Les fessées d'Audrey

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Le dressage d'Audrey (première partie)
Arrivée devant la porte de sortie, l’adolescente marqua un temps d’arrêt, n’imaginant pas que j’allait la faire sortir à l’extérieur entièrement nue. Comprenant sa réaction je lui indiquais qu’il n’y avait personne à cette heure-ci et que nous sortirions par une issue particulière communiquant exclusivement avec mon garage. A moitié rassurée seulement, elle passa la porte, en regardant de partout dans la crainte d’être découverte par d’autres personnes.
D’un petite claque sur les fesses suffisamment ferme quand même, je l’encourageai à descendre les quelques marches qui descendait à l’étage inférieur. Elle ne fit pas de difficulté et obéit rapidement. Elle avait parrfaitement compris qu'elle n'aurait désormais pas d'autre choix. A notre arrivée dans le garage, j’ouvris le coffre de la voiture et je lui fit prendre place dans cet espace assez restreint mais à l’abri des regards
La distance qui sépare mon bureau de ma villa n’est pas très longue et le voyage à cette heure creuse fut effectué rapidement. Sitôt parvenu à ma villa, je rangeai mon véhicule dans mon garage privé et entrepris sans attendre de libérer la jeune prisonnière de l’endroit malgré tout confiné où elle elle avait dû voyager. Elle était visiblement inquiète et avait pleuré probablement pendant tout le voyage. Elle s’efforçait de garder un peu de dignité malgré l’entière nudité à laquelle je l’avais contrainte depuis qu’elle avait choisi l’obéissance plutôt que la punition.
Elle essayait d’afficher un air faussement détaché alors même qu’elle restait tenaillée la honte de devoir montrer ostensiblement à tout moment ce que toute jeune fille s’efforce de maintenir secret. Les mains toujours liées derrière le dos et donc complètement dépendante, elle avait besoin de mon aide constante et je ne me gênais pas pour lui imposer les positions où sa pudeur était la plus mise à l’épreuve ni pour lui faire accepter des contacts intimes avec ses parties les plus délicatement sensibles;
C’est de cette façon que je l’extrayais du coffre tout en l’enjoignant d’emprunter la volée d’escaliers qui permettait de gagner les étages supérieurs. Un peu perdue et craignant une humiliante rencontre elle hésitait un peu à se rendre dans la partie habitation de la villa. Je la rassurais en lui disant que nous étions seuls. Nous parvînmes dans le séjour, et disposant un coussin près du fauteuil que je comptais utiliser je l'y fit s’agenouiller en lui commandant de m’attendre.C’etait comme ça lui expliquai-je que je souhaitais qu’elle passe la soirée.
J’allais préparer des rafraîchissements et apportais deux grands verres et du jus d’orange . Après m’être désaltéré je lui fit boire deux grands verres de ce liquide frais. Comme elle me dit qu’elle n’avait pas soif je lui donnais tout d’abord une bonne claque sur les fesses en lui rappelant qu’elle devait demander la permission de parler avant toute autre chose, puis lui en fit ingurgiter deux autres sans précipitation excessive mais avec suffisamment d’insistance pour lui ôter l’envie de toute nouvelle tentative de discussion .
Je lui exposais la suite du programme en lui précisant qu’elle devrait manger sans discuter tout ce que lui présenterais sous peine de devoir subir une nouvelle séance de martinet.Je préparais le repas tout en la laissant méditer dans son attitude soumise. Quand je revins avec le repas voyant qu’elle commençait à fatiguer en s’agitant d’un genou sur l’autre je l’autorisais tout en restant à genoux à poser ses fesses sur ses pieds mais j’exigeais alors qu’elle écarte largement les cuisses.
Elle rougit violemment comprenant qu’ainsi elle s’exposait encore davantage mais elle n’avait pas le choix et s’exécuta en évitant d’affronter mon regard. Je découvris ainsi entre les cuisses brunes , la délicate petite fente rose et fripée et bordée délicatement de chaque coté par une rangée de poils bruns et frisés qui pour la première fois à n’en pas douter depuis plus de dix ans se soumettait à l’inspection d’un regard masculin.
Tout en contemplant ostensiblement le ravissant spectacle qui s’offrait à ms yeux je l’encourageais à garder la position en lui disant que c’était bien ainsi que je souhaitais qu’elle s’installe. J’évitais toute remarque susceptible d’aggraver encore la gêne de l’adolescente qui aurait pu l’enfermer dans une situation inextricable : je voulais simplement qu’elle m’obéisse en se comportant de manière à ce que son corps n’ai plus de secret pour moi. un point c’est tout.
Immédiatement je commençais à la faire manger. Je lui fit donc boire un grand bol de soupe puis grignoter une cuisse de poulet. Elle n’avait pas très faim mais obéit sans protester. Je prenais tout le temps nécessaire et lui essuyais soigneusement la bouche avec une serviette. Dans la position requise ce n’était pas facile mais je m’efforçais de l’aider le mieux possible avec patience et compréhension
Bientôt la quantité importante de liquide commença à faire son effet et elle sollicita horriblement gênée de nouveau l’autorisation d’aller aux toilettes en ayant bien soin cette fois de demander la permission de parler auparavant.Je lui promis qu’elle pourrait bientôt se soulager mais je la fis attendre un moment car je voulais qu’elle ai vraiment une très grosse envie pour triompher de la nouvelle épreuve que j’allais lui imposer .
J’allais chercher une glace d’excellente qualité que je lui fis très lentement lécher. Je profitais du spectacle délicatement sensuel des lèvres et de la langue roses qui s’appliquaient à venir à bout de la crème glacée qui fondait à leur contact. Je dirigeais le jeu à ma guise en promenant le cornet sous prétexte de lui faciliter la tâche. La jeune fille ne se souciait pas en apparence d’être ainsi obligée de se soumettre ainsi à ma volonté à chaque seconde une seule chose semblait retenir son attention : le besoin de plus en plus pressant au bas de son ventre
Elle commençait à avoir de la peine à tenir en place de plus en plus nerveuse à l’idée qu’elle n’arriverait plus longtemps à se retenir. Je ne voulais pas avoir l’occasion de la punir pour ça et j’entendais bien tenir mes promesses J’allais donc chercher un bassine et à son grand étonnement lui indiqua que c’est dans cette ustensile qu’elle devrait se soulager sous mon regard attentif.
Je disposais l’objet entre ses cuisses et lui donnait la permission d’uriner . Stupéfaite de cette nouvelle exigence elle en oublia cette fois de me demander l’autorisation de parler et protesta disant qu’elle n’y parviendrait pas. Je la grondai pour cet oubli et insistai fermement, en lui disant que nous passerions tout le temps nécessaire pour que cette opération soit un succès.
. Je m’approchais d’elle et me mis à caresser doucement le ventre et les cuisses tandis qu’au comble de la honte Audrey sentant qu’elle ne pouvait plus résister serrait et desserrait frénétiquement ses cuisses .
. Je lui parlais très doucement en lui expliquant que je comprenais les difficultés qu’elle éprouvait mais qu’il était indispensable qu’elle me prouve de cette façon son désir d’être une fille bien sage et bien obéissante et qu’elle ne devait plus avoir désormais la moindre réticence pour se montrer devant moi dans n’importe quelle situation. Bientôt quelques petits jets arrosèrent l’ustensile prévu suivis rapidement d’un bon et vrai gros pipi tandis que l’infortunée adolescente au comble de la honte, dans le même temps éclatait en sanglots.
J’allait vider le bassin et ramenait de quoi essuyer les quelques gouttes de liquide restées entre les cuisses encore tremblantes ainsi que les larmes. Je la séchai minutieusement de toute part et lui annonçais qu’après toutes ses épreuves elle allait pouvoir bénéficier d’un repos bien méritée. Je la fis lever et l’installai dans un canapé.
La première étape de son dressage venait d'être franchie avec un bon résultat .La toute jeune fille comprenait qu'elle allait être traitée comme un jeune nourissonne, complètement dépendante et contrainte d'accepter toutes les exigences que je lui imposerais, sans le moindre respect pour sa pudeur.
Le dressage d'Audrey (deuxième partie)
Je décidai après cette première séance de comforter l'oéissance de l'dolescente.Je disparus quelques minutes et revint avec une paire de drap et un grand sac de plastique pour poubelles.

Je disposait l'alèze improvisée sur le canapé et étendis ensuite les draps de facon à pouvoir y installer la jeune fille.

Je détachais ses mains liées dans le dos, la fit étendre sur le canapée sur le dos et lui liait cette fois les mains sur le ventre. Sans comprendre visiblement où je voulais en venir elle obéissait comme un automate en reniflant encore quelques sanglots.
Je l’emmaillotai ensuite totalement dans les drap bien ajustés à l’exception du visage et je m’efforçais ensuite de la caler bien confortablement pour qu’elle puisse dormir sans trop de désagrément. Il lui était tout à fait impossible de se dégager ni même de remuer les membres.
J’allais chercher une grande bouteille d’eau minérale et lui fit boire intégralement en l’encourageant de la voix et par des caresses sur son visage et ses cheveux seules parties accessibles . Je pris tout le temps nécessaire pour éviter de trop charger son estomac et de provoquer des nausées.

Je lui annonçais ensuite que j’allais la laisser ainsi jusqu’au lendemain et qu’il fallait qu’elle essaie de dormir

J'attendis à distance quelques intants pui sje retournais dans mon bureau. Je revins une bonne heure après et pus constater que la jeune rebelle épuisée par tout ces évennements avait fini par trouver le sommeil. Je décidai alors de me coucher.

Le lendemain je partis faire des courses de bonne heure après avoir jeté un oeil discret à ma petite prisonnière qui s'était rendormie dans ses langes a présent visiblement tachés d'un grandes auréole. Elle avait du être reveillée par un besoin pressant dans la nuit mais incapable de s'extraire du coccon ou je l'avais emmaillotée avait dû se résoudre à se soulager dans ses draps. Elle avait probablement hésité un moment en espérant tenir jusqu'au reveil mais avait finit par céder une nouvelle fois à mes entreprises.

Je revins à la fin de la matinée avec de quoi faire un bon déjeuner et de quoi revêtir la belle, si elle se montrait bien sage : une minijupe noire très courte, un tee-shirt très fin et largement décolleté et enfin un très joli ensemble de sous-vêtements qui n'avaient rien à envier à ceux que portait sa soeur ainée. Le tout était un peu trop sexy pour son âge mais mettrait en valeur superbement sa parfaite anatomie juvénile.

A mon retour, je découvris mon invitée forcée, toujours étroitement enveloppée dans ses draps qu’elle avait complètement détrempés.. Elle était réveillée et n'en menait pas large. Elle n’osait affronter mon regard que par brefs coup d’œil à la fois inquiets et pitoyables. Elle savait bien que j'étais seul responsable de la situation mais ne pouvait dans le même temps s'empêcher d'être terriblement honteuse d'apparaître souillée ainsi.
Je pris immédiatement les choses en mains en constatant à haute voix qu’elle avait fait "un gros pipi" et qu’il fallait que je la lave et que je la change mais j’écartais d’emblée toute menace de punition en affirmant que c'était ce que je souhaitais et que cela était tout ce qu’il y avait de plus normal.
Je la libérai de ses langes copieisement souillés et lui libérait à sa grande surprise les mains. Je la fit marcher jusqu’à la salle de bain en portant comme fardeau sa paire de draps détrempés comme une toute petite fille qui s'est oubliée.