Résumé
Sylvie ravissante et dynamique femme de ménage, âgée de tente-cinq ans, commet de petits détournements de fonds régulièrement pour arrondir ses fins de mois. Ses larcins sont découverts par son employeur qui accepte de renoncer aux poursuites judiciaires, si elle fait amende honorable en acceptant d'être punie. Elle devra se soumettre régulièrement à une bonne correction et comme elle est mère de trois filles âgée respectivement de dix-sept, treize et onze ans et aussi ravissantes que leur mère, elle devra aussi imposer à sa progéniture d'accepter la fessée qu'il leur réserve.
Le jour venu chacune recevra en présence des trois autres une sévère et humiliane correction. Audrey, la cadette ne faisant pas preuve d'une coopération suffisante sera dressée minutieusement par le maître jusqu'à ce qu'elle devienne parfaitement docile.
Après ce premier épisode, les séances de fessées se reproduiront très régulièrement. Le maître prendra "en mains" l'éducation des trois jeunes filles et la rééducation de leur mère, à la satisfaction générale.
Origine de l'histoire
Cette histoire m’a été contée dans des circonstances assez particulières.
J'exerçais à cette époque mes activités d'avocate dans une grande métropole du nord de la France. Un samedi après midi, j’avais pris rendez-vous avec le directeur d’un magasin de fournitures de matériaux de décoration car je souhaitais modifier l’agencement de mon cabinet. L’homme plutôt aimable avait accepté de me recevoir en dehors des heures d’ouverture de son magasin, probablement en raison de l’importance des achats envisagés. Il avait simplement insisté pour que notre entrevue ait lieu à une heure très précise soit avant quatorze heures soit après dix sept heures. Je devais en comprendre les raisons peu de temps après
Je me présentai donc comme prévu à treize heures trente précises. Il me montra avec beaucoup de professionnalisme ses catalogues et ses échantillons. J’avais un peu de mal à me décider et le temps passait quand on frappa à la porte.
Une très jeune fille se présenta, lorsqu’elle fut invitée à ouvrir la porte et disparut presque aussitôt sans un mot dans une pièce attenante au bureau comme elle y fut invitée avec autorité. Je résolus de réfléchir et quittai mon interlocuteur, me souvenant tout à coup qu’il m’avait dit être retenu après notre rendez-vous et me rendant compte que j’avais déjà un peu trop abusé de sa disponibilité
Je poursuivis mes occupations de l’après midi et alors que je cherchais les plans de mon cabinet pour effectuer d’autres achats, de mobilier cette fois, je m’aperçus les avoir oubliés lors de ma première visite. Je décidai de retourner sur les lieux à partir de dix-sept heures supposant que mon premier interlocuteur serait occupé auparavant.
La circulation en ce mois de février se révéla incroyablement fluide et je parvins à ma destination près d’un quart d’heure avant mon estimation. Le temps étant peu clément et l’atmosphère assez froide, je tentais cependant ma chance. Je ne voulais pas rester dans ma voiture pendant tout le temps qui aurait été nécessaire pour être à l’heure.
Comme je m’approchais j’entendis des petits cris qui provenaient du bureau du directeur. Avec curiosité, je m’approchais de la fenêtre et le spectacle que je pus découvrir à travers les carreaux me surprit incroyablement.
L’homme aimable et très courtois qui m’avait accueilli quelques heures auparavant était en train administrer méthodiquement une bonne fessée à un petit postérieur entièrement vulnérable, complètement nu et déjà rougi par la punition. J'imaginais sans difficulté que cette paire de fesses juvéniles et musclées, devait appartenir à la toute jeune fille que j’avais entraperçue, en arrivant, lors de ma première visite. Elle gisait à présent, étendue de tout son long sur les genoux du directeur, vêtue d’une blouse rose retroussée jusqu’à la taille et d’une petite culotte que l’on avait rabattue jusqu’aux genoux de manière à pouvoir exposer totalement et sans défense son ravissant petit derrière.
Je contemplais avec excitation cette scène délicieusement émouvante en m’efforçant de ne pas l’interrompre brutalement par la révélation inopinée de ma présence.
A près quelques minutes, la jeune fille en sanglots, se releva puis se déshabilla entièrement pour remettre humblement à son tourmenteur, sa modeste parure. Ce dernier lui rendit en échange, un paquet constitué par les vêtements qu’elle portait à son arrivée et qu’elle fut autoriser à revêtir. Il lui tendit alors un billet de deux cent francs qu’il tira d’un tiroir de son bureau.
Voyant que les deux acteurs de cette scène insolite se préparaient à quitter la pièce où je les contemplais, je quittai mon observatoire pour me présenter naturellement à la porte d’entrée.Comme ils sortaient, les deux partenaires complices découvrirent ma présence avec stupéfaction. Je laissai la jeune fille dont les joues avaient subitement pris une couleur pourpre, s’éloigner rapidement pour cacher son trouble et expliquai tranquillement au directeur les raisons de mon retour.
Nous rentrâmes de nouveau dans son bureau, où embarrassé, il vérifia rapidement d’un coup d’œil que toute trace de la punition avait disparu;
Je m’enquis alors avec malice et pas mal de culot de l’identité de la jeune fille, supposant ostensiblement qu’il s’agissait de sa fille pour qu'il se permette une telle familiarité.. Il me répondit encore plus embarrassé qu’il s’agissait de la fille d’une de ses employées. Je poussai mon avantage en portant une estocade décisive sous la forme qu’une question à propos des raisons qui avaient motivé le châtiment auquel j’avais pu assister.
Abasourdi et incrédule, l’homme que j’avais pu voir si sûr de lui en ce début d’après-midi, me regarda bouche bée, sans savoir quoi répondre.
Sans le laisser réfléchir davantage, je lui offris tout aussitôt une solution facile.En échange du récit intégral des circonstances qui avait conduit à une telle situation, je lui promettais mon silence absolu et faisant état de ma qualité d'avocate lui laissait entrevoir que je serais tenu au secret professionnel.
Trop heureux de s’en tirer à aussi bon compte, il ne se fit pas davantage prier et me livra le contenu de ce récit.
J'eu même l'impression qu'il était à la fois fier et soulagé de confier ainsi ce qu'il avait tenu vraisemblablement secret jusqu'alors.