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Les parents de Charlotte d’Ambresy Gaucher sont alertés par le commissaire Dominique Octaviani qui vient de placer sous les verrous leur plus jeune fille . Celle-ci ,selon ses dires, participait en compagnie de son amant à un hold-up qui s’est terminé tragiquement.
Rapidement le policier fait comprendre la gravité de la situation aux deux représentants de l’ancienne noblesse française. Profitant de leur désarroi, il leur propose une solution qui peut éviter scandale et ennui : placer la fautive dans une institution très surveillée et dirigée d’une poigne de fer par une dame de toute confiance : Gabriela Marquez del Pino La directrice jouit, dit-il, d’une excellente réputation dans les milieux judiciaires et policiers. Trop heureux les parents s’empressent d’accepter et escorté par le policier conduisent la jeune fille à la pension désignée. L’adolescente découvre dès le départ de ses parents les méthodes très particulières de rééducation en cours dans ce qui ce révèle la pire des maisons de correction qu’elle ait pu imaginer Elle est tout d’abord dressée à la cravache à se soumettre à l’autoritaire directrice qui abuse de sa vulnérabilité affective et sexuelle. Elle est ensuite offerte en pâture à trois représentants de l’ordre moral et civique : Charles Henri d’Attencourt, un bouillonnant jésuite intégriste, Pierre André Grimault Vereille, un substitut impuissant et pervers, et au commissaire Dominique Octaviani lui-même qui a été à l’origine de cette séquestration des plus illégales. Les trois hommes, sous couvert de la reconvertir aux bienfaits de la civilisation occidentale, abuseront d'elle à leur tour sans limite. L’adolescente fait la connaissance de deux autres filles de son âge, exploitée dans les mêmes conditions : Nora la fougueuse et rebelle maghrébine et Prisca la petite noire, naïve et docile. Pour son bonheur et son malheur, elle déclenche bien involontairement une véritable passion chez l’autoritaire geôlière qui en fait sa favorite. Cette dernière essaie de s’en réserver le plus possible l’usage, obligeant la fière Nora à la servir et encourageant la douce Prisca à la satisfaire et à se donner entièrement à elle. Charlotte désorientée par un monde qui lui parait complètement désaxé et troublé par l'émergence de sentiments confus dans son jeune esprit,finit par se résigner . Abandonnée par sa famille elle accepte de se comporter en jolie petite poupée-jouet pour l’insatiable « Madame Diane » qui est malgré tout la seule à lui montrer un certain intérêt. Elle est repérée par Scilly sur le territoire de sa rivale en position tellement humiliante que l'avocate n'aura de cesse de la faire libérer Elle y parviendra et Charlotte trouvera au domicile de sa bienfaitrice : affection et tendresse et naturellement aussi beaucoup de plaisir. |