la fière jeune fille jusqu’à obtenir sa reddition totale qu’elle avait bien du mal à retrouver ses esprits. En y en réfléchissant l’avenir décidément se présentait sous les meilleurs auspices. C’était bien décidé, elle allait continue à prendre en main comme elle l’avait fait aujourd’hui, cette ravissante élève de première année, un peu trop indisciplinée. Elle la ferait venir dans un premier temps chaque semaine et celle qui se comportait comme une pouliche fougueuse et gourmande serait bientôt dressée en alternant judicieusement caresses et cravache. Au cours des trois ans à venir, elle en ferait une parfaite petite femme obéissante et docile sachant s’ouvrir et s’abandonner aux mains de celles ou ceux qui en prendraient possession pour la mener à l’extase. Elle s’imaginait déjà la semaine suivante, plaçant sous son contrôle étroit cette croupe ferme et déjà conquise, pénétrant ce vagin souple et parfaitement réceptif jusqu’à le combler entièrement et stimulant enfin à loisirs ce petit bouton sensible, impatient, quémandeur et définitivement consentant. L’impétueuse jeune fille se ferait alors humblement soumise dans l’attente du plaisir qu’elle voudrait bien lui octroyer. Elle se savait habile et pressentait que la belle qui prenait encore des airs de victime contrainte, abdiquerait toute réserve et toute pudeur pour solliciter bientôt d’autres leçons particulières du même genre. Comblée de plaisir à chaque séance mais nullement rassasiée, l’élève anxieuse de s’instruire davantage, accepterait d’apprendre à maîtriser jusqu’à l’insupportable, le désir que sa maîtresse saurait renouveler sans cesse, pour jouir enfin jusqu’aux extrémités de ses limites toujours repoussées.

Sous ses savoureuses pensées, associées aux caresses qu’elle se prodiguait avec dextérité, la directrice se laissa enfin aller à un puissant orgasme, qu’elle dégusta jusqu’à la dernière miette.Revenue un peu à elle, elle se dit qu’elle avait eu raison de confier la trop tendre Jenny à France Towerton. En se dispersant entre les deux, elle aurait risqué d’être moins efficace. De toutes façons la petite galloise était un peu trop douce et naïve pour subir un dressage comme elle aimait le faire. Ce n’était heureusement pas le cas de Caroline, dont le tempérament comme les formes généreuses, lui convenait davantage !

Les interrogations de Caroline
La veille de sa leçon particulière, Caroline vint voir sa directrice très inquiète. Elle frappa à la porte et elle entra dès qu’elle y fut invitée. Après avoir respectueusement salué comme il se doit sa supérieure, elle resta un moment à se tortiller un peu gauchement avant d’avouer qu’elle aurait souhaité poser une question mais qu’elle ne savait pas si elle en avait ma permission.

La directrice dévisagea un moment la jeune fille qui depuis sa punition avait abdiqué tout orgueil et se demandait simplement comment se comporter pour satisfaire l’autorité à laquelle, elle devait se plier.

Heureuse d’un résultat obtenu aussi rapidement, la directrice d’une voix encourageante, la pria fermement de s’expliquer. En bredouillant lamentablement Caroline réussit à faire comprendre qu’elle était horriblement gênée devant ses camarades quand elle devait expliquer la raison de ses leçons particulières hebdomadaires. Elle craignait que ces dernières ne fussent au courant et s’amusent à la faire mentir et se contredire à qui mieux mieux.

« Tu veux savoir si j’ai relaté à quelqu’un la manière dont tu t’es comportée dans ce bureau la dernière fois c’est bien ça ? » l’interrogea enfin la directrice.

« Oui Madame ! » avoua dans un souffle les yeux baissés la pauvre Caroline qui ne savait plus si elle avait été bien inspirée de faire cette démarche sous l’influence d’une terrible anxiété. « Enfin si j’ai le droit de le savoir ! » ajouta-elle par prudence à tout hasard.

« Aimerais-tu que je mette au courant tes professeurs et tes camarades ? » poursuivit malicieusement la directrice.

« Non je vous en supplie ! » s’écria misérablement d’une voix implorante la pauvre fille.

« Très bien ! je garderai le secret aussi longtemps que tu seras sage et obéissante » la rassura la directrice qui aimait alterner le chaud et le froid.

« Je vous le promets ! » jura aussitôt avec des accents indubitablement sincères, la jeune élève évidemment désireuse de bien faire.

« Nous verrons ça demain ! A présent retourne vite à tes études ! » finit par la congédier la directrice.

« Tout de suite Madame ! » répondit Caroline qui sortit pour rejoindre son groupe en courant. Elle était enfin débarrassée de cette question qui la tenaillait depuis plusieurs jours. Certes cette situation accentuait encore s’il était possible sa totale dépendance mais au moins elle savait que dorénavant les choses seraient des plus simples Dès qu’elle serait en présence de la personne qui l’avait complètement prise en mains elle n’avait plus qu’une chose à faire : rester attentive et obéir scrupuleusement et rapidement à tous les ordres. Elle pourrait aussi s’abandonner aux mains qui la dirigeraient pour prendre le plaisir qui lui serait autorisé, sans crainte que d’autre sache comment. Elle se sentait très heureuse d’un coup et se rendit compte qu’elle pensait déjà au lendemain avec excitation et impatience.

Les leçons particulières de Caroline.
« Entre Caroline ! »

La jeune fille obéit et se mit à la disposition de la directrice.

« Je vais t’expliquer une bonne fois pour tout comment vont se dérouler ces leçons particulières que je veux bien t’accorder, je le répète pour t’aider à rester dans le droit chemin. » commença la directrice. qui poursuivit après s’être assurée et écoutée d’une oreille attentive :

« Dès que tu arriveras dans mon bureau, tu retireras tous tes vêtements que tu plieras soigneusement avant de me les confier ! D’abord la jupe, la veste si nécessaire, le chemisier, les chaussettes, le soutien-gorge et enfin la petite culotte que tu disposeras sur le dessus. Ensuite tu viendras t’agenouiller près de moi et tu me confesseras tout ce que tu as fait cette semaine. Sur le plan sexuel, j’entends bien car le reste m’importera peu à ce moment là. Ensuite tu viendras t’installer à plat ventre sur me genoux pour recevoir la punition que tu auras méritée. Il y en aura probablement toujours une. Enfin tu recevras ta récompense selon la manière dont tu seras comportée pendant la semaine, mais aussi pendant la première partie de la séance. Est-ce que ce programme te convient ? »

« Oui Madame ! Je ferais tout ce que vous me demanderez ! » répondit aussitôt la jeune fille anxieuse de montrer sa bonne volonté.

« Et bien allons-y ! » conclut la directrice.

Caroline se dépêcha d’obtempérer aux directives qu’elle avait reçues. Elle se retrouva bientôt toute nue et vint bien sagement s’agenouiller au pied du fauteuil directorial en remettant la garde robe qu’elle portait à la directrice. Cette dernière avait contemplé tranquillement le ravissant spectacle de cette jeune et jolie fille révélant totalement la perfection de son anatomie. Un puissant désir s’était emparé d’elle et sa jeune interlocutrice lisant dans le regard qui l’observait sentit son visage s’empourprer. Elle s’installa comme il lui avait été ordonné, à genoux les bras croisés derrière le dos, le rein bien cambré et la poitrine et les fesses bien offertes.

« Qu’as-tu fait cette semaine ? » commença la directrice en caressant doucement les seins qui étaient à sa portée

« Rien Madame, je vous assure » répondit un peu inquiète la jeune élève qui ne savait plus quoi dire.

Tu ne t’es jamais masturbée depuis la dernière fois ? » insista la directrice.

Caroline rougit un peu plus et avoua « Un petit peu Madame ! »

Elle reçut sans prévenir une bonne claque sur les fesses qui la fit crier et sursauter.

« Tu veux me faire croire ça ! qu’est-ce que ça veux dire un petit peu ? » Caroline craignant d’indisposer sa directrice raconta par le menu la façon dont elle avait pris du plaisir tous les soirs, en se caressant jusqu’à s’en dormir. Immédiatement sa supérieure se montra de nouveau caressante et pour l’encourager finit par lui dire :

« Tu me montreras comment tu t’y prends un de ces jours en attendant viens sur mes genoux je vais juste te donner une petite fessée pour t’apprendre à dire tout de suite la vérité ! »

Caroline heureuse de s’en tirer à bon compte obéit immédiatement. A peine installée des petites claques bien sèches furent appliquées à son postérieur consentant vite relayées par des caresses. N’écoutant que son instinct et le désir puissant qui avait pris possession de son ventre elle s’abandonna complètement aux mains qui prenaient possession d’elle. Elle accompagna bientôt les caresses en ondulant en cadence et s’enfila sur les doigts qui la pénétraient. Elle s’appliqua à suivre le rythme qu’on lui imposait et ne manqua pas d’honorer d’un superbe orgasme les entreprises de sa directrice dès qu’elle y fut autorisée. Elle reprit ses esprits sous des caresses apaisantes et se prêta docilement au rhabillage qu’on lui imposa.

Elle quitta enfin la pièce poliment en remerciant la directrice et lui promettant d’être bien sage toute la semaine.