Le pénitencier de Puntaroja

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Elle commençait néanmoins à s’assoupir lorsqu’elle entendit une bruit de bottes . Instinctivement elle repris la position qui lui avait été assignée.

« Alors comment ce passe ce début de séjour ! » lança gaiement la directrice qui portait toujours sa tenue de dominatrice.

Concetta n’osait répondre. Gabriella s’approcha du lit pour s’y asseoir quand elle constata une grande tache mouillée sur les draps dont l’origine ne faisait aucun doute.

« Qu’est-ce que tu fait ? » interrogea-t-elle sèchement .

« J’avais envie de faire pipi » bredouilla la jeune fille employant naturellement les mots de son enfance dans l’espoir d’attendrir sa maîtresse.

« Et alors tu ne sais pas te retenir ? » insista la directrice à dessein pour l’humilier davantage.

« Je n’en pouvais plus, ca faisait longtemps que j’avais envie » s’excusa gauchement Concetta.

« C’est tout ce que tu trouves comme excuse, ma jolie . Ca ne va pas se passer comme ça tu sera punie : Vingt coups de martinet pour commencer et davantage si tu ne tiens pas bien mais pour commencer, tu vas t’excuser un peu mieux » . Elle tira le drap tout souillé vers le sommet du lit et y poussa le visage de la petite prisonnière en ordonnant : « reste comme ça et répète dix fois : « je suis une petite cochonne qui pisse au lit ! » en même temps elle lui administra un coup de cravache sur les fesses pour la persuader de s’exécuter sans aucun délai..

Terrorisée et honteuse Concetta commença à ânonner sa ridicule confession .

Immédiatement une main ferme mais douce commença à la caresser pour encourager l’humiliant exercice auquel elle devait se livrer .

Quand elle eu fini Gabriella lui déclara « C’est très bien, en attendant ta punition je vas te donner à manger car tu dois avoir faim depuis ce matin »

Elle découvrit une grande écuelle remplie de lait et de céréales et la présenta à sa prisonnière.

De sa main gauche elle la prit par le cou et l’avança en direction du récipient.

« Allez boit ! »

Concetta but le lait sucré avec plaisir car la faim la tenaillait à présent . Au fond de l’écuelle les céréales se disposait en bouillie, la maîtresse entrepris de la faire manger à la cuillère.

Elle imposait le rythme des cuillerées à sa victime toute honteuse d’être traitée de cette façon.

Puis il lui intima l’ordre de lécher le récipients jusqu’il soit propre . Le lait sucré collait aux parois lui maculait le visage et concetta ne savait pas quelle contenance adopter tellement elle etait humiliée d’être obligée de mimer le comportement d’un animal . Gabriella qui jouissait de sa domination ajouta un nouveau tourment à la jeune captive :

« Maintenant tu va téter ce biberon! » ordonna -t-elle en lui tendant l’instrument .

Concetta, rouge de confusion, essaya maladroitement de satisfaire sa directrice conciente, du ridicule de sa position qui affirmait son étroite dépendance en la ramenant au stade de bébé.

Elle tenta de s’arrêter en protestant :

« Je n’ai plus soif Maitresse ! » la cravache siffla immédiatement tandis que la dominatrice expliquait « Ce n’est pas mon problème que tu ai soif ou pas .Je veux que tu boives beaucoup car j’ai bien envie de te voir pisser lontemps dans un petit moment»

La pauvre fille recommença à têter sans plus de protestation pour eviter d’être de nuveau frappée.

Heureuse d’être obéie , Gabriella la caressa doucement jusqu’à ce qu’elle est vidé complètement la bouteille.

Elle ajouta bientôt :

« Maintenant je vais te fouetter ! Je suis désolée de devoir te punir mais est indispensable que tu connaisses le fouet. Il n’y a rien de tel qu’une bonne correction de temps en temps pour rendre obéissante. Si tu veux que cela se passe bien pour toi il faut que tu me montres que tu acceptes bien ta punition en gardant bien la position que je vais te demander : toujours à quatre pattes : les cuisses bien ouvertes et les fesses bien tendues même si ça te fait mal. Si tu tarde à reprendre la position je serais obligée de taper plus fort et plus longtemps alors soit bien obéissante c’est ton intérêt.! » Immédiatemen,t le premier coup partit sans que la victime ne puisse s’empecher de baisser l’échine et de crier, mais tout de suite après docilement elle offrit de nouveau ses fesses tremblantes et zèbrées de rouge au martinet. Insensible la dominatrice continua à faire pleuvoir les lanières de cuir jusqu’à ce que le charmant petit derrière soit tout meutri . Posant alors le fouet, elle commenca à caresser très doucement les fesses et les cuisses rendues brulantes par la sévère correction .

A sa grande surprise Concetta se rendit compte les coups de fouet l’avait rendue plus sensible aux caresses et qu’elle mouillait très vite. Instinctivement, elle tenta de resserer ses cuisses pour dissimuler les preuves de son désir, mais sa maitresse plus expérimentée s’attendait à ce résultat et profitant de la situation commença à investir sans plus de préliminaire la vulve baveuse tout en poursuivant ses caresses .

Elle introduisit sans difficulté les trois doigts les plus longs réservant son petit doigt à la stimulation du clitoris . Avec la pulpe du pouce elle lubrifiait doucement l’annus dans le but de l’investir également . Peu habituée à des caresses aussi précises que detérminées, Concetta tenta une fois encore de resserer les fesses mais elle etait tellement trempée qu’il était tout à fait vain de vouloir s’opposer à l’insistante pression .Elle finit par accepter également la pénétration de son orifice le plus étroit.

A présent Gabriella jouait librement de toute son intimité : irritant doucement les muqueuses, distendant les sphincters. étalant la sève qui coulait sous ses doigts comme une fontaine . La jeune prisonnière ressentait un intense et chaleureux bien être qui partant de ses fesses et de son bas ventre irradiait dans tout son corps Elle ne pouvait plus se contenir et oscillait doucement au rythme qui lui était imposé, en râlant son plaisir, sans le moindre reste de pudeur.

Gabriella de son coté, sans délaisser, sa jeune soumise, entrepris de soulager son excitation qui était grande devant ce spectacle. Glissant sa main sous sa jupe de cuir noir qu’elle portait toujours à même la peau elle trouva bientôt son sexe dans le même état que celui de sa victime. Grace à un frénétique branlage elle parvint à ses fins mais insatisfaite elle se retira de sa prisonnière et s’asseyant d’un bon sur le montant du lit, elle lui plaqua d’un geste décidé le visage entre ses cuisses :

« Lèche-moi vite !»

Toujours excitée malgré ses multiples orgasmes , Concetta sans réflechir se mit au travail immédiatement, bien qu’il s’agit pour elle de la première expérience de ce genre. Gabriela jouissait tranquilement de sa domination, guidant sa jeune apprentie dans ses oeuvres encore maladroites . Pendant de longues minutes la lesbienne novice, s’appliquait à satisfaire humblement avec sa langue sa sévère maitresse. Elle s’etonnait en même temps de trouver une sorte de delectation à accomplir cette tâche humiliante comme pour se punir d’avoir tant jouit . Elle frottait son nez et son menton contre la vulve ruisselante et odorante comme pour mieux marquer sa dépendance . Après avoir bien nettoyé la vulve de toutes ses sécrétions elle continua à faire de même pour l’annus avec autant de dévotion soumise quand sa maitresse la poussa un peu plus bas..

Gabriella ne cachait pas sa satisfaction .Elle était sure de pouvoir aller loin avec cette nouvelle recrue mais le temps passait et il lui fallait aller vers d’autres tâches .

Avant de partir pour remercier de ses bons soins sa victime désormais toute consentante elle lui intima l’ordre dde se soulager devant elle.

« Maintenant tu vas pisser . Tu en as envie n’est-ce pas ? »

Concetta n’osait pas répondre .

« Tu préfère peut être le fouet ? »

« Non maîtresse mais dans quoi je dois faire ?»

« Mais sur ta paillasse, petite cochonne, tu as déjà commencé sans ma permission. Comme tu as été gentille, je t’autorise à le faire à condition que tu le fasse tout de suite là devant moi, les cuisses bien écartées, que je te vois faire. »

De nouveau, honteuse Concetta laissa échapper d’abord quelques gouttes puis elle finit par céder, en un jet plus fourni que sa maîtresse recueillit dans les creux de sa main pour l’en asperger copieusement .

« Dorénavant dès que je serais là, je veux que tu te mettes immédiatement dans cette position à quatre pattes, les fesses tendues et les cuisses ouvertes sinon tu seras punie comme il convient! »

Puis elle disparue .

Complètement souillée le jeune prisonnière dû s’allonger sur les draps tout trempés de son urine pour y passer la nuit.

Elle fut réveillée par un bruit de bottes. Immédiatement, elle se souvint de l’avertissement de la veille et repris sans délai la position : à quatre pattes, le rein cambrée et les cuisses ouvertes pour offrir son intimité comme une femelle prête à s’accoupler.

La directrice s’avança et sans mot dire commença doucement à la caresser. Concetta n’avait plus en tête d’autre idée qu’essayer de bien se comporter même si en dehors de la présence de sa maitresse son comportement la révoltait. Aussi elle s’ouvrait pour faciliter la pénétration des doigts qui prenait autoritairement possession de ses chairs intimes, pressait le mieux qu’elle pouvait son sexe sur la main qui la fouillait de manière à mouiller le plus rapidement possible sachant que c’est exactement ce que l’on attendait d’elle. La directrice la traitait comme animal , jouissant simplement de la voir se soumettre et accepter sans oser protester d’être humiliée de cette façon . L’ayant menée promptement à l’orgasme, elle retira sa main et lui présenta à lécher. Concetta était encore plus honteuse de devoir accomplir cette tâche qui lui rappelait avec trop d’évidence sa dépendance totale.

Jugeant sa main suffisamment propre mais pas encore satisfaite, Gabriela s’assit et toujours sans mot dire, commença à retirer ses bottes . Puis plaçant ses pieds au niveau de la bouche de sa victime elle laissa tomber :

« Continue ! »

C’était plus que ce que la pauvre fille ne pouvait supporter. Elle se détourna pour tenter d’éviter cette nouvelle humiliation. Sa maîtresse ne bougeait pas . Elle repris contre toute raison un peu d’espoir mais presque immédiatement elle senti une douleur cuisante lui traverser le dos. Hagarde elle découvrit le fouet que la directrice tenait à la main et qui ne tarda pas à s’abattre de nouveau sur ses frêles épaules. Elle voulait lutter mais sans discontinuer, le fouet tombait implacable chaque fois plus mordant . Elle éclata en sanglots essayant d’attendrir son bourreau mais rien n’y faisait il lui fallait absolument obéir et accomplir cette tâche dégradante. Elle embrassa du bout des lèvres les pieds tendus mais cela n’était pas suffisant car les coups continuait à pleuvoir. Ravalant toute fierté » elle se décida enfin à se servir de sa langue d’abord timidement puis voyant les coups s’espacer à grand coups comme une chienne .

Satisafaite d’avoir une nouvelle fois brisé le peu de volonté qui restait à sa victime Gabriela se releva enfin .

Pour achever sa séance et bien marquer sa domination elle se mit à enfourcha sa victime et sans prévenir se mit tranquillement à uriner et à l’asperger de son urine. Sous elle, ses blessures récentes rendues encore plus douloureuses par le liquide brûlant qui se déversait la petite suppliciée n’osait plus réagir.

« A toi maintenant! » Concetta obéit et mêlant son urine à celle de sa dominatrice entrepris de se soulager sans plus de manières .