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Flo fut tirée d'un seul coup des ténèbres où elle était plongée par la vive lumière que son Maître lui imposa en enclenchant, sans la prévenir, l'interrupteur. Eric était accompagné par deux jeunes femmes noires La plus âgée, habillée d'un jean bleu ciel très moulant et d'un chemisier bleu marine, les cheveux coupée très courts se présenta elle-même : "Je suis Yombélé et voici ma compagne : Kengela" Elle désignait une très jeune femme, vêtue d'une robe blanche légère et coiffée de longues et fines tresses à la mode africaine Eric acheva les présentations : Yombélé est médecin dans l'hôpital où je travaille et Kengela y est infirmière. Elles forment un joli couple non ?" Flo regarda, incrédule, les arrivants. Ce n'était pas la première fois qu'elle voyait un couple de lesbiennes, mais les deux femmes qui lui faisait face était aussi jolies et féminines l'une que l'autre. Manifestement Yombélé jouait le rôle de dominante mais cela était dû surtout à son âge plus avancé, car sa silhouette élancée et ses formes généreuses auraient fait bien des envieuses parmi les femmes les plus désireuses de séduire leur compagnons masculins Eric reprit : "Je vous laisse !" puis s'adressant à sa captive, il expliqua " Yombélé et Kengela aiment beaucoup les filles et bien qu'elles forment un couple très uni, elles ne dédaignent pas "consommer" d'autres jolies partenaires, quand elles le font ensemble !" Il sortit sans plus attendre.......... Flo se sentait honteuse d'être la seule à être nue mais les deux jeunes femmes ne tardèrent pas à adopter la même tenue. Elles ne portaient qu'un string sous leur vêtements dont elles se débarrassèrent en un tour de main. La vue de leurs silhouettes magnifiques provoqua, malgré elle, un trouble chez Flo. Yombélé était un peu plus large et sculptée par une pratique régulière de la cours de vitesse et des sports collectifs de ballon . Kengela était elle, plus mince et plus élancée que sa maîtresse mais les rondeurs fermes de sa poitrine comme de ses fesses n'avait rien à envier à celles de Yombélé .Elles s'approchèrent de la captive, en souriant largement de leur magnifique dents blanches. Kengela porta aussitôt ses mains en avant, comme pour cueillir les deux fruits mûrs que Flo arborait avec une insolence bien involontaire. La jeune blanche voulu protester mais dès qu'elle ouvrit la bouche la jeune infirmière qui lui faisait face, s'en empara avec avidité. Flo surprise, bénéficia d'une baiser si profond et langoureux qu'elle ne parvint pas à repousser son assaillante, comme elle en avait eu d'abord l'intention. Elle sentit alors deux mains douces et fermes s'emparer de sa taille, pour la plaquer contre un corps musclé et lisse qui l'accueillit possesivement. Les mains parcoururent ensuite méthodiquement ses hanches, ses fesses et ses cuisses, comme pour en mesurer le galbe. Prise très habilement en mains de chaque côté, Flo fut rapidement incapable de résister à tant de sollicitude. Yombélé décida logiquement de la suite des opérations. La jeune Française ne ferait aucune difficulté pour se plier à sa volonté : elle n'en avait pas les moyens ni visiblement l'envie véritable, à la voir frémir sous ses caresses, quant à Kengela elle aimait se laisser "faire" et elle en avait l'habitude. L'aînée du trio prit avec assurance le contrôle du sexe rasée de la jeune blanche en insinuant adroitement une main entre les cuisses qui s'ouvrirent spontanément et avec complaisance, sous sa tendre pression. De l'autre main, elle fit courber l'échine de Flo, pour amener sa tête où elle désirait : entre les cuisses de Kengela. Cette dernière comprenant intuitivement le but de sa maîtresse, s'étendit et offrit sa vulve succulente à déguster tout en aidant des deux mains, la manœuvre qui devait la mener à l'orgasme. Flo solidement maintenue, n'avait d'autre solution que se conformer à ce que l'on attendait d'elle. C'était la première fois qu'elle se livrait à ce genre d'exercice, mais le parfum musquée qui montait des cuisses brunes comme la chaleur qui se répandait dans son ventre lui donnait une irrésistible envie de céder aux tendres mais fermes pressions. Elle s'agenouilla par commodité, enfoui son nez dans la toison crépue et de ses lèvres et de sa langue fit en sorte de procurer le plus grand plaisir à la partenaire qu'on lui avait assignée. Yombélé dirigeait avec autorité et patience, ses attentions tout en gardant le contrôle du sexe nu, qu'elle avait investit pour montrer l'entier contrôle qu'elle comptait exercer ! Flo solidement maintenue et fermement dirigée se sentait bien. Elle si fière et si jalouse de son indépendance avait appris à se soumettre sous la férule inflexible de son maître. Elle savait aussi tout le plaisir, délicieusement trouble que l'on peut éprouver, devant cette situation sans échappatoire. Elle appréciait la peau lisse et tiède qui était contact avec la sienne comme les muscles fermes qu'elle recouvrait et qui lui dictaient sa conduite. Elle sentit Yombélé l'abandonner quelque temps, mais en fille soumise elle n'émit aucune protestation, se contentant de s'appliquer davantage, persuadée qu'elle était observée et qu'elle serait jugée sur l'efficacité de sa prestation; . Kengela d'ailleurs était toujours là et la dirigeait de son côté, pour leur plus grand plaisir !Yombélé revint se plaquer contre Flo qui manifesta son contentement et répondant à la pression de sa partenaire par une ondulation suggestive de ses reins. Elle sentit que la maîtresse du jeu s'était équipée d'un harnais et d'un instrument dont elle n'allait pas tarder à comprendre la destination. Yombélé en effet présenta l'objet à l'orifice externe du vagin qu'elle entendait pénétrer et l'investit à coup de reins volontaire. Le diamètre était important et Flo un peu anxieuse eut du mal à l'accepter mais elle s'efforça de se détendre et bientôt la progression de l'engin repris jusqu'à la combler totalement. Yombélé se montait persuasive et honorait en même temps la vulve de savantes caresses, destinées à faciliter la pénétration qu'elle voulait imposer. Bientôt, Flo comblée et rassurée, repris son labeur avec une énergie décuplée. De puissantes ondes de plaisirs montaient en vagues de son sexe bien remplit et elle n'eut de cesse d'atteindre l'orgasme en offrant à sa maîtresse de généreux empalements, comme autant de muettes suppliques. Elle jouit copieusement, savourant la délicieuse distension que l'instrument engendrait dans son sexe Kengela jouit à son tour tout autant des efforts appliqués de Flo que de la situation que lui offrait sa maîtresse habituelle : être sucée et léchée par une jeune et jolie blanche, parfaitement soumise. Elle orienta cette dernière alors, vers celle qui menait le jeu. Flo compris instinctivement qu'elle devait s'occuper de celle qui la dominait si bien . Elle s'allongea à même le sol pendant que Yombélé se débarassait de son accessoire et se disposait à califourchon sur son visage, lui intimant l'ordre de la satisfaire. Flo se mit en devoir d'obéir et d'user encore de ses lèvres et de sa langue pour honorer la vulve et même l'anus qu'on plaquait contre sa bouche. Kengela s'était aussi mise à califourchon sur son ventre et échangeait baisers et caresses avec sa maîtresse habituelle qui dirigeait de ses cuisses musclées les honneurs qu'elle réclamait. Yombélé parvint ainsi à l'orgasme sans difficulté, tout en étreignant sa partenaire préférée. Elles libèrent provisoirement, Flo que l'on fit de nouveau agenouiller. Cette dernière sentit que la plus autoritaire des deux noires s'était de nouveau ceinte de son harnais. Elle présenta docilement sa vulve pour être de nouveau prise comme cela semblait être son lot, mais ses deux partenaires avaient d'autres intentions et le lui firent rapidement savoir, en présentant le phallus en plastique à son orifice plus étroit. Flo voulu se dégager terrorisée par la taille respectable de l'engin, mais les deux filles la maintenaient fermement et n'avaient pas l'intention de la laisser s'échapper. Elles insistèrent sans brutalité, en lubrifiant abondamment l'objet qui glissait sans difficulté. Maintenue implacablement aux hanches par la plus âgée, les mains emprisonnées par la plus jeune qui lui distribuait généreusement baisers et caresses, Flo fut contrainte de céder petit à petit .Ses deux partenaires heureuses de voir qu'elles allaient parvenir à leurs fins renforcèrent leur assauts et bientôt, Flo fut entièrement pénétrée par l'instrument. . Yombélé se retira alors mais c'était pour mieux revenir et affirmer sans ambiguïté sa domination. Flo se cabrait à chaque pénétration qui mêlait plaisir et douleur mais renonça à lutter. Les deux filles parfaitement complices, surent alors qu'elles avaient gagné la partie et imposèrent à leur captive de nombreuses, lentes et profondes pénétrations, tout en maintenant son excitation par des caresses précises mais furtives. Yombélé dirigeait comme toujours les opérations. Avec des poussées puissantes et volontaires de ses reins, elle écartelait progressivement la captive qu'elle maintenait solidement aux hanches, avant de prendre possession de ses tétons érigés et sans défense. Kengela, quand elle sentait la victime bien remplie, pénétrait en cadence le vagin vide et comprimé, d'un index décidé qu'elle faisait coulisser lentement le long du canal urinaire tout en pressant de son pouce le clitoris gonflé et qui n'en pouvait plus. Elle ne cessait de gratifier la jeune blanche de baisers profonds et de caresses sur toutes les rondeurs mises obligatoirement à sa disposition. Bientôt Flo réclama humblement la possibilité de soulager sa vessie, mais il lui fut répondu qu'elle n'avait qu'à se laisser aller. A sa grand honte, elle sentit qu'elle perdait tout contrôle et éclaboussait la main qui la fouillait, provoquant une hilarité satisfaite chez ses deux partenaires qui l'encouragèrent à poursuivre. Le plaisir trouble qu'elle ressentait à être humiliée de la sorte, comme la sensation délicieuse du liquide tiède qui baignait ses muqueuses, à l'irritation soigneusement entretenue, eurent raison de ses derniers blocages et elle s'abandonna aux mains qui la possédaient jusqu'au plus profond de son intimité. Flo, à moitié défaillante, sous les sensations intenses qui jaillissaient de son ventre jusqu'à l'étourdir, oubliant alors toute fierté, les supplia de la libérer. Elles acceptèrent, à condition qu'elle se laisse totalement faire et elles la firent jouir de nouveau, en riant à belle dents, toujours parfaitement complices. Flo s'abandonnant complètement entre leurs mains expertes et décidées, cria sans aucune pudeur sous l'intense plaisir qui s'empara de tout son être. A peine remise de ses émotions, la jeune française, fut allongée de nouveau sur le sol qu'elle venait d'arroser copieusement et enfourchée par ses deux "bienfaitrices". Elle comprit qu'elle devait les remercier. Etroitement enlacées en dessus d'elle, les deux amantes présentaient tour à tour leur intimité à leur captive, pour qu'elle les honore de ses lèvres et de sa langue. Elle jouirent bientôt, tant du plaisir qu'elles éprouvaient et se donnaient réciproquement que du constat de l'acceptation du rôle qu'elles avaient réservé à la jeune blanche, qui sur commande, toute honte bue s'efforçait de les satisfaire le mieux possible. Elles l'abandonnèrent alors et se rhabillèrent en riant et en échangeant joyeusement des propos dans leur dialecte. Elles avaient bien apprécié leur ébats avec la jeune Française et lui dirent sans autre précaution oratoire. Flo honteuse de n'avoir été finalement que l'instrument de leur plaisir rougit sous les compliments que dégrisée, à présent, elle recevait comme des insultes ! |
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