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Arrivée à la maison, je fus bien sûr accueillie par une pluie de question mais comme je répondis que j’avais fait des heures supplémentaire on ne m’interrogea pas davantage sur l’origine de ma mine un peu défaite et des cernes que j’avais sous les yeux. Je me dirigeais vers la salle de bains en annonçant à la cantonade : « Je suis crevée, je vais prendre un bain » J’avais peur que ma mère très observatrice, se rende compte du changement de sous-vêtements ou d’autre détail que j’aurais eu de la peine à expliquer. Pendant que je faisais couler l’eau du bain, je me déshabillais en me contemplant dans le grand miroir mural. . J’avais deux ou trois petits bleus sur les fesses et le haut des cuisses mais rien de grave . Je pris mes seins dans mes mains pour bien les faire saillir et les examiner à loisir. Je repensais au compliment dont il savaient fait l’objet « comme je les aime, un peu gros mais bien fermes » et me mis à sourire béatement à l’idée qu’il pouvaient plaire à ma maîtresse. J’eu subitement envie intense et instinctive de les lui offrir dès que j’en aurais la possibilité, comme ça, pour qu’elle me les prenne, qu’elle me les caresse, qu’elle joue avec les tétons jusqu’à ce qu’il soit bien gonflés et qu’elle me fasse jouir comme elle en aurait envie. Je me retournais à nouveau pour regarder mes fesses avec un peu d’inquiétudes. Est-ce qu’elle lui avait plu aussi ? Elle ne m’en avait pas parlé . Comme mes seins, elles étaient rondes et fermes ce qui me semblait plutôt prometteur. Je m’essayais à quelques positions propres à montrer ma soumission et à encourager ma maîtresse : cuisses bien serrées, sur la pointe des pieds et rein cambré . Elle ne me parurent aussi pas trop mal . Je pensais ensuite à mon sexe, et l’examinais à son tour. En fait, je n’avais aucune idée de ce qui plait aux filles qui aiment les filles. J’ai des petites lèvres assez fines et courtes mais le capuchon de mon clitoris est un peu gros et pointe son nez, je dirais avec impertinence entre les grandes lèvres même quand il n’est pas stimulé . Je ne trouve pas ça laid mais autant que je me souvienne, car je n’avais jamais trop regardé ça chez mes copines, beaucoup d’autres filles ne présentent qu’une fente et peut être que ma maîtresse préférait cela. De même je ne savais pas si elle aurait mieux aimé que je me rase ou que je garde mes poils qui sont assez courts et frisés. Autant d’interrogations qui me paraissaient un peu stupides mais qui m’angoissaient un peu car ma plus grande crainte était maintenant de lui déplaire. Heureusement pensais-je alors pour me rassurer, je mouille beaucoup et très facilement ce qui rend mon ma vulve rapidement très douce à caresser. Des coups frappés à la porte de la salle de bains me tirèrent brusquement de mes pensées et de l’examen minutieux de mon anatomie intime . « Tu n’es pas malade ? » me demanda ma mère qui avait frappé à la porte Je jetais immédiatement un coup d’œil au verrou pour m’assurer que je l’avais bien fermé car je ne tenais pas à ce qu’elle me voit ainsi. Rassurée je lui répondis : « Non, non, je suis juste un peu fatiguée » et je plongeais dans la baignoire pour mettre vite fin aux doutes de ma mère. Je me lavai sans traîner trop longtemps dans l’eau, enfilai un peignoir et commençai à sortir de la salle de bains. Je me ravisai au dernier moment et rentrais de nouveau pour m’emparer de ma culotte encore toute poisseuse et de mon soutien gorge récemment achetés. Je les enfouis rapidement dans ma poche pour éviter de laisser des traces qui auraient pu déclencher une nouvelle série d’interrogation maternelle. Je me dirigeai vers la salle à manger et avalai sans enthousiasme deux ou trois bouchées du repas qui m’attendait depuis le début de soirée. « Tu ne mange rien tu es sure que tu n’a rien ? » insista de nouveau ma mère qui se rendait bien compte que je n’étais pas comme d’habitude « Non maman, je t’assure que je n’ai rien, je suis juste fatiguée. Tu sais au début c’est toujours un peu long et pénible quand on commence un nouveau travail mais ça ira bientôt mieux » racontai-je en mentant sans remords car il n’étais évidemment pas question de dire quoi que ce soit au sujet de ce qui s’était passé. « Je vais me coucher à demain » enchaînai-je surtout pour éviter la poursuite probable de l’interrogatoire. Je filai dans ma chambre sans demander mon reste et enlevai prestement mon peignoir. J’avais très envie de me retrouver toute nue de nouveau. Etait-ce à cause de ma sortie dans la rue les fesses à l’air sous ma jupe, était-ce d’avoir été pour la première fois déculottée et fessée de main de maîtresse cet après-midi , en tous cas je n’avais jamais de ma vie été aussi excité sexuellement. Bien sûr à dix huit ans passés, je n’étais plus vierge et je m’étais déjà bien amusée avec les garçons mais je n’avais pas encore eu autant de plaisir avec eux. Ils étaient général bien plus préoccupés par leur propre satisfactions et leur caresses étaient souvent trop brutales et maladroites. C’est bien souvent toute seule à vrai dire que je réussissais à jouir le plus facilement. Cependant, après l’excitation de la découverte de cette possibilité à la puberté, je pratiquais moins régulièrement ce plaisant exercice, uniquement quand mes partenaires me laissaient trop frustrée ou pendant les périodes de solitude. En général, je me masturbais de la même façon, les cuisses bien serrées sur ma main droite, mon médius coulissant dans ma fente mouillée pour caresser mon petit bouton. Il m’arrivait aussi de temps en temps de mes caresser le bas-ventre ou la pointe des seins de l’autre main mais c’était tout. Il faut dire que lorsque j’ai découvert ce genre de plaisir, je couchais dans la même chambre que ma sœur plus âgée de cinq ans et que je veillais à ne pas attirer son attention. Quelques années plus tard j’étais bien sûr convaincue qu’elle le faisait aussi, mais vers onze ans j’étais encore assez naïve . J’avais peur qu’elle découvre mes activités nocturnes et surtout qu’elle ne les rapporte à mes parents. Ce soir pourtant, j’éprouvais le besoin de faire davantage. J’avais envie de me caresser partout : sur les cuisses, les fesses, le ventre, les seins et même le dos, de me frotter contre les couvertures, de serrer n’importe quoi entre mes cuisses pour en stimuler l’intérieur sensible et pour presser mon sexe qui ne cessait de réclamer encore et encore satisfaction. Je me couchais donc complètement nue dans un premier temps de manière à être plus à l’aise pour me caresser mais finalement la crainte d’être découverte dans cet état par ma mère me fit enfiler quand même une chemise de nuit. Je décidais cependant de ne pas mettre de culotte comme me l’imposait mes parents dès mon plus jeune age et comme j’en avais gardé l’habitude en grandissant. Je m’endormi assez rapidement épuisée par tant d’émotion mais me réveillait au petit matin. Après avoir vérifié que tout le monde dormais bien dans la maison, je retirai ma chemise sans faire de bruit je m’installai bien confortablement sur le ventre, glissait mon oreiller entre mes cuisses impatientes et empaumant chacun de mes seins dans la main correspondante, je me mis en devoir de me préparer . Grâce à des va-et-vient puissants mais bien contrôlés j’arrivais à la fois à presser mon sexe contre l’oreiller captif et à frotter mes fesses contre la couverture tandis que mes seins soigneusement pincés renforçait encore la délicieuse sensation qui partait de mon ventre pour s’emparer de tout mon corps. Je ne parvins pas à l’orgasme cette fois mais tel n’était pas vraiment mon but, je voulais plutôt m’exciter de façon à être pleine de désir et prête pour ma maîtresse quand je me présenterai au cabinet dans la matinée. Bien échauffée et bien mouillée, je ralentis doucement mes mouvements comme pour me bercer et finis par me rendormir en songeant à de douces étreintes et à de tendres échanges où je me laissais aller, emplie d’un bien être aussi intense qu’indéfinissable . Je fus réveillée en sursaut par ma mère qui me conviait à déjeuner . J’étais bien sûr toute nue dans mon lit complètement défait par mes ébats nocturnes avec un oreiller qui n’occupait pas non plus sa place habituelle. Prise de panique à l’idée que l’on puisse m’avoir vue ainsi, je jetais un coup d’œil à la porte qui heureusement était restée fermée . En un éclair je me rhabillais pour être convenable au petit déjeuner. Ma mère me demanda gentiment si j’avais bien dormi . Je crus un instant qu’elle se doutait de quelque chose mais à la réflexion rien ne pouvait me faire suspecter de tel. Je répondis donc d’une voix que j’essayais de rendre la plus naturelle possible que tout allait bien. Retournée dans ma chambre pour me préparer pour la journée, je commençais par choisir mes sous-vêtements. Malheureusement, je n’avais pas grand chose de très joli à me mettre dans ce domaine. Je choisis finalement un soutien-gorge en dentelle blanche, une peu défraîchi mais qui maintenait bien ma poitrine et après plusieurs essais une culotte de la même matière avec des passages de cuisses assez lâches et bien échancrés, qu’un petit ami m’avais offert mais que j’avais toujours cachée jusque là à ma mère, craignant qu’elle ne la trouve trop sexy.. L’avantage de cette culotte est que l’on peut très facilement glisser une main par cette voie pour aller à la rencontre de territoires généralement moins accessibles et en plus elle mettait bien évidence le pli sous-fessier que j’ai bien marqué. Ma mère frappa à la porte : « Mais qu’est-ce que tu fais Céline, tu vas être en retard si tu continue ! » Elle fis mine rentrer dans ma chambre mais je repoussais instinctivement la porte en lui disant : « Attends je suis toute nue ! » « Et alors ! » maugréa-t-elle « ce ne serait pas la première fois que je te vois comme ça, je suis ta mère après tout » J’enfilai à la hâte la jupe de mon petit tailleur des grandes occasions pour cacher ma petite culotte trop suggestive et la laissa quand même rentrer. « Mais où va-tu aujourd’hui ? tu es bien élégante ! » J’inventais la première chose qui me vint à l’esprit et mentit : « Nous avons des clients importants aujourd’hui et ma patronne ma dit de soigner ma tenue » Cette explication paru plausible et suffit à mettre fin aux interrogations maternelles. « Ta patronne a raison il faut toujours être bien présentable pour aller travailler mais fait attention à tes vêtements, tu n’en a pas cinquante comme cela » « Est-ce que tu peux me prêter tes chaussures noires ? » demandais-je « Prends les si tu veux mais elles sont peu hautes pour toi qui n’a pas l’habitude et puis tu chausse plus grand que moi et tu vas avoir mal au pied mais surtout dépêche-toi !» me répondis ma mère J’enfilais donc les chaussures neuves réclamées qui par chance m’allaient à peu près bien et descendis les escaliers quatre à quatre pour rattraper le temps perdu, au risque de me tordre une cheville. Dans la rue je continuais à marcher à grand pas malgré les chaussures neuves, et à talons un peu trop hauts. J’étais juste à l’heure ayant réussi à combler le retard et je ne voulais surtout pas arriver après l’ouverture du cabinet. Plus le temps passait, plus j’étais anxieuse, je ne cessais de me poser des questions du style : n’allais-je pas paraître ridicule habillée ainsi ? comment serait elle avec moi : fâchée, hautaine et distante ou au contraire de bonne humeur et caressante. J’avais de plus en plus peur qu’elle se moque de moi et de mes efforts de toilette pour lui plaire . J’arrivai en haut de l’escalier montant au cabinet, toute rouge, autant d’émotion que d’avoir couru et au bord des larmes tellement j’étais nerveuse. J’entrais dans le cabinet dont la porte n’était plus fermé à clé, Maître Malguyine était déjà arrivée. Je m’approchais timidement du bureau le cœur battant et ne la voyant pas dans cette pièce frappais tout doucement à la porte du petit salon. |