Les fessées d'Audrey

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La punition de Mandy
A peine sa mère rhabillée j’invitais la plus jeune des trois filles à prendre sa place pour recevoir la correction que lui réservais.

J’en profitais pour expliquer aux trois demoiselles qu’au vu de l’inconduite de leur mère, il me semblait dans leur intérêt même que je prennes sérieusement en main leur éducation qui probablement laissait à désirer.Afin qu’elles soient rapidement au courant de ce quelles risquaient en cas de mauvais comportement j’allais leur donner à titre d'exemple, dès aujourd’hui, une bonne fessée.

Après avoir assisté à la punition de sa mère, la petite était évidemment inquiète autant de la perspective des cuisantes claques que de la nécessité de plus en plus vraisemblable d’être déculottée de la même manière pour les recevoir.

D’une voix ferme mais qui se voulait aussi rassurante je la conviais à s’approcher sans tarder pour se soumettre au traitement que je lui avais réservé et qu’elle supporterait sans problème pourvu qu’elle y mette de la bonne volonté. Les claques ne seraient ni trop fortes ni trop nombreuses, limitées au strict nécessaire à son éducation.Comme elle hésitait encore je lui annonçais que moins elle mettrait ma patience à l’épreuve en cessant de tergiverser moins la punition serait dure.
Après un dernier regard implorant à sa mère elle s’avança, déboutonna son jean qu’elle laissa tomber sur ses chevilles. Elle avait des jambes longues et minces surmontées par une petite culotte à carreaux bleus et blancs avec une petites dentelle blanche sur tout le pourtour comme en portent souvent les fillettes à cet age
Je lui demandais d’approcher et j’abaissais sans hésiter le petit sous-vêtement en dessous des genoux tandis que le désarroi et la honte s’emparait tout aussitôt du visage de sa jeune propriétaire .
Je découvrais du même coup les formes préadolescentes parfaitement harmonieuse de la très jeune fille . Les hanches encore à peine marqué,e le ventre plat et surtout la vulve encore totalement glabre qui paraissait délicieusement vulnérable, offerte à la vue sans le moindre abri hors de son écrin de coton.
Je ne prolongeai pas davantage ma contemplation déjà suffisamment humiliante pour la pauvre Mandy qui n’avait vraisemblablement pas montrée ainsi son intimité sans le moindre voile à quiconque depuis des années.
Je la fis allonger sur mes genoux ce qu ‘elle fit presque avec empressement la manœuvre lui permettant au moins de dissimuler à la vue de toute l’assemblée son jeune sexe préalablement trop évidemment exposé.
Visiblement tendue et inquiète, elle serrait du mieux qu’elle pouvait ses ravissantes petites fesses. Je ne prolongeais pas davantage son attente anxieuse et je lui délivrais rapidement quatre petites claques bien sèches qui immédiatement lui firent pousser des cris suppliants bien vite mêlés de sanglots. Peut lui importait l’humiliation d’implorer ma clémence ou de dissimuler ses pleurs, elle désirait ardemment que j’interrompe le plus vite possible sa correction
. Je lui demandai de se calmer et de rester attentive. Je lui annonçais tout en caressant les deux globes bien fermes et déjà brûlants que sa correction serait terminée dès qu’elle aurait accepté bien gentiment les sept dernières claques qui me semblaient encore devoir lui être administrées.
Pour cela elle devrait les compter à haute voix et bien se détendre et reprendre immédiatement la position que je lui imposais entre chaque coup. Joignant le geste à la parole je la disposais sur mes genoux de manière à maintenir son rein bien cambré et ses cuisses bien écartées
. Malgré sa pudeur mise à mal elle ne protesta pas et obéit scrupuleusement à mes instructions. Je repris ma correction en n’infligeant cette fois que des claques bien légères accompagnées chaque fois de caresses apaisantes.Elles accepta sans réticence, les unes comme les autres, soucieuse avant tout de me montrer son obéissance.

La petite fut bientôt autorisée à se relever. Elle dû écouter encore quelques sentences éducatives les mains derrière les dos et la culotte comme le pantalon toujours baissés jusqu’aux chevilles. Les yeux baissés et les joues aussi rouges que ses fesses, elle attendait patiemment que je l’autorise enfin à se rhabiller, honteuse d'être obligée ainsi de montrer son entière soumission à mes exigences devant le restant de sa famille.

Devant tant d’évidente bonne volonté et persuadé que la leçon porterait ses fruits je lui donnai enfin l’autorisation tant attendue et elle alla reprendre sa place, sans oser regarder les autres dont cela allait être bientôt le tour.