Les fessées d'Audrey

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La punition d’Audrey
Après avoir assisté aux punitions des autres membres de sa famille Audrey n’était pas du tout prête à subir le même sort. Le châtiment de sa mère avec laquelle elle était en conflit très régulièrement ne lui avait pas franchement déplut mais c’est surtout l’humiliation de sa sœur aînée, avec laquelle elle entretenait une rivalité constante, qui lui avait procuré le plus vif plaisir.
Elle haïssait avec la certitude volontaire de ses treize ans la manière dont toutes deux elles s’étaient laisser faire beaucoup trop facilement sans la moindre protestation. Elle-même avait plus de fierté pensait-elle et saurait ne pas se montrer aussi lâche et soumise.
Aussi quand je la conviais à son tour à venir près de moi elle refusa tout net en protestant qu’il n’en était pas question. Je demandai alors à sa mère de la faire obéir et celle-ci bientôt aidée de sa fille aînée tentèrent alors de la prendre chacune par un bras pour la faire obtempérer mais l’adolescente rebelle et sportive se défendait vigoureusement.
Voyant que la situation ne tournerait pas à leur avantage je décidais de changer de tactique et pris dans un tiroir de mon bureau quelques solides cordes que j’avais conservé à tout hasard. Munis des liens improvisés je me joignis alors aux deux femmes pour maîtriser enfin la fille cadette qui refusait toujours de se soumettre
La fière adolescente se retrouva donc les deux pieds liés solidement fixés a ceux du meuble, le buste penché en avant sur la table et les bras tendus par les poignets tractés à l’autre extremité. Elle n’avait visiblement aucun moyen de s’échapper : elle était à ma merci et allait devoir accepter la punition prévue, probablement aggravée par les manifestations furieuses de sa mauvaise volonté.
Je conviais Sylvie et Laetitia à se rasseoir et pris quelques minutes pour récupérer un peu de l’énergie que l’affrontement avait nécessité. Bien que capturée et solidement entravée Audrey ne décolérait pas et continuait à protester qu’elle ne voulait pas et qu’il fallait la détacher.
La mère était un partagée entre des sentiments contradictoires mais la sœur aînée etait parfaitement satisfaite de voir que sa cadette allait subir à son tour des tourments identique à ceux qu’elle avait enduré. Je réussis à trouver un torchon propre et l’employai aussitôt pour bâillonner solidement la protestataire dont les cris devinrent assourdis et inintelligibles
Je me dirigeais ensuite à l’autre extrémité du bureau et glissant mes deux mains sous le ventre agité de soubresauts de ma future victime, je parvins non sans difficulté à déboutonner le jean qui protégeait encore pour quelques instants sa pudeur.Sans hâte excessive et malgré les mouvements désespérés d ’opposition de sa propriétaire, le pantalon fut inexorablement descendu jusqu’aux chevilles . La petite culotte en coton blanc plus souple fit encore moins de difficultés pour le rejoindre, révélant un petit derrière musclé au dessus de deux jambes tout aussi ravissantes.
Je reculais pour jouir un moment de la vue magnifique que j’avais mise en place. L’adolescente la rage au cœur d’avoir échoué dans sa tentative d’échapper à la punition promise serrait convulsivement les cuisses pour tenter de dissimuler du mieux qu’elle pouvait, ce qui échappait encore à la vue des spectateurs : son intimité brune et frisée.
A près réflexion, je me dis que cette fois un martinet serait plus adapté à la situation et plus confortable à administrer en même temps que plus cuisant. Fort heureusement, je disposais d’un exemplaire en parfait état dans un tiroir et je m’en munis donc sans plus attendre.
Je me mis à fouetter de bon cœur, le postérieur que je venait de préparer. L’adolescente surprise se cabra dans ses liens et son cri de douleur malgré le bâillon dont je l’avais équipé nous fit tous sursauter mais n’interrompit pas mon entreprise. Méthodiquement, mais sans violence excessive, de la base du dos jusqu’à l’arrière des genoux, je dessinais des zébrures rouges et gonflées qui chaque fois provoquaient le même résultat : sursaut et cris de douleurs
. La rebelle etait courageuse et dans l’intervalle resserrait du mieux qu’elle pouvait ses cuisses et ses fesses martyrisées mais elle ne pouvait empêcher les larmes de lui monter violemment aux yeux et elle finit par éclater carrément en sanglots
J’arrêtai immédiatement de la fustiger et commençai à caresser tendrement les chairs meurtries en lui commandant de se détendre en signe de bonne volonté mais elle se cabra tout autant que sous les coups de martinet et se remit à crier sans déférer à ma demande.
En toute logique, j’aurais dû reprendre la punition sur le champ mais je ne voulais pas laisser la pauvre fille s’enfermer dans une situation sans issue et se faire ainsi déchirer sa tendre peau sans obtenir d’autre résultat qu’une souffrance atroce.
Je voulais simplement la soumettre et je pensais qu’il était préférable de la laisser s’épuiser progressivement comme le poisson au bout d'une ligne. Je dis au restant de la famille que le dressage serait probablement long et donc qu’elles pouvaient repartir pour revenir seulement le lendemain. Elles récupéreraient alors Audrey qui serait douce et soumise comme une agnelle.
Sylvie inquiète de laisser sa fille entre mes mains essaya de discuter mes décision mais je lui fit comprendre que ma décision était prise et que sa fille ne risquait absolument rien, sinon d’avoir les fesses un peu plus cuisantes.
Elle objecta encore qu’elle était très jeune et sans oser vraiment prononce le mot toujours vierge. Je compris où elle voulait en venir et lui déclara que sur ce plan là, au moins, elle serait toujours dans le même état
Cela paru la rassurer et l’aînée ajoutant que c’était de la faute de sa sœur si elle se retrouvait dans cette situation, les trois spectatrices quittèrent mon bureau me laissant seul avec mon infortunée captive.
Le départ de sa famille provoqua des réactions contradictoires : d’un côté elle était soulagée de voir partir sa mère et sa sœur aînée et rivale car elle sentait qu’elle n’allait pas tarder à craquer et à me céder elle aussi.Dans le même temps d'un autre côté cela signifiait qu’elle se retrouvait seul avec moi dans une position de dépendance totale, perspective qui visiblement l'inquiètait au plus au point.
Comme pour confirmer ses craintes, je revins tranquillement près d’elle et repris mon ouvrage où je l’avais laissé. Je me contentai cette fois, pour commencer de quelques coups, avant de la laisser reprendre son souffle. Bien entendu les mêmes causes ayant les mêmes effets elle se remit à se cabrer dans ses liens et à hurler sa douleur, aussi fort, sinon davantage.
Je lui expliquai calmement pendant cet instant de répit, que la soirée allait se poursuivre ainsi, jusqu’à ce que complètement brisée par la douleur, elle cède à mes demandes en acceptant sans broncher fouet et caresses. Dans le même temps, pour tester son degré de resistance, je repris mes caresses doucement sur les fesses brûlantes. La toute jeune fille sachant que rien ni personne ne pourrait venir à son secours se sentait horriblement vulnérable et complètement à ma merci. Elle se mit à trembler de peur, mais cette fois elle me laissa faire sans plus protester.
Voyant que sa volonté de résister commençait à faiblir, je lui dit alors que si elle se montrait très sage les choses pouvaient aussi se passer beaucoup mieux pour elle . Dans ce cas là, j’arrêterais de la punir mais je la prévint aussi que toute velléitté de nouvelle désobéissance,aussi minime soit-elle, serait immédiatement châtiée sur le champ et sans pitié.
Constatant qu’elle acceptait à présent, le contact insistant que je lui imposais sur les parties les plus tendres et les plus privées de son corps supplicié je lui annonçais que j’allais enlever son bâillon pour qu’elle puisse me répondre intelligiblement. Ayant libéré sa bouche, je lui demandais de répéter après moi, qu’elle serait sage et obéirait sans discussion ni rébellion à tout ce que je lui demanderais de faire Je lui fit ajouter également qu’elle était parfaitement informée et consentante pour toute punition ultérieure que je jugerais nécessaire.
Je l’informais ensuite qu’elle passerait le restant de la soirée et la journée du lendemain entièrement nue, les mains liées dans le dos en me demandant la permission de s’adresser à moi avant tout autre parole chaque fois qu’elle souhaiterait s’exprimer
Stupéfaite à l'annonce de ces nouvelles exigences qui logiquement lui apparaissaient exorbitantes et totalement incroyables, elle se retourna vers moi, bouche bée, blême et le regard lamentable et suppliant.
Pour toute réponse à cette muette interrogation je saisis de nouveau le martinet, comme si je m'apprêtais à m'en servir de nouveau.
La perspective inquiètante d'une nouvelle série de cuisantes applications de l'instrument fut tout aussitôt décisive etr elle répondit d'une voix tremblante mais docile, comme je le lui demandais en acceptant totalement aussi ces dernières conditions.
Sans plus perdre de temps, je détachai un à un les poignets et lui enlevai sans autre forme de procès son tee-shirt, et son soutien gorge . Elle rougit violemment mais domptée, se laissa faire sans protester. Je la fis mettre debout et lui liais comme promis les poignets derrière le dos. Je me mis en devoir ensuite de lui délier les chevilles en lui ôtant complètement baskets, chaussettes, jean et petite culotte. Je rangeais soigneusement et sans hâte excessive toute la garde-robe dans un tiroir que symboliquement je fermais à clé.
Je lui expliquai qu'elle récupérerait le tout le lendemain si elle se comportait en petite fille bien sage et bien obéissante.
Pleinement satisfait, je savourai un moment le spectacle qui s'offrait à présent à mes yeux. Les yeux baissés, la bouche boudeuse et les joues empourprées de honte, la fière adolescente horriblement gênée de se montrer intégralement dans le plus simple appareil, mais encore plus terrorisée à l’idée de me voir reprendre le fouet, attendait mes instructions. coite et soumise,
Je la fis ensuite pivoter et la prenant familièrement par la taille, je lui dis que nous allions à la maison pour effectuer confortablement le dressage dont elle avait besoin pour parvenir au résultat que j'attendais.