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Entièrement nue bien sûr, à quatre pattes devant son maître, solidement maintenue par une laisse et un collier de chien, guidée par une cravache décidée, Flo s’efforçait d’apprendre avec humilité et attention toutes les subtilités de l’art de la fellation. Obligée de se montrer depuis quinze jours et à chaque occasion sans le moindre voile devant son maître et contrainte d’obéir à toutes ses exigences, elle avait rapidement abdiquée toute fierté et toute pudeur. Elle ne se préoccupait plus à présent que de satisfaire le mieux possible l’autoritaire personnage qui la dominait et d’éviter ainsi les cuisantes et encore plus humiliantes punitions qu’il ne manquerait pas de lui administrer en cas de mécontentement. Elle se comportait donc toujours en petite fille très obéissante voire comme dans le cas présent comme une petite chienne soumise et craintive. De son coté confortablement installé dans un fauteuil moelleux le dominateur savourait chaque seconde de cet instant voluptueux. Quoi de plus agréable pour tout homme normalement constitué que de disposer à sa guise d’une ravissante jeune fille de bonne famille, âgée de vingt ans, contrainte de se soumettre à toutes les exigences que l’on attend d’elle et de la voir hésiter sans cesse entre l’abandon à sa sensualité instinctive et la réserve que toute jeune fille bien élevée doit observer vis à vis de l’autre sexe. Il se délectait du merveilleux spectacle offert par les lèvres pulpeuses et la langue gourmande qui se disputaient le privilège de flatter sa verge érigée, avec en arrière plan les seins offerts comme deux fruits gorgés de suc prêts à être cueillis et plus loin encore la croupe sans défense qu’il ne tarderait pas à investir bientôt. Malgré les apparences sévères suggérées par la laisse et la cravache, la séance se déroulait dans un climat de calme et de douceur. La jeune élève voyait ses efforts récompensés. Elle était régulièrement encouragée par de tendres caresses sur ses cheveux et ses épaules nues et par des commentaires, dont la précision crue étaient atténuées par un voix tendre et persuasive. De son côté ,Flo malgré sa répulsion naturelle à se voir ainsi humiliée était assaillie par des bouffées de fierté, qu’elle jugeait stupides mais qu’elle n’arrivait pas à réprimer totalement. Ainsi quand son maître la traitait de « bonne suceuse » elle se sentait flattée quelque part de son savoir-faire même réduite à cet humble fonction. Le maître finit cependant par se lasser de cette délicieuse caresse et de la relative passivité qu’elle supposait. Il lui enjoignit de se diriger vers le « montoir » comme il disait en lui annonçant qu’il souhaitait à présent "l’enfiler." Toujours à quatre pattes et tenue en laisse, sans plus de manière, elle se dirigea vers l’autre extrémité de la pièce et escalada l’engin en question spécialement construit pour elle. Elle tendit ses poignets pour qu’il les fixe aux montants qui leur étaient réservés puis écarta les cuisses au maximum en cambrant le reins à la fois pour offrir ses fesses et pour permettre au dominateur de lui attacher les chevilles à leur tour. Elle se retrouva ainsi offerte comme il le souhaitait : solidement attachée, sans la moindre possibilité de mouvoir ses membres, son intimité à disposition de celui qui allait maintenant en profiter pour la pénétrer à satiété. La vulve rasée de près le matin même, légèrement entrebaîllée laissait s’écouler un peu de miel intime, sans vergogne aucune, comme pour inviter à l’investir, sans attendre tandis que l’anus, plus timide, restait délicatement froncé. Malgré l’intense lubrification dont elle disposait déjà, la verge choisit de plonger d’un coup vers son réceptacle naturel aidée par deux doigts complices qui se contentèrent d’en déplisser délicatement les abords .Quelques va-et-vient puissants déclenchèrent chez la pénétrée des râles de plaisir qu’elle accompagnait du mieux qu’elle pouvait de son bassin pourtant étroitement rivé à l’appareil. Jugeant que la tâche était décidément trop facile la verge après être ressortie toujours aussi raide s’intéressa alors au petit frère sus-jacent . Malgré son apparente timidité ce dernier ne tarda pas à s’ouvrir lui aussi, aux assaut qui le pressaient de céder. Bénéficiant de la lubrification de sa grande sœur, il ne resta pas très longtemps passif et accueillit à son tour avec complaisance la verge vigoureuse qui l’honorait La vulve baveuse un moment délaissée fut rapidement consolée par deux doigts qui la pénétrèrent le plus profondément possible, non sans presser le petit bouton gonflé qui en gardait l’entrée. Solidement tenue par la hanche d’une main, accrochée profondément par l’autre qui avait pris possession de son sexe comblé, Flo etait tout simplement en train de se faire enculer dans les règles de l’art. C’est à dire en pratique que l’on disposait de la délicate douceur des ses muqueuses sensibles et de l’étroitesse ferme mais complaisante de son canal intime, pour prendre et lui procurer en même temps un plaisir intense . Tout ça, sans le moindre respect et sans se soucier le moins du monde de son consentement. Et elle jouissait, même si elle était morte de honte de se voir traitée ainsi comme une femelle réceptive dont on faisait ce que l’on voulait Elle savait maintenant et depuis ses premières séances d’initiation à ces plaisirs qu’il ne servait à rien de lutter et que son corps répondrait à cette énergique stimulation quand, et comme le voudrait son dominateur. Il pris tout son temps pour la préparer. Il attendit que l’anneau musculaire bien dilaté cède complètement et que le canal bien lubrifié accueille sa verge sans difficulté pour l’engloutir bientôt avec avidité. Il attendit calmement jusqu’à ce que le corps impatient mais bien soumis de la jeune fille, adopte docilement son rythme. Bientôt il la sentit submergée de désir cherchant sans retenue, à jouir au plus vite. Il l’autorisa alors à s’empaler sur l’épieu qu’il lui présentait et l’amena, complètement vaincue à l’orgasme. Pendant qu’elle s’affalait sans plus d’énergie il se répandit en elle copieusement, en affirmant ainsi la complète possession de ce corps féminin et juvénile si merveilleusement épanoui par la jouissance récente. Il se retira et se rhabilla tranquillement, laissant sa victime toute moite contrainte d’exposer sans pudeur la fleur de son intimité encore gonflée et ruisselante de sperme et de mouille. Avec une petite claque familière sur les fesses comme il en avait pris l’habitude pour accompagner ses ordres, il lui enjoignit de se préparer à être détachée. Morte de honte, elle s’exécuta pour lui faciliter la tache et le suivit, toujours tenue en laisse et les fesses trempées vers sa paillasse. Là il lui fit écarter les cuisses pour lui ajuster une protection pour la nuit Il lui précisa aussi qu’il ne la laverait pas ce soir, qu’il préférait la laisser bien imprégnée de son sperme. Il ajouta aussi qu’au point où elle n’avait qu’à pisser dans sa couche si l’envie l’en prenait puisque de toutes façon, il lui ferait une toilette complète demain. Pour aider l'opération il lui fit boire, deux grands bols de jus de fruits Il la quitta sans plus de commentaire la laissant sur sa paillasse. Elle s’allongea pour tenter de dormir. Elle se mit à pleurer à gros sanglots . Elle se sentait honteuse d’avoir été possédée d’une telle façon et de rester souillée ainsi. Elle était furieuse de voir comment il la traitait, alors qu’elle avait fait beaucoup d’effort pour se plier à ses exigences en le suçant et en le léchant dans une position des plus humiliantes puis en lui offrant sans réticence la partie la plus secrète de son intimité et enfin en acceptant docilement de jouir à sa demande. Une tension dans son ventre lui rappela que bientôt elle devrait se soulager et comme de toute façon il n’y avait pas d’autre solution elle se mit à pisser. Le liquide tiède lui procura une délicieuse impression de bien-être qu’elle avait réappris à apprécier depuis qu’elle était contrainte d’y recourir. Ses muqueuse irritées recommencèrent alors à la démanger Elle aurait voulu se masturber mais ses poignets entravés ne lui en laissait pas la latitude elle du se contenter de serrer ses cuisses l’une contre l’autre et à se frotter contre la couverture rêche pour apaiser ses tensions et enfin s’endormir |
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