Les fessées d'Audrey

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Les samedis des autres membres de la famille

Je m’occupe donc plus spécialement d’Audrey qui est ma préférée mais je ne néglige pas pour autant le restant de la famille. Tous les premiers samedis du mois, le matin à 10 heures précises je reçois tout le monde à l’exception d’Audrey dont je m’ occuperai l’après midi.

Chacune à son tour je les fais pénétrer dans mon bureau et je les convie à se confesser à genoux à mes pieds de toutes les fautes et négligences commises pendant le mois précédents. Je les interroge et procède ainsi à des recoupements entre les différentes versions pour les confondre en cas de mensonge. Toute dissimulation de la vérité est considérée comme très grave et vaux d’emblée dix coup de fouets supplémentaires. Laetitia qui au début pensait pouvoir faire quelques entorses à la réalité en a fait quelques fois l’amère expérience et est devenue de ce fait plus franche et surtout plus méfiante.

Les samedis de Sylvie
Sylvie est la première à se confesser et doit bien sûr tout me raconter aussi bien sur sa vie professionnelle que je connais que sur toutes ses activités privées y compris les plus intimes. Elle se prête de bonne grâce à cet exercice et je pense que dans le fond elle est heureuse d’être contrainte de se confier ainsi . Etre parente unique d’une famille de trois filles est une lourde responsabilité et elle apprécie certainement ces moments où elle n’a pas de décisions à prendre où on lui dit ce quelle doit faire et où elle doit s’abandonner complètement aux mains qui la dirigent. La part importante que j’ai pris dans l’éducation de ses filles avec qui elle a souvent du fil à retordre est pour elle un soutien substantiel qui contribue aussi à lui faire accepter les épreuves auxquelles je la soumets régulièrement. Je crois aussi qu’elle trouve un plaisir certain à ces rapports qui pour en être très intimes sont forts différents de ses expériences sexuelles habituelles, pourtant nombreuses et variées.
Les samedis de Laetitia
Laetitia passe après sa mère, malgré sa déconvenue lors de la première séance, elle n’a toujours pas renoncé à me séduire en tant que jeune femme. Elle jalouse sa sœur cadette qui bénéficie de séances particulières et d’une rééducation plus intensive. Cela renforce ma motivation à la traiter comme une toute petite fille et à la fesser sans plus d’égard . Bien sûr, je satisfait son besoin d’exhibitionnisme en la faisant mettre toute nue, ce qu’elle fait avec un talent certain. Je recueille sa confession détaillée ensuite, en restant impassible et sans jamais tomber dans les pièges qu’elle me tend en s’efforçant de paraître encore plus soumise. Une fois allongée sur mes genoux, elle a droit à une fessée magistrale jusqu’à ce qu’elle abandonne toute fierté et éclate véritablement en sanglots. Souvent elle fait mine de pleurer avant mais je devine son manège et ne me laisse pas impressionner pour autant. Quand elle a cédé pour de bon, je la récompense comme les autres par des caresses apaisantes, qu’elle accepte parce que contrainte mais elle reste malgré tout furieuse de m’avoir encore une fois laissé le dernier mot. Elle essaie encore de temps en temps de me proposer de se soumettre à d’autres séances mais je refuse de lui laisser toute initiative dans ce domaine comme dans d’autres. J’exige simplement qu’elle se soumette comme je le veux et quand je le veux., qu’elle se montre attentive et obéissante sans chercher à jouer de son charme et je n’ai de cesse de l’obtenir chaque mois. Je dois avouer que ce n’est pas toujours facile, car elle est vraiment ravissante et terriblement excitante.
Les samedis de Mandy
Je fais toujours attendre la petite Mandy qui passe ainsi la dernière. Elle reste très anxieuse car elle appréhende beaucoup ces séances d’une part parce qu’elle est hypersensible à la douleur physique et qu’elle redoute que la fessée soit trop appuyée mais aussi parce qu’elle est très pudique et profondément honteuse de devoir m’exposer sans le moindre voile son intimité en pleine transformation féminine. Les premières fois elle mettait un grand tee-shirt pour tenter de dissimuler à ma vue quand je la déculottais, la fente de sa vulve encore vierge de tout poil .

Je lui fit comprendre que cela était parfaitement inutile en exigeant qu’elle remonte jusqu’aux aisselles les vêtements qu’elle portait pendant que je descendais soigneusement jusqu’aux genoux sa petite culotte.

A présent c’est dans cette position que je la confesse et elle doit me montrer très ostensiblement non seulement du côté pile ses adorables petites fesses toutes rondes mais aussi du côté face sa petite fente imberbe si vulnérable, blottie au sommet de ses cuisses nues et même ses petit tétons encore tout juste épanouis.

Elle garde les yeux baissés et les joues empourprées pendant que la contemple posément dans le plus simple appareil. Elle répond d’une voix un peu rauque et étouffée aux questions que le lui pose, sans oser protester lorsque pour l’encourager quand elle tarde à s’exprimer, ma main vient caresser tendrement son petit derrière.

J’ai réussi à force de fermeté et de patience, à lui faire avouer tous les détails de sa vie intime qu’elle tient bien caché à son entourage. Celle-ci se résume pour l’instant essentiellement à des pratiques solitaires et quelques vagues caresses avec de copines mais bien entendu, je surveille et régule par des instructions précises toutes ses activités qu’elle doit chaque fois me confesser.

Vient le moment où j’applique la punition et où pour cela elle doit s’étendre sur mes genoux en m’abandonnant le contrôle de son corps. Je commence par apprivoiser doucement la croupe humblement offerte, par des caresses en lui détaillant la suite du programme. J’administre ensuite les claques qui me paraissent nécessaires en insistant pour qu’entre chaque coup la position d’offrande sans restriction soit reprise dans les meilleurs délais.

La force des coups est bien sûr adaptée à la tendreté et à la sensibilité de ces petites fesses de dix printemps. Il s’agit essentiellement d’obtenir une soumission exemplaire plutôt que de provoquer de fortes douleurs.

Quand le charmant petit postérieur est devenu chaud et délicatement sensible, des caresses prétendument apaisantes sont copieusement administrées, accompagnées d’un discours moralisateur. A n’en pas douter, elles ne manquent pas de provoquer très régulièrement par l’intermédiaire de l’exquis plaisir qu’elle suscitent chez leur jeune bénéficiaire, de troubles satisfactions mêlées de gêne honteuse. Celle-ci bien consciente que sa totale nudité risque à tout moment de révéler trop à l’évidence ses émotions, n’en est que plus délicieusement confuse, partagée entre l’envie de se laisser aller aux si agréables sensations et la crainte de se montrer trop réceptive et donc vulnérable.

La séance se termine par un réajustement lent et précis de tout les vêtement de la très jeune fille complètement désorientée, les yeux toujours baissés et les joues encore plus rouges d’émotions mêlées Rendue entièrement à ma merci, elle se laisse totalement faire,. faute de savoir quel comportement adopter, en espérant surtout que je tairais à sa mère comme à ses sœurs aînées, tout ce qu’elle à pu me révéler au cours de notre échange intime et secret que ce soit ses confidences verbales ou son comportement tout aussi explicite.

Comme les autres membres de la famille soumis au même régime, elle s’est trouvée contrainte d’accepter la discipline stricte que je leur impose et les châtiments corporels qu’elle implique. Au début elle éprouvait un sentiment de révolte contre moi qui exigeait sa soumission inconditionnelle. Elle détestait les humiliantes séances de domination au cours desquelles je n’avais de cesse d’obtenir sa reddition totale sans tenir compte le moins du monde de sa pudeur naturelle et de sa fierté. Elle en voulait également à sa mère qui acceptait sans protester le traitement infligé et obligeait ses filles à faire de même. Progressivement, ellea fini cependant par prendre goût à ses séances, sans pour autant cesser de les redouter. C’est avec une certaine fierté quand même, bien que mêlée de honte qu’elle me montrait son anatomie intime, heureuse de se faire admirer et rassurée sur sa beauté par le regard connaisseur qui la détaillait tranquillement. Elle finissait par trouver presque naturel de s’exhiber dans ces conditions, sans le moindre voile, dans la mesure ou de toute mon autorité d’adulte et d’âge respectable je le considérais ainsi. Je la traitais comme sa mère et ses sœurs c’est à dire comme de toutes petites filles que l’on peut déshabiller et fesser aussi souvent qu’on l’estime nécessaire et sans faire le moindre cas de leur sexe.

Elle avait finit par admettre sans bien sûr l’avouer aux autres qu’elle pouvait éprouver du plaisir dans l’obéissance, l’abandon total en des mains fermes et décidées et même dans la douleur consentie et offerte comme preuve de soumission. La seule chose qu’elle redoute vraiment c’est que d’autres que moi et surtout ses proches puissent avoir connaissance de la manière dont elle est obligée de se comporter au cours de nos séances très privées